Les Didascalies Expriment Le Conflit

Guépard » Visconti/Lampedusa. 1963. 4. « Germinal » Berri/Zola. 1993. 3. Raisons de cette sélection 3.1. « Macbeth » Le choix de débuter par « Macbeth » est d’ordre chronologique. Le film en noir et blanc est tourné aux Etats-Unis après le deuxième conflit mondial. En 1941, Welles a ouvert la voie au cinéma moderne avec « Citizen Kane ». Cependant, le film n’aura pas le succès commercial souhaité par la RKO. En 1942, Orson Welles tourne « The magnificent Ambersons », mais il est déjà limité par la production

narrateur ne dit pas ce que pense Jim, il décrit seulement ses attitudes et son regard : « Ses yeux, démesurément béants, se fixent sur Della » (l. 7). b. Le narrateur ne parvient pas à définir précisément les sentiments de Jim : « Ses yeux […] expriment un sentiment indéfinissable » (l. 8). Il évoque des sentiments pour les nier ensuite : « Ce n’est pas de la colère, ni de l’étonnement, ni du reproche, ni de l’horreur » (l. 8-9). SÉQUENCE 2 / Le récit (2) : narrateur et point de vue • 39 9.

dénie à cette jeune femme tout droit à l’éducation de sa fille. 6. À partir de la ligne 16, la narratrice avance des hypothèses sur les conséquences du vol et sur le comportement de Véra mais le récit se fait plus hésitant : usage de verbes qui expriment un doute (« je ne sais plus », l. 16 ; « Il me semble », l. 19 ; « je me doute que », l. 21) ou d’adverbes (« sans parler, du moins… », l. 17). 7. La question des voix dans Enfance a été abondamment commentée. Dans cette page, il est évident que

car les événements qui vont la perturber ont déjà eu lieu. Cette incapacité d’Arnolphe à saisir le présent l’oppose à Horace, personnage de la hâte (cf. Vitez : « Horace : il est toujours pressé. Il passe en courant. Il sort en courant 7»). Le conflit des générations se double donc d’un contraste entre les rythmes des personnages dans la pièce. Le temps des jeunes gens est très rapide : De vos premiers progrès j’admire la vitesse dit même Arnolphe à propos des progrès d’Agnès alors que malgré

centré autour d’une action principale et contenant peu de personnages. 3- a) Le premier texte est un extrait de pièce de théâtre. Les indices sont : le numéro de la scène, le nom des personnages en début de scène ou avant leur réplique, et les didascalies (indications souvent en italique, qui précisent le ton, les déplacements, les gestes, le décor...). b) Le deuxième texte est un extrait de roman. Les indices sont : l’emploi des temps du récit (imparfait – passé simple), l’alternance de deux formes

monde ont sans doute influencé les philosophes et les structures des utopies qui suivent. Mais, pour expliquer cette profusion d’œuvres, il convient maintenant de définir la démarche utopique. On peut en distinguer trois éléments fondamentaux : le conflit avec la réalité, la création d’un univers imaginaire et enfin une spéculation sur l’univers ainsi créé. Ces trois principes éclaireront certainement le pourquoi et le comment d’un phénomène d’une telle importance. La lecture de l’utopie de Thomas

« Orgueil imbécile, morgue de vermisseau »), des interjections et jurons (« mille couleuvres », « mordieu »), ce qui traduit la tension entre les personnages et la colère grandissante du colonel. La romancière introduit également des sortes de didascalies* précisant le ton sur lequel sont prononcées les paroles et révélant ainsi l’état d’esprit des protagonistes : « d’un air impérieux et dur », « verdit de colère et de surprise », « d’une voix chevrotante », « en haussant les épaules » pour le colonel

une insertion de plus en plus réelle des femmes dans la société. Indications complémentaires — Le dialogue théâtral fera alterner courtes tirades et échange de répliques. Vous pourrez donner des indications de mise en scène ou de jeu d’acteur (didascalies). — Vous imaginerez librement la situation dans laquelle se trouve placée cette Marceline contemporaine (cadre, interlocuteurs). 8 Épreuves anticipées de français. Épreuve écrite – Exemples de sujets SÉRIES TECHNOLOGIQUES Sujet 2 Objet

et rpond son amour, offense dans son amour-propre, elle le repousse et dcide de le chasser. Mais, quand la pauvre soubrette demande de le suivre, elle refuse de la laisser partir avec lui. La scne qui devrait en tre une dadieux pousse lextrme le conflit de ses sentiments contradictoires. La crise est rsolue par la rvlation de la noble naissance du secrtaire. On voit les lments que Marivaux emprunta. Mais sont frappantes surtout les diffrences chez Lope de Vega et chez Riccoboni, ce sont les hsitations

notre démarche (« elle rend la marche difficile » l.2), enfin et surtout la saleté (« elle salit » l.3). On perçoit une forme d’ironie dans le contraste entre des réactions radicales (les termes « honnit », « écrasent » et « ne lui pardonne pas » expriment une certaine violence) et des motifs négligeables (« difficile », « salit »). Le poète rappelle ensuite la connotation péjorative de la boue par le recours au discours direct pour illustrer les on-dit, les clichés sur la boue (« C’est de la boue