Les Devoirs Entre époux

et 237 du Code civil. Le juge aux affaires familiales du TGI de Paris a prononcé le divorce des époux pour altération définitive du lien conjugal. Un appel de cette décision de première instance a été interjeté par Mme Y qui demande le prononcé du divorce aux torts exclusifs de Mr X. Par les moyens suivant, elle dénonce un manquement de son mari aux devoirs de considération et d’affection entre époux et une attitude de dénigrement constante envers les siens. Un témoignage de sa mère qui décrit

des changements comme crise de la famille, indice et facteur d’une décadence morale et sociale, et de l’autre, une interprétation symétrique de la même évolution comme progrès des valeurs de liberté individuelle, d’authenticité et d’égalité. Prise entre ces deux pôles, l’opinion parvient d’autant moins à s’y retrouver, que la plupart de nos contemporains ressentent à partir de leur expérience personnelle, que la vérité est plus complexe, qu’il n’y a sans doute ni déclin, ni progrès univoque et qu’une

fille légitime des époux B. Cependant le 4 janvier 2001 une tiers personne, plus précisément l'amant de l'épouse B dénommé M.D va remettre en cause le lien de parenté de l'époux B avec l'enfant Suzan. Mme B a en effet eu des relations extra conjugales concordant avec la période de conception de l'enfant. Qui plus est, moins de 6 mois après la naissance de Suzan c'est à dire le 5 octobre 2001 M.D a assigné M.B en contestation de paternité légitime a des analyses biologiques. Les époux B vont refuser cette

d’adhérer à un statut légal préétabli, celui des personnes mariées. Quant au sexe, il peut être compris comme le genre d’une personne ou bien les relations sexuelles ; le Code Civil parle d’une communauté de lit qui en d’autres termes, oblige les époux à avoir des relations sexuelles. Ces deux interprétations peuvent nous amener à nous demander comment le sexe peut prendre une place plus qu’importante dans la relation de deux personnes mariées. C’est pour cela que nous partirons dans l’étude du

marqué par la promotion de l’individu au sein de la famille, seul l’extension du domaine de l’obligation alimentaire est venue le contrebalancer aujourd’hui. Parallèlement la démocratie est entrée dans les rapports parents/enfants ou entre les époux, par ailleurs la vie de famille est de - en - régit par des règles d’ordre public la liberté tendant à devenir le maître mot du droit de la famille avec la promotion de l’autonomie de

quasi inexistant. Face à tous ce qui se rapporte à l’Islam relative à la femme, quel est réellement le statut de la femme dans l’Islam? Autrement dire, la femme n’a-t-elle que des devoirs ? Nous essayerons donc de montrer dans un premier temps quels sont les droits de la femme en Islam et dans un second temps ses devoirs. Les droits de la femme en Islam Les droits de la femme peuvent être divisés en différentes parties qui sont : les droits civils et sociaux, religieux, politiques

accomplir certains actes juridiques ou si les deux époux sont concernés par l incapacité juridique. 2. DELIMITATION DU SUJET Pour bien mener notre étude, il a fallu délimiter notre sujet dans le temps, dans l espace et dans le domaine. Au point de vue spatial et dans le domaine l étude du régime de l autorité maritale en droit civil que nous nous proposons d aborder sera 2 essentiellement axée sur une étude comparative des droits étrangers entre autre des droits civils franco-belges et le droit

régissent chaque statut ? Le mariage conserve t-il donc toute son unicité et son rôle de protection individuelle et patrimoniale au sein du couple ? Y a-t-il un droit commun du couple ? Afin de déterminer s’il existe une convergence ou une divergence entre les différentes unions, il convient d’analyser dans un premier temps les conditions de formation (I), avant d’en préciser les effets (II). I- A la recherche d’un droit commun sur les conditions de formation des différentes formes d’union.

sang, qui descendent un auteur commun. Dans cette définition, la famille ça va être par exemple, le grand-père, le père et le fils. Le lien de famille par le sang= lien de parenté, ça va être le lien qui va exister soit entre deux personnes dont l’une descend de l’autre, soit entre des personnes qui descendent d’un auteur commun. On retrouve cette notion de famille dans le Code de la santé public A1131 = réalisation d’un examen des caractéristique génétique d’une personne. Lorsqu’un médecin pense

Le probleme est que le legislateur n'a pas définit la notion de famille. Elle est difficile a définir car c'est un phénomene social et une institution juridique. Pour les sociologues, la famille c'est un groupe naturel formé d'individus que relient entre eux des faits d'ordre biologique donc union des sexes, procréation et descendance d'un procréateur commun. Le doyen Carbonnier a joué un rôle important dans la notion de la famille. Il dit que c'est une unité de base, un fait universel au sein duquel