Les Fausses Confidences Acte 3 Scène 1

.......................................1 Préface.................................................................................................2 Introduction.........................................................................................7 Acte premier........................................................................................8 Acte deuxième...................................................................................23 Acte troisième..............................

Origines du genre : 2 plans : - sociologique, culturel - littéraire 1)aspect sociologique : cf. : Georges Dumézil : « Mythes et épopées » : grand théoricien des représentations et des sociétés indo-européennes : culture originelle commune. Peuple indo-européen regroupé entre Ukraine et lac Baïkal vers 5000 avt JC. Méthode comparatiste : mise en évidence des similitudes ; ex : idéologie de la tripartie : 3 classes sociales : - fonction religieuse - fonction guerrière

figure d’une relation platonique. On assiste à la désillusion d’un amour terrestre et social (le rôle des fiançailles et du mariage) auquel on préfère l’amour de Dieu. On remarque aussi l’amour secret (celui de Juliette pour Jérôme), les fausses confidences et l’amour impossible. La raison : la raison conduit à un bonheur simple est accessible, à la vie, aux joies terrestre est à la maternité. Juliette en est le symbole bien que malheureuse. RÉSUMÉ : la porte étroite peint, dans une langue qui

●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●● 10 janvier – 10 février 2013 / Odéon 6e Fin de partie mise en scène Alain Françon _____ © Odéon-Théâtre de l’Europe / 2012-2013 / dossier d’accompagnement / Fin de partie / 10 janvier – 10 février 2013 / Odéon 6e DOSSIER D’ACCOMPAGNEMENT Fin de partie ●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●● Fin de partie de Samuel Beckett mise en scène de Alain Françon durée : 1h40 Décors et costumes Jacques Gabel Lumière Joël Hourbeigt Avec Serge Merlin

PHÈDRE TRAGÉDIE RACINE, Jean 1677 Publié par Gwénola, Ernest et Paul Fièvre, Avril 2015 -1- -2- PHÈDRE TRAGÉDIE par Mr RACINE À Paris, chez Claude Barbin, au Palais, sur le perron de la Sainte Chapelle. M. DC. LXXVII. Avec privilège du Roi. Représentée pour la première fois le 1er janvier 1677 à l'Hôtel de Bourgogne. -3- Préface. Voici encore une tragédie dont le sujet est pris d'Euripide. Quoique j'aie suivi une route un peu différente de celle de cet auteur pour la conduite de l'action

Séquence 3 Beaumarchais Le Mariage de Figaro, ou la folle journée (1784) Objet d’étude E Le théâtre, texte et représentation. Sommaire Introduction 1. L’œuvre et son contexte 2. Le Mariage de Figaro : une habile composition 3. Intrigues et dialogues : l’art du dramaturge 4. Prolongements : maîtres et valets au théâtre, du XVIIe siècle à nos jours Séquence 3 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction L’objet d’étude Pour l’objet d’étude « Le texte théâtral et sa représentation

l’intérêt philosophique (page 49) la destinée de l’œuvre (page 53) Bonne lecture ! ACTE I Scène 1 : À Florence, à minuit, à la fin décembre 1536, dans un jardin, le duc Alexandre de Médicis, accompagné de son écuyer, Giomo, et de son favori et entremetteur, Lorenzo, enlève Gabrielle, une jeune fille, dont le frère, Maffio, est brutalement désarmé. Scène 2 : Le lendemain matin, dans une rue, des bourgeois constatent les débordements auxquels se livrent les nobles à

canevas proprice par lequel, l’homme lutte pour le rétablissement d’une condition sociale bafouée. Depuis René Maran avec Batouala, Ousmane Socé avec Karim, jusqu’à Henri Lopès, l’auteur de Le Pleurer-Rire en passant par Seydou Badian, avec son roman Sous 1’Orage, il n’est plus à démontrer que l’artiste est le porte parole du groupe social dont il est issu. A l’exception de ces auteurs africains cités, on se rend compte qu’aux EtatsUnis d’Amérique, le mouvement de la Négro-Renaissance avec tous ses écrivains

d'orgueil et de timidité, connut un des moments les plus délicieux de son existence, quand « un murmure de surprise et d'applaudissement », puis une ivresse aussi « pleine » que « douce » envahit la salle. Le lendemain, le roi, avec la voix la plus fausse du royaume, en chantait les grands airs et fit inviter le musicien à se présenter le lendemain à son audience. Monsieur de Cury lui en fit la commission. Mais la nuit qui suivit fut terrible pour Rousseau : d’une part, il redoutait que « la rétention

*** 295 1997 Tout le monde connaît Pierrot, Colombine, Polichinelle et Arlequin… Mais qui peut dire l'origine du mot « pantalon » ? Et qui a déjà vu en scène Colombine aux prises avec son vieux tuteur Pantalon ? Tous ces personnages viennent de la comédie italienne : ils sont plus connus que le théâtre qui les anime. C'est normal : la commedia dell'arte ne propose pas de texte figé définitivement que l'on retrouve dans les anthologies, mais des scénarios pour improviser autour des figures