Les Fables Sont Elles Immorales

partir du 2° paragraphe (Le point de départ...) ; G) page 295 : modification du 1° sous-titre de "Questions morales diverses" en "Les vertus et les vices" ; et H) page 300 : correction dans la rédaction de la réponse à la question n° 911, de "ils" en "elles". -oCette édition conjointe est le fruit du travail en commun du Conseil Spirite International, qui l'a coordonné, de la Fédération Spirite Brésilienne, qui a cédé les originaux pour l'analyse et la réimpression, de l'Union Spirite Française et Francophone

été ajouté pour la commodité de l'aménagement intérieur. Et, comme les tuiles tombaient, on les a remplacées par des ardoises. Je ne dis pas de mal des ardoises. Il en est d'un gris presque mauve pareil au plumage des tourterelles, et sous le soleil elles miroitent. Mais les toits d'ardoises sont plats et monotones, uniformes et indifférents, tandis que les tuiles inégales, arrondies, bossuées ont l'air de bouger, de remuer, de s'étirer comme de bonnes tortues de jardin qui soupirent après le beau temps

du 2° paragraphe (Le point de départ...) ; G) page 326 : modification du 1° sous-titre de "Questions morales diverses" en "Les vertus et les vices" ; et H) page 332 : correction dans la rédaction de la réponse à la question n° 911, de "ils" en "elles". -oCette édition conjointe est le fruit du travail en commun du Conseil Spirite International, qui l'a coordonné, de la Fédération Spirite Brésilienne, qui a cédé les originaux pour l'analyse et la réimpression, de l'Union Spirite Française et

qu'il ne s'était pas constamment produit à leur volonté, et selon leur mode d'expérimentation, ils ont conclu à la négative; malgré leur arrêt, les tables, puisque tables il y a , continuent à tourner, et nous pouvons dire avec Galilée: et pourtant elles se meuvent! Nous dirons plus: “c'est que les faits se sont tellement multipliés qu'ils ont aujourd'hui droit de cité, et qu'il ne s'agit plus que d'en trouver une explication VI INTRODUCTION rationnelle”. Peut-on introduire quelque chose contre

revue. PRÉFACE Avant Rapprocher Rimbaud, nous désirons indl~ quer que de toutes les dénominations qui ont eu cours jusqu'à ce jour à son sujet, nous n'en retiendrons, ni n'en rejetterons aucune (R. le Voyant, R. le Voyou, etc.). Simplement, elles ne nous intéressent pas, exactes ou non, conformes ou non, puisqu'un être tel que Rimbaud — et quelques autres de son espèce — les contient nêcessairement toutes. Rimbaud le Poète, cela suffit, cela est infini. Le bien décisif et à jamais inconnu de

avoir été effectuée entre la fin de 1915 et 1917 (peut-être avant pour cette dernière date); 2°. Des additions marginales; 3°. Des "paperolles", feuillets ou morceaux de papier rédigés postérieurement et collés en accordéon aux feuilles des cahiers; elles semblent postérieures aux premières additions, comme le suggère le nom du violoniste aimé de Charlus, nommé Santois dans le texte continu et les additions marginales, et Morel dans les paperolles seulement. Ces deux séries d'ajoutages ont dû continuer

imaginaires sont des êtres qui inversent leur destin. Des volontés abruptes, dont l'assise reste au secret. Ils ont des vies strictement inconciliables, possédées par des bizarreries qu'ils élèvent à hauteur d'une loi, mais une loi qui n'est ni morale ni immorale"[16]. La place de la "bizarrerie" et des lois supérieures, sont fondamentales pour cette catégorie littéraire. Plus loin, il exprime toujours pour la même œuvre : "l'être en eux est toujours autre que ce qu'il n'est. Ils n'atteignent jamais ni leur

philosophie de l’éducation en France a été possible. J’exprime également ma vive gratitude à quelques personnalités qui m’ont séduites par leur inlassable bonté naturelle. Mon séjour parisien n’a point été un long fleuve tranquille. Et sans condition, elles ont pu et su m’apporter les soutiens moral et matériel nécessaires. Je pense notamment à : - Monsieur Eyebe Ayissi Henri (l’actuel Ministre des Relations Extérieures du Cameroun). - Monsieur Bewekedi Timba Paul Emmanuel (Consul du Cameroun à Marseille

propres malles (les malles auprès desquelles j’avais passé la nuit à l’Hôtel de Balbec en pleurant), on avait chargé sur le tortillard celles d’Albertine, étroites et noires, qui m’avaient paru avoir la forme de cercueils et dont j’ignorais si elles allaient apporter à la maison la vie ou la mort. Mais je ne me l’étais même pas demandé, étant tout à la joie, dans le matin rayonnant, après l’effroi de rester à Balbec, d’emmener Albertine. Mais, à ce projet, si au début ma mère n’avait pas

seul édifice que les révolutions ne démolissent pas. Il est rare, en effet, que les révolutions soient sobres de sang humain, et, venues qu’elles sont pour émonder, pour ébrancher, pour étêter la société, la peine de mort est une des serpes dont elles se dessaisissent le plus malaisément. Nous l’avouerons cependant, si jamais révolution nous parut digne et capable d’abolir la peine de mort, c’est la révolution de juillet. Il semble, en effet, qu’il appartenait au mouvement populaire le plus clément