Les Deux Topiques De Freud

Dans cet article, Freud se livre tout d’abord à une étude sur la jalousie. Il distingue trois formes de jalousie, dont la jalousie délirante qui rejoint les formations paranoïaques. Freud présente alors des cas pour élucider les délires paranoïaques. Enfin, dans une dernière partie, il examine les mécanismes psychiques de l’homosexualité, présente dans les formations symptomatologiques de la jalousie et de la paranoïa. Cet article est écrit après l’élaboration de la deuxième topique qui débute en 1920

motrices du réel, du monde. Les idées sont créatrices et organisatrices du réel, ce sont les idées qui impriment le réel, elles sont antérieures au réel. C’est les catégories qui organisent notre monde, c’est l’intellect. Le terme d’idéologie à deux siècles, il a été fondé par Destutt de Tracy, complètement inconnu, mais qui a une petite gloire car a forgé ce terme. Il est forgé en tout début du XIXe s, ce terme veut signifier sous la plume de Tracy, un système cohérent d’idées et de pensée du

image, ce que je représente. Autrui ne saisit qu'une infime partie de moi. « Le conflit est le sens originel de l'être sur autrui »: rivalité jugement donc abîme infernal entre ce que je suis et ce que l'autre perçoit de moi. Une vie Maupassant= « Deux êtres marchent côte à côte, enlacés parfois mais non mêlés. L'être moral de chacun d'entre nous demeure demeure éternellement seul de par la vie » être moral intraduisible à autrui. « On rencontre autrui on ne le constitue pas »: on échange avec autrui

· Deuxième topique : Le ‘ça’ et le ‘Surmoi’ sont des forces qui s’opposent. Elles s’animent d’un principe contraire. Ce principe est le principe de réalité. Elles sont contraires de par leur nature et leur finalité. Si nous voulons survivre, deux exigences rentrent en compte : - nous devons survivre en tant qu’individu - nous devons survivre en tant qu’être social Þ Notre survie est dépendante des autres. On a besoin des autres pour affirmer son individualité. Dans le ‘Surmoi’, il

moi, c'est l'autre que moi, par exemple une tendance, un besoin, un instinct..." MOI (n. m.) 1. — Désigne le sujet en tant qu'il se pense lui-même. 2. — Idée que se fait de lui-même un individu quelconque. 3. — (Psychan.) Instance de la seconde topique freudienne (opposé au ça et au surmoi), le moi (das Ich) dépend des revendications du ça et des impératifs du surmoi ; il apparaît comme un facteur de liaison des processus psychiques et représente le pôle défensif de la personnalité. Approche:

présence de la figure paternelle est très peu présente. Winnicott a aussi été marqué par les deux guerres mondiales et cela a influencé sa vision du monde puisqu'il a été enrôlé dans l’armée comme aide médical. Il n’arrivera jamais à oublier tous ces jeunes soldats qu’il a vu mourir. Tous ses travaux sont fortement marqués par sa double expérience de pédiatre et de psychanalyste. Il s'appuie sur ces deux approches pour construire ses concepts. Il se réfère à l’enfant réel qu’il a observé dans le

l’existence d’un inconscient. Mais cette reconnaissance ne nous conduit-elle pas à l’idée d’un déterminisme psychique qui fait que la souveraineté du sujet est remise en question? Cette thèse, troisième « blessure narcissique » infligée à l’humanité selon Freud, parce qu’elle la priverait de son libre-arbitre et d’une réelle connaissance de soi, n’implique-t-elle pas une dépossession de soi au sens où l’homme ne serait plus le maître de lui-même, de ses actes et de ses pensées? Toujours ignorant des motifs

pouvoir à l’image ( puissance projective qui permet d’influencer l’inconscient).L’inconscient qui joue un rôle primordial dans la publicité , comme nous le verrons par la suite .Dans cette théorie , on se réfèrera a la deuxième topique psychanalyste de Freud. Psychanalyste de Freud : Le moi : il a une activité consciente, préconsciente et inconsciente. Il doit gérer la réalité, les besoins. Il est le médiateur entre les désirs de ca ( qui ici est l’égérie _Charlies Theron) et les interdits de Surmoi

préliminaire à tout traitement possible de la psychose ». Reprenant les développements de son troisième séminaire, il définit la psychose par le manque d’un signifiant. Un signifiant fait défaut dans l’armature signifiante minimale du sujet, déjà posée par Freud, qu’est l’oedipe. En reprenant la catégorie freudienne de la Verwerfung, Lacan pose que la forclusion du Nom-du-Père et l’échec de la métaphore paternelle constituent « le défaut qui donne à la psychose sa condition essentielle, avec la structure qui

contacts sont essentiels -l'ouïe: réactions de sursaut et d'éveil aux bruits. Réagit à une voix familière et dés la 6e semaine, lui sourit. La production est stimulée par l'audition. Dolto: « il faut mettre l'enfant dans un bain de langage » Freud: l'inconscient: y sont stockés des faits frappés d'amnésie dt le rôle est déterminant dans nos actes primautés de facteurs internes: ds nos conduites, porteurs d'affects lié à des expériences de l'enfance qui ont été sources de tensions (différents