Les Fables Sont Elles Pour Les Adultes Ou Les Enfants

populaires orales dans les contes de Perrault. 1.3.2) Les sources du recueil des frères Grimm. 1.4) Le conte inventé. 1.4.1) Andersen. 1.4.2) Les écrivains conteurs contemporains. Les enfants : lecteurs de contes. 2) le conte merveilleux à l’école : 2.1) Le conte merveilleux, un récit pour enfants ? 2.1.1) Ceux qui émettent des objections. 2.1.2) Ceux qui y sont favorables. 2.2) Le B.O. Hors-série du 19 juin 2008. 2.2.1) La maîtrise de la langue. 2.2.2) Le socle commun des compétences

synthèse = dépassement de la contradiction par un paradoxe Ex : « les fables sont-elles des textes réservés aux enfants ? » I. Leur apparence puérile les rend compréhensibles par les enfants II. Mais les adultes peuvent aussi en tire profit, car les subtilités de la fable échappent aux enfants III. C’est parce qu’elles ont l’air enfantines qu’elles plaisent aux adultes LE DEVELOPPEMENT le devoir se développe en 2 ou 3 parties, elles-mêmes subdivisées en paragraphes (entre 2 et 4 §) chaque partie commence

septième art, sont à même de procurer ces plaisirs aux hommes. C’est ainsi que certains courants littéraires, permettent de traverser les frontières du réel et de toucher à autre chose. Pensons tout simplement aux premières œuvres littéraires qu’un enfant a entre les mains : les contes de fées. Dans ces récits merveilleux, même si les notions du bien et du mal en sont le leitmotiv, le héros, auquel le jeune lecteur peut s’identifier, est capable de tout. Il peut surmonter et braver toutes les épreuves

l’homme. a) Le lectorat ne saisi pas le message. - Type de lectorat, enfants ? Adultes ? - Un lecteur mal avisé ne décèle pas forcément les pièges dans les propos de l'auteur, le texte perd alors tout son intérêt. - Interprétation. b) La littérature impuissante. - La guerre, Ex : Primo Levi. c) La censure. - ex : Les fables Conclusion CONCLUSION : Les écrivains parle de ce qui le touche,

aujourd’hui, l’heure est plutôt à la magie… L’immense succès des quatre tomes du jeune sorcier Harry Potter devient un phénomène sur lequel s’interrogent les sociologues. Comme dans la plupart des contes, un enfant, confronté aux difficultés de l’homme, va surmonter les épreuves initiatiques pour devenir adulte. Sur cet archétype, J.K. Rowling introduit des éléments modernes, comme la critique de la société de consommation. Sa vision du monde est simple : d’un côté, les mauvais sorciers qui recherchent le

synthèse = dépassement de la contradiction par un paradoxe Ex : « les fables sont-elles des textes réservés aux enfants ? » I. Leur apparence puérile les rend compréhensibles par les enfants II. Mais les adultes peuvent aussi en tire profit, car les subtilités de la fable échappent aux enfants III. C’est parce qu’elles ont l’air enfantines qu’elles plaisent aux adultes LE DEVELOPPEMENT - le devoir se développe en 2 ou 3 parties, elles-mêmes subdivisées en paragraphes (entre 2 et 4 §) - chaque partie

homme ? Quelle est sa place dans l’univers ? Qu’est ce qui le différencie de l’animal ? D’où vient-il ? Où va-t-il ? Est-il bon ou mauvais ?... Les interrogations sur l’existence de l’homme sont récurrentes dans l’histoire de l’humanité, elles suscitent des débats et elles expriment particulièrement en littérature, sous des formes variées. La volonté de l’homme de lettres est alors d’argumenter afin de faire adhérer ses lecteurs aux thèses qu’il défend. Il est ainsi légitime de disserter de l’efficacité

une conception matérialiste du bonheur Éloge du luxe : – créateur de besoins nouveaux. Mise en relief de la chaîne économique : l’« abondance » stimule les activités humaines, surtout pour les arts, créées par des « besoins » à satisfaire, mais elles-mêmes créatrices de « besoins et plaisirs nouveaux » (cf. « chaîne » étudiée par Montesquieu) générateurs de progrès et preuve de civilisation ; – utile à la société : crée des besoins engendre le progrès général ; – toutes les activités créatrices

? » Implicitement, cela amène à comparer la fiction, argumentation indirecte, aux genres qui proposent une argumentation directe (l'essai, par exemple) et suggère la question suivante : « Pourquoi les fictions (faits imaginaires, irréels) sont-elles un moyen plus efficace pour transmettre un message que les faits réels ou les argumentations directes ? » Vous n'avez pas à préciser les limites de l'efficacité de la fiction pour « inciter à réfléchir », mais vous pouvez les évoquer rapidement

premier temps, nous verrons en quoi la fiction est une moyen efficace d’un point de vue de l’auteur, puis nous montrerons en quoi il l’est également du point de vue du lecteur. Les oeuvres de fiction sont efficaces du point de vue de l’auteur car elles comportent de nombreux avantages. L’œuvre de fiction est utile pour l’auteur, car elle lui offre plus de libertés. D’abord, l’écrivain d’œuvres fictives est libre de varier les registres selon son gout. En effet, l’auteur peut multiplier les tonalités