Les Dieux S Amusent Fiche

il a la peau couleur de paille, avec des yeux comme des bleuets et des lèvres comme des coquelicots ; il a toujours la chemise entrouverte, un gilet rayé jaune, et son grand chapeau à chenille tricolore ne le quitte jamais. J’ai vu comme cela des dieux des champs dans des paysages de peintres. Deux tantes du côté de mon père. Ma tante Mélie est muette, – avec cela bavarde, bavarde ! – 14 – Ses yeux, son front, ses lèvres, ses mains, ses pieds, ses nerfs, ses muscles, sa chair, sa peau, tout

molleton, je n'ai pour toute perspective qu'un pique-nique. La première chose que nous faisons, c'est visiter le musée romain, et tout de suite après nous gravissons la petite colline pour voir quelques ruines. Nos enfants s'amusent. Maintenant que mon mari sait tout, je me sens soulagée : je n'ai pas besoin de faire semblant tout le temps. « Allons courir un peu sur la rive du lac. » Mais les enfants ? « Ne t'inquiète pas. Ils sont suffisamment bien élevés pour

molleton, je n'ai pour toute perspective qu'un pique-nique. La première chose que nous faisons, c'est le musée romain, et tout de suite après nous visiter gravissons la petite colline pour voir quelques ruines. Nos enfants s'amusent. Maintenant que mon mari sait tout, je me sens soulagée : je n'ai pas besoin de faire semblant tout le temps. « Allons courir un peu sur la rive du lac. » Mais les enfants ? « Ne t'inquiète Ils sont suffisamment bien élevés pour nous

entre deux « mondes » opposés : celui des morts, et celui des vivants métonymiquement représenté par l’argent. La seconde réplique du père le souligne encore plus : trois exclamations se succèdent dans un même alexandrin : « Je vois Clindor ! ah Dieux ! quelle étrange surprise ! » (v. 5). La remarque ironique d’Alcandre devrait ramener Pridamant à la réalité (v.  4) puisqu’elle marque une rupture de registre et souligne la réalité quasi sordide du comptage de la recette. Mais Pridamant est si

sorte pouvait avoir d'humiliant. Ce n'était pas déroger que de suivre une Comédienne par amour et de s'atteler comme soupirant au chariot comique ; les plus fins cavaliers ne s'en fussent pas fait scrupule. Le dieu porte carquois oblige volontiers les dieux et les héros à mille actions et déguisements bizarres : Jupiter prit la forme d'un taureau pour séduire Europe ; Hercule fila sa quenouille aux pieds d'omphale ; Aristote le prud'homme marchait à quatre pattes, portant sur son dos sa maîtresse, qui

sorte pouvait avoir d'humiliant. Ce n'était pas déroger que de suivre une comédienne par amour et de s'atteler comme soupirant au chariot comique ; les plus fins cavaliers ne s'en fussent pas fait scrupule. Le dieu porte−carquois oblige volontiers les dieux et les héros à mille actions et déguisements bizarres : Jupiter prit la forme d'un taureau pour séduire Europe ; Hercule fila sa quenouille aux pieds d'Omphale ; Aristote le prud'homme marchait à quatre pattes, portant sur son dos sa maîtresse, qui

pouvait avoir d'humiliant. Ce n'était pas déroger que de suivre une 25 Comédienne par amour et de s'atteler comme soupirant au chariot comique ; les plus fins cavaliers ne s'en fussent pas fait scrupule. Le dieu porte carquois oblige volontiers les dieux et les héros à mille actions et déguisements bizarres : Jupiter prit la forme d'un taureau pour séduire Europe ; Hercule fila sa quenouille aux pieds d'omphale ; Aristote le prud'homme marchait à quatre pattes, portant sur son dos sa maîtresse, qui

dire? — robuste pour — entendre la vérité,vous Et la franchise qu'un plat homme. Je lis toujoursréussi? Presque toujours... encore — — n'êtes a vous les vers 60 LE JACQUES de jeune poète, mon ferez de mauvais; Voilà — Ni les dieux, pardonné les ? toute vie, votre mauvais riche? pauvre. le ridicule pauvreté perdu Très — les Et — ah ! d'en faire. — Non. n'ont qui l'a Étes- — allez poète; vieux. serez Horace vous de mauvais vous j'enfasse colonnes

voyage par Rome, où il se confesse au pape. Puis il traverse la Syrie, témoin de mille merveilles. Folle amoureuse… Huon fait ensuite la connaissance du nain Aubéron, roi du pays féerique de Monmur. Ce nain qui possède la beauté et l’immortalité des dieux est le fils de Jules César et de la fée Morgue. Il prend Huon en amitié, lui demandant de suivre toujours les conseils qu’il lui donne. Mais Huon est trop étourdi pour se les rappeler, et le nain se fâche souvent contre lui. Huon parvient cependant

voyage par Rome, où il se confesse au pape. Puis il traverse la Syrie, témoin de mille merveilles. Folle amoureuse… Huon fait ensuite la connaissance du nain Aubéron, roi du pays féerique de Monmur. Ce nain qui possède la beauté et l’immortalité des dieux est le fils de Jules César et de la fée Morgue. Il prend Huon en amitié, lui demandant de suivre toujours les conseils qu’il lui donne. Mais Huon est trop étourdi pour se les rappeler, et le nain se fâche souvent contre lui. Huon parvient cependant