Les Dames Blanche De La Première Guerre Mondiale

1.1 Premières traces de civilisation à Reims 2 2.1.1.2 Coopération avec Rome 2 2.1.1.3 Reims dans le Moyen Âge 2 2.1.1.4 La séparation contre l’Etat et l’Eglise 2 2.1.1.5 Reims dans la Renaissance 2 2.1.1.6 Reims dans la Révolution française 2 2.1.1.7 Le XXème siècle 2 2.1.2 La cathédrale Notre-Dame de Reims 2 2.1.2.1 Bâtiment 2 2.1.2.2 La cathédrale dans la première guerre mondiale 2 2.1.2.3 L’Ange au Sourire 2 2.1.2.4 L’Ange au Sourire dans la première guerre mondiale

suivent la Première Guerre mondiale avec l’ouverture d’un enseignement secondaire, conçu par ailleurs comme très élitiste. Quant au travail, si les femmes mariés gagnent quelque émancipation en 1907, obtenant le droit de gérer le fruit de leur labeur, comment oublier que le statut égalitaire de la fonction publique de 1946 est bien mal appliqué jusqu’au milieu des années 1970, décennie qui voit aussi le vote des premières lois demandant la non-discrimination au travail. Les premières années du XIXème

cause de la SGM puis en 1981 arrive en Espagne et est jusqu’à ce jour exposée au musée d’arts modernes « la reine Sofia » à Madrid. -Symbole des horreurs de la guerre -Contexte : guerre d’Espagne de 1936 à 1939. Montée au pouvoir de la gauche espagnole (républicains) => Mécontentement et refus des nationaliste franquistes => Guerre civile enclenchée jusqu’en 1939 où Franco l’emporte et instaure une dictature. Description & Explication http://sylvain.weisse.pagesperso-orange.fr/guernica/comprendref

treize ans, et Antoinette, huit ans, dans un orphelinat à Aubazine en Corrèze[6]. Ses deux frères sont, quant à eux, placés à l'âge de dix et six ans dans une ferme comme garçons à tout faire. À l'âge de dix-huit ans, Gabrielle est confiée aux dames chanoinesses de Moulins, qui lui apprennent le pointilleux métier de couseuse. Elle y retrouve sa cousine Adrienne, qui avait le même âge et, surtout, la même ambition de s'en sortir. En 1903, habile à manier le fil et l'aiguille, elle est placée en

treize ans, et Antoinette, huit ans, dans un orphelinat à Aubazine en Corrèze[6]. Ses deux frères sont, quant à eux, placés à l'âge de dix et six ans dans une ferme comme garçons à tout faire. À l'âge de dix-huit ans, Gabrielle est confiée aux dames chanoinesses de Moulins, qui lui apprennent le pointilleux métier de couseuse. Elle y retrouve sa cousine Adrienne, qui avait le même âge et, surtout, la même ambition de s'en sortir. En 1903, habile à manier le fil et l'aiguille, elle est placée en

économique sont celles où l'offensive contre le travail féminin est la plus forte, notamment envers les femmes mariées et les mères de famille. Des exemples en témoignent en 1919, les travailleuses, appelées à faire fonctionner le pays pendant la guerre, sont renvoyées dans leurs foyers avec la consigne de repeupler la France. La crise de 1929 conduit à des mesures autoritaires. En 1931, des concours sont fermés. En 1934, le ministre du Travail s'attaque au travail des femmes mariées tandis qu'aux

même, et Boy est capable de rendre heureuse la jeune Coco qui recommence à faire confiance à la vie. Mais cela finit par la mort tragique de Boy dans un accident d’auto. Coco tourmentée par sa perte, se lance dans le travail et la préparation de sa première collection de vêtements pour femme. Son style fut une révolution de la mode féminine, avec des jupes plus courtes, des couleurs plus sobres et des accessoires simples et élégants. Coco ne s’est jamais mariée, elle décède en janvier 1971, pendant

machine à coudre Singer”. La première “en macramé cerise [avec] ses boucles d'oreille”, que chante Frédéric dans le roman du même nom, surgit derrière lui silencieusement alors que les mitrailleuses et canons de la guerre de 14-18 battent la montagne tout autour. Vialatte en fait cette description : “On voyait un calendrier. Il représentait une dame brune. Elle obéissait languissamment à ces lois d'un art inflexible qui a de tout temps courbé sous son joug despotique les dames brunes des calendriers […]

1. 1. La Première Guerre Mondiale 2.1. 1.1. Les intellectuels et la Première Guerre Mondiale Le mouvement futuriste est né en Italie dans les premières années du XXe siècle, grâce à son fondateur Filippo Tommaso Marinetti. L’idée inspiratrice de ce nouveau mouvement, était principalement d’effacer les vieux idéaux, que les futuristes considéraient désormais dépassés, et visait à créer une nouvelle conception de la vie basée sur le dynamisme, la vitesse et la modernité. Selon les membres

les services d’Intendance et en septembre, il vit la débâcle de l’armée à Rouen avant de rejoindre Paris. Il a donc été le témoin de ce qu’il décrit dans les premières pages de Boule de suif : la déroute de l’armée française face aux Prussiens et l’arrivée de l’occupant allemand dans la ville. Le conte Boule de suif paraît pour la première fois en avril 1880 dans un recueil collectif, Les Soirées de Médan, où figurent aussi, entre autres, des textes de Zola et Huysmans. Lors de la séance de lecture