Les Fables Universelles

l’auteur défend une idée et l’adhésion du lecteur en développant des arguments qui visent à le convaincre et à l’amener peu à peu à la réflexion. L’argumentation est présente dans différents genres et formes littéraires, elle peut être présente dans les fables, les contes philosophiques ou encore les essais. Dans la littérature nous pouvons distinguer différentes formes d’argumentation. C’est pourquoi nous pouvons nous demander quelles sont les stratégies littéraires qui nous semblent les plus efficaces

Les animaux malades de la peste Introduction      La Fontaine a écrit deux recueils de fables qui sont divisés en livres. Le premier a été publié en 1668, c’est une dédicace au Dauphin et le deuxième en 1678. La fable prête à l’animal les qualités et les défauts de l’homme et le monde animal crée par La Fontaine est la représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit

les maîtres mots de la doctrine classique qui s'est développée en réaction au courant baroque, né au début du XVIIe et dont l'influence est sensible tout au long du siècle. La raison est alors considérée comme le seul moyen d'accéder à la vérité universelle et à la perfection esthétique. Alors que Descartes invente une méthode rationaliste visant à produire des réflexions ordonnées, Pascal proscrit l'imagination qu'il juge trompeuse. Les passions, sources de désordre sont également condamnées par les

pourrait-on pas alors formuler l’hypothèse que cette histoire reproduit la relation qui peut exister entre le fabuliste et son lecteur ? On imagine sans mal les incompréhensions qui peuvent se produire à partir des préceptes moraux contenus dans les fables, et on aurait ainsi une réflexion sous forme de bilan à propos d’une pratique d’écriture. I - Un récit figurant la relation entre le fabuliste et son lecteur a - deux personnages typés * le Philosophe scythe est présenté comme un personnage en

une source de plaisir, un moyen de distraction mais aussi un moyen d'argumentation et de persuasion. Mais on s'aperçoit que les deux fonctions peuvent se compléter en les utilisant communément. Ces deux fonctions se complètent dans les fables de Jean de La Fontaine. En effet, l'auteur illustre toujours un début d'histoire fictif à une fin moralisatrice que l'on retrouve dans « La cigale et la fourmis » ou dans « Le corbeau et le renard ». On rejoint également les contes philosophiques

En quoi cette fable est elle une dénonciation de la société de La Fontaine ? Intro : Les obsèques de la lionne est une fable de la fontaine. Fables beaucoup plus philosophique et longues avec un caractère plus humain (Recueil 7). La Fontaine est un personnage artistique qui aime la solitude et la poésie. Nous verrons en quoi cette fable est elle une dénonciation de la société de La Fontaine. La Fontaine = Maitre d’ouvrage, Fabuliste donc un regard critique Axe 1 : L’art du récit / un

Le mécène de la Fontaine Louis XIV est enfaite le second mécène qu'il eut, son premier étant Fouquet qui a été emprisonné par Louis XIV pour avoir fait l'erreur de l'invité dans son château qui était mieux que celui du roi. La Fontaine dans ces fables essais donc de dénoncer l'orgueil et la vanité des français. I- La mise en place d'une anecdote plaisante a) Mise place d'une anecdote vivante en Mise en place du récit grâce à l'imparfait de narration, verbe à l'imparfait "voyait" "rallait" "marchait"

l’auteur défend une idée et l’adhésion du lecteur en développant des arguments qui visent à le convaincre et à l’amener peu à peu à la réflexion. L’argumentation est présente dans différents genres et formes littéraires, elle peut être présente dans les fables, les contes philosophiques ou encore les essais. Dans la littérature nous pouvons distinguer différentes formes d’argumentation. C’est pourquoi nous pouvons nous demander quelles sont les stratégies littéraires qui nous semblent les plus efficaces

plus, il semble réducteur de dire que la littérature se borne à des lieux communs, puisque cela ne laisse aucune place à l’imagination, au génie et l'originalité. Selon Charles du Bos, la littérature ne serait qu’un éternel remaniement d’images universelle et convenues. Le mouvement littéraire influencerait donc seulement la perception de ces idées banales, et le rôle de l’écrivain serait donc uniquement d’appliquer sa subjectivité et son style à un fond commun, pour se démarquer par rapport à la

l'illusion du réel et le goût pour les histoires. Tout d'abord, les genres de la fiction sont très variés : l'apologue (fables au XVIIe siècle, contes philosophiques au XVIIIe siècle), à travers une histoire merveilleuse et mouvementée, délivre un message. Pour Victor Hugo, « le théâtre est une tribune ». Giraudoux, dans La guerre de Troie n'aura pas lieu, plaide pour la