Les Deux Topiques De Freud

d'inconscient. Bien-sûr, pour Freud ces constatations et ces conclusions ne seraient pas recevables car la conscience est dans son travail secondaire, et quant au corps, il n'apparaît pas non plus comme si central. La confrontation qu'offre ce texte d'Alain entre ces deux thèses soulève alors des problèmes tel que la responsabilité de l'homme dans ses actes. Dans son entreprise, Alain commence donc logiquement jusqu'à la fin de la ligne 3 par exposer la thèse de Freud pour ensuite annoncer ses reproches

souffrance = maladie mentale par contre dans toute souffrance il y a des troubles mentaux que le psychologue doit repérer. Normalité et Pathologique : On ne peut pas faire une frontière entre le normal et le pathologique ! La psychanalyse de Freud prouve la continuité des 2 principes : il n’y a pas de rupture franche. La frontière est très fine, c’est l’intensité et non les idées du patient qui définit lorsque l’on bascule dans le pathologique. Du grec « Norma » = équerre. La norme c’est

mots, sans se précipiter dans les interprétations qui peuvent le faire fuir. C’est un jeu subtil, l’adolescent à envie d’être découvert, qu’on le comprenne sans qu’il a trop des choses à dire, sans le découvrir et le mettre à nu trop vite. L’entre deux caractérise beaucoup cette période, y compris dans la relation transféro, contreo- transférentielle, entre le thérapeute et l’adolescent. La psychanalyse peut être utilisée pour l’adolescent, mais on ne l’allonge pas comme un adulte, ce qui fait une

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le réel, une projection du sujet (ob-jectum=objet). Ainsi le sujet est entouré d’objet, c’est-à-dire, du fruit de ses projections. Que faut-il entendre par projection ? Deux choses : il s’agit soit de ce que le sujet construit lui-même par le langage, soit de la manière dont il comprend le monde qu’il l’entoure. Dans les deux cas, il use du langage pour produire les objets qui constituent leur monde. Dans cet extrait tiré de la quatrième partie du Discours de la Méthode, Descartes s’interroge

l’auto-permission (ou de l’auto-interdiction) va se calquer sur le principe des normes imposées par la société, qu’il se doit de suivre dans le rôle de citoyen qu’il incarne. Cette censure de soi-même a été théorisé, par le psychanalyste Freud, qui lors de sa seconde topique, en 1920, a formaliser 3 instances psychiques qui seraient les fondements de la personnalité - Ca, Moi et Sur-Moi. Dans ce trio, le Moi représente l’instance ancrée dans la réalité, l’aspect de l’individu qui relève du Ca (pulsions

naturelle conditionne absolument un comportement ou un phénomène . La nature se joue du côté de l'instinct, de l'inée et de l'hérédité . L'INSTINCT EST ABSENT CHEZ L'HOMME . >On peut envisager comme Freud ou Nietzsche que l'Homme est un être de pulsions (agressivité, pulsions de mort). Les deux hommes reconnaissent en revanche qu'il appartient à l'homme de maîtriser ou de canaliser ses pulsions . L'Homme est un être de facultés qui ne se développent que grâce à une éducation . La notion de Nature

chez Freud des invariants, des symboles universels et généraux va à l’encontre de la pensée de Sartre pour qui comparer les uns aux autres pour en tirer des principes généraux est voué à l’échec. La psychanalyse existentielle doit être individuelle et singulière.

mais également à expliquer les différents rôles des parents, de la fratrie La psycho et la santé : Psychanalyse : développement psychosexuel Sigmund Freud (1856-1939) : né a Freiberg en Moravie ; entrée à l’université de vienne en 1873 et en 1881 il devient dr en médecine. Dans l’hypnose, le médecin se heurtait à la résistance du malade pour aboutir, il fallait donc supprimer la résistance, cad supprimer

nihilistes en ce sens qu’elles déprécient la vie sensible, s’oppose à son expansion. Vouloir épargner à l’homme les souffrances, c’est le condamner à ne ressentir jamais aucun plaisir. 4) Principe de plaisir et principe de réalité : Pour Freud, la pulsion sexuelle, la libido est la source des désirs qui cherchent à s’affirmer sans détours. Mais la réalité impose sa nécessité et ce sont les pulsions du moi, visant à la conservation de ce dernier, qui conduisent à refuser ou différer certains