Les Fausses Devotes

celle du Palais Royal vers 1660, dans ces ils obtient de nombreux succès en tant qu’auteur , acteur et directeur de troupe En 1644 à Versailles , Molière joue Tartuffe dans cette pièce il critique l'hypocrisie des faux dévots, cela fait scandale Le Roi interdit cette pièce car les dévots ce sentent visées Dom Juan en 1665 a été jouer , obtient aussi des remous, malgré son succès,elle est aussi retirée Molière n'a pas de problèmes avec le Roi de plus il bénéficie encore la faveur du Roi Beaucoup de

exemple personnel : "Combien pensez-vous que je sais ?". Les chiffres ici sont raisonnables. Il part d'un constat : il parle en termes généraux, utilisant la troisième personne du pluriel "ils" pour désigner les fidèles qui se cachent derrière une fausse humilité : plusieurs inclinations de la tête, soupirs de honte, roulements d'yeux". Mais en fait, c'est ce qu'il voulait s'appliquer à lui-même. On remarque ainsi l'opposition entre ce qu'est vraiment Don Juan et ce qu'il veut faire apparaître aux

fille à épouser Tartuffe, homme en apparence des plus respectables. Celui-ci accepte dans le seul but de se rapprocher de la femme d’Orgon, Elmire. Fort de sa réputation de dévot, qui le rend insoupçonnable, Tartuffe utilise toutes les bassesses pour la séduire et la déshonorer. Molière dénonce l’hypocrisie de certains dévots et en tournant en dérision le mariage de convenance, veut attaquer le système social qui ne prête nullement attention aux sentiments et aux désirs des jeunes gens. Egalement

Tartuffe », Molière s'attaque à l'hypocrisie et à la fausse dévotion tout en faisant rire. A la scène 4 de l'acte I, Orgon exagère en se préoccupant plus de Tartuffe que de sa propre famille, son amour pour Tartuffe en devient presque une obsession. De plus, les nombreuses répétitions de « pauvre homme » par Orgon participent à cette exagération et produisent ainsi le comique de scène. Tartuffe lui aussi amplifie son comportement de « dévot parfait » en complimentant Orgon de toutes sortes de

catholique, écrit dans une époque troublée sur le plan religieux : En 1685, Louis XIV a annulé l’édit de Nantes promulgué par son grand-père, Henri IV, en 1598, ce qui pousse les Protestants à fuir massivement hors de France. ● L’impact des Dévots  : La Compagnie du Saint-Sacrement fondée en 1629 par le clergé, comprend des religieux, tels que Bossuet ou Saint Vincent de Paul et des laïcs comme le Prince de Conti et la mère de Louis XIV, Anne d’Autriche

sujets susceptibles d’irriter la conscience du pouvoir régnant. La pièce de Le Tartuffe s’inscrit dans cette même perspective du moment où elle a suscité une grande polémique et fut l’objet de plusieurs censures, la dénonciation de l’hypocrisie et la fausse dévotion a été interprétée comme une hérésie par le pouvoir religieux, dans un temps où même la glorification de la religion était prohibée sur scène. L’originalité de Molière réside dans son habileté de joindre le comique à la comédie dans une

indéniablement LE dramaturge comique du 17 eme siècle et ses pièces telles que Dom Juan ou encore Tartuffe sont restées des références en matière de comédie. En effet, ces deux pièces ironique présentent de nombreuses similitudes telles que la critique des dévots ou encore l’hypocrisie. La scène 3 de l’acte 4 fait suite à l’invitation du commandeur. On passe d’une scène à l’atmosphère lourde où Dom Juan défie une personne qu’il a tuée à une scène de comédie proche de la farce qui illustre bien l’expression

tel Tartuffe le faux dévot dans Tartuffe ou L’imposteur. Dans la tirade, Arnolphe a recours au lexique de la religion et plus particulièrement au thème de l’Enfer qui attend Agnès si elle succombe aux avances du jeune « blondin », Horace. (enfers, chaudières bouillantes, diable). La religion est ici un instrument de domination. Molière, à travers la bouche d’Arnolphe condamne une société reposant sur la peur et la contrainte. 3. deux types de société qui s’affrontent : dévots contre libertins Comme

Le Tartuffe de Molière est une comédie classique en cinq actes et en alexandrins, autorisée en 1669 après avoir été censurée en raison de la dénonciation de la fausse dévotion que met en œuvre le dramaturge. En effet, le personnage éponyme de cette comédie prend place dans la famille d’Orgon en se faisant passer pour un saint homme. Alors que l’ensemble de la famille comprend rapidement la supercherie jouée par Tartuffe, Orgon s’entête à défendre son hôte. Nous avons affaire ici à la scène 4 du premier

dès 1664, il se sert du rire comme d'une arme au service de quelque chose et contre quelqu'un. Avec les moyens qui sont les siens, et sont sans doute plus efficaces que tous les pamphlets, il dénonce inlassablement l'éducation donnée aux filles, la fausse science, l'intolérance religieuse et les scandales de la bonne société. Auteur engagé, Molière sera d'ailleurs censuré par le Pouvoir : Tartuffe interdit à deux reprises (en 1664 et en 1667) et Dom Juan interrompu à la quinzième représentation. Le