Les Fables Les Allégories

enseigne- etc. | | Quels sont les procédés de style qui soutiennent l’argumentation ? | - les hyperboles pour louer/blâmer, ironiser, faire la satire d’un comportement- les antithèses dans l’ironie- les métaphores- les comparaisons- les allégories ( fables), personnification- les champs lexicaux- les modalisateurs : adjectifs évaluatifs, adverbes- énonciation : prise de position du « je » qui écrit ou qui argumente- les formes de phrases et la ponctuation : interrogatives, négatives, déclaratives-

Si La Fontaine traverse les siècles, c’est d’abord à cause de sa manière de raconter des histoires, toute en finesse et en décalages, en précision et en humour. Ses fables composent tout d’abord une immense galerie de personnages divers : des allégories (la Fortune, etc.) des éléments naturels (la Mer, IV, 2 ; la Montagne qui accouche d’une souris, V, 10 ; les Autans, vents violents XII, 3) des végétaux (le Chêne et le Roseau, I, 22 ; le Gland et la Citrouille, IX, 4 ; un arbre fruitier

LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE « Les Animaux malades de la peste » est la première fable du livre VII, qui ouvre le deuxième recueil des Fables. Publié 10 ans après le 1er, en 1678, le talent de la Fontaine se décline ici dans des textes généralement plus longs, ce en quoi il s'éloigne de ses modèles que sont les fables d' Esope et de Phèdre, qui elles se limitaient à quelques phrases. On s'accorde généralement à dire qu'il leur donne, dans ce second recueil, un tour plus philosophique

historique (livres historiques véridiques).· 2ème paradoxe : ces histoires sont des faibles mais le rendu est positif, en effet, certains personnages ont existé (comme Thésée). Bien que les fables peuvent sembler réalistes, elles restent des fables.· 3ème paradoxe : doctes oscillent dans leur croyance dans les fables (une fois sont sceptiques, puis peuvent être crédules) -> oscillation entre deux critères du vrai (fable est suspecte d’être vraie mais aussi d’être fausse) : Le rejet du merveilleux

Introduction: Si de nombreuses fables de La Fontaine, directement inspirées de l'Antiquité ont une portée universelle et intemporelle, certaines, à visée plus politique ou sociale, semblent davantage ancrées dans le XVII°. C'est le cas de cette seconde fable du livre III intitulée "Les Membres et l'Estomac", publiée en 1668. Cette réécriture du texte d'Esope "Le ventre et les pieds" s'inscrit en effet dans le contexte du règne de Louis XIV et propose une réflexion sur la royauté. Problématique/

emplacement, au centre des deux pierres formant le belvédère de Naurouze, n’en serait pas moins innocent. En effet, au grand dam des observateurs, les deux pierres tendraient à se rapprocher, lentement mais inexorablement. Or si l’on se fie aux contes et fables des troubadours depuis le XIIIème siècle (ainsi que plus tard à la prédiction de Nostradamus), la fin du monde serait pour le jour où elles viendraient à se rencontrer. Symboliquement placé ainsi, l’obélisque semble être par conséquent le moyen idéal

« langage sous langage » , au sens le plus large c’est un récit allégorique en vers ou prose, qui met en scène des animaux, des végétaux, des humains ou même des notions tel la mort et dont le lecteur peut tirer une leçon morale, un enseignement. Une allégorie consiste à exprimer une idée abstraite sous une forme concrète, par exemple la mort est représentée par un squelette, ou encore la paix par une colombe. Les apologues sont des œuvres à teneur didactique, à visée pédagogique et se lit donc à deux

littérateurs critiquent le politique de leurs pays. Que ce soit implicitement ou explicitement, leur objectif est toujours le même: faire passer un message et critiquer vivement les rois et la cour. La Fontaine a choisi cette façon d'écrire. Ainsi, dans les fables du livre VII à XI, La Fontaine parle énormément de politique. La preuve en est que ce recueil est dédié à madame de Montespan, favorite du roi, ce qui prouve nettement que cette fable> est essentiellement dénonciatrice. Mais en quoi ce texte est il

LA n°1 : La Fontaine, « Le Philosophe Scythe », Fables, Livre XII, 1693. INTRODUCTION : La Fontaine moraliste du XVIIème siècle qui porte à travers ses fans un regard critique sous le règne de Louis XIV. Il puise son inspiration sur les auteurs antiques et notamment le fabuliste latin. Il a écrit plusieurs recueils entre 1648 et 1693. Les Fables du livre XII, adresser au Duc de Bourgogne suggère plus qu’une morale, une conception de la vie. C’est le cas du philosophe Scythe. LECTURE (On rappelle

musique célébrant un personnage ou évènement), les épopées (un long poème narrant les exploits historiques ou mythiques d’un héros ou d’un peuple), les allégories (une forme de représentation indirecte qui emploie une chose, une personne, un être animé ou inanimé, une action, comme signe d'une autre chose, par exemple des animaux dans les fables) les métaphores, le rythme et la musicalité. Le sonnet est devenu la forme poétique majeure. C’est Ronsard qui a introduit premièrement ce nom, ode, dans