Les Duellistes

lui dit : « Adieu, cher maître. » L’autre lui serra la main : « Au revoir, mon cher », et il descendit l’escalier en sifflotant, la canne sous le 18 bras. Duroy demanda : – Qui est-ce ? – C’est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d’esprit et d’actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. Et comme ils s’en allaient, ils

Forestier lui dit : « Adieu, cher maître. » L’autre lui serra la main : « Au revoir, mon cher », et il descendit l’escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda : – Qui est-ce ? – C’est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d’esprit et d’actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. Et comme ils s’en allaient, ils

Forestier lui dit : « Adieu, cher maître. » L’autre lui serra la main : « Au revoir, mon cher », et il descendit l’escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda : – Qui est-ce ? – C’est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d’esprit et d’actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. Et comme ils s’en allaient, ils

Adieu, cher maître. " L'autre lui serra la main : " Au revoir, mon cher ", et il descendit l'escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda : " Qui est-ce ? -- C'est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d'esprit et d'actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. " Et comme ils s'en allaient

lui. Forestier lui dit: "Adieu, cher maître." L'autre lui serra la main: "Au revoir, mon cher", et il descendit l'escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda: "Qui est-ce? - C'est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d'esprit et d'actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine." Et comme ils s'en allaient, ils

: « Adieu, cher maître. » L’autre lui serra la main : - 12 - « Au revoir, mon cher », et il descendit l’escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda : « Qui est-ce ? – C’est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d’esprit et d’actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. » Et comme ils s’en allaient, ils

Forestier lui dit : « Adieu, cher maître. » L'autre lui serra la main : « Au revoir, mon cher », et il descendit l'escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda : - Qui est-ce ? - C'est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d'esprit et d'actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. Et comme ils s'en allaient, ils

lui dit : « Adieu, cher maître. » L’autre lui serra la main : « Au revoir, mon cher », et il descendit l’escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda : « Qui est-ce ? – C’est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d’esprit et d’actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. » Et comme ils s’en allaient

lui. Forestier lui dit: «Adieu, cher maître.» L'autre lui serra la main: «Au revoir, mon cher», et il descendit l'escalier en sifflotant, la canne sous le bras. Duroy demanda: «Qui est-ce? - C'est Jacques Rival, tu sais, le fameux chroniqueur, le duelliste. Il vient de corriger ses épreuves. Garin, Montel et lui sont les trois premiers chroniqueurs d'esprit et d'actualité que nous ayons à Paris. Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine.» Et comme ils s'en allaient, ils

deux poids deux mesures. Nous nous défiâmes du regard. Puis, jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule, il se mit à ricaner. — Quoi ? — Ton petit copain a l’air de penser que je suis désagréable avec toi. Il se demande s’il doit venir séparer les duellistes. Il s’esclaffa de plus belle. — Bien que j’ignore de qui tu parles, je suis certaine que tu te trompes, lâchai-je, glaciale. — Oh que non ! Je te l’ai déjà dit, la plupart des gens sont faciles à déchiffrer. — Sauf moi. — En effet. Je voudrais bien