Les Femmes Dans La Nuit De Valognes

pas». Les gitans l'accueillent avec méfiance, mais comme les enfants prennent plaisir à écouter ses histoires, ils finissent par l'adopter. Tous les mercredis, elle vient passer un moment avec eux. Après la lecture, elle prend un café avec les femmes. Malgré sa douceur et sa discrétion, elle reste en décalage: ses bonnes intentions et sa culture s'adaptent mal au mode de vie des gitans. L'étranger . Albert Camus Appelé à l'asile où sa mère vient de mourir (premier texte), Mersault accomplit

dames: Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Au bonheur des dames - Emile Zola Les débuts au grand magasin Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Au bonheur des dames - Emile Zola Denise Baudu, une jeune Normande de 20 ans originaire de Valognes, arrive à Paris avec ses frères Jean et Pépé, âgés respectivement de 16 et 5 ans. Leur père, qui tenait une teinturerie, vient de décéder des suites d'une maladie dont est morte leur mère un an plus tôt. Leur oncle Baudu avait écrit à Denise à cette

elle répondit qu’elle se présentait comme vendeuse. Bourdoncle rigola parce qu’elle n’avait rien de beau chez elle. Mme Aurélie demanda a Denis son nom, son âge, dans quelle maison de Paris avait elle travaillé. Denise répondit qu’elle venait de Valognes et Mouret la questionna a son tour quand il eut fini Mme Aurélie demanda a Denise ou résidait-elle a Paris et elle répondit chez son oncle Baudu et là Mouret réagit de nouveau et lui dit de faire passer un message a son oncle. Mme aurélie ferma le

texte : P élu parmi citoyens le + capable de gouverner : valeurs morales. Entouré de conseillers et d’assemblée pr traiter affaires du royaume > pvr partagé de façon à éviter les excès + risques tyranie Séquence 3 : la P de Clèves Molière, L’Ecole des femmes, acte I scène 1, 1662 : éduc des filles selon Arnolphe = Flaubert, Madame Bovary, scène du bal, 1857 : en comparaison avec le bal chez Mme de LF : pas respect mari > le méprise, pas admirée = moins belle que PdC, pas décrite ds le lieu, n’appartient

doit malheureusement subir les moqueries et l’hostilité de ses collègues . Très vite, Mouret, le patron du Bonheur des Dames, la remarque et en tombe secrètement amoureux... II) Résumé Denise Baudu, une jeune Normande de 20 ans originaire de Valognes, arrive à Paris avec ses frères Jean et Pépé, âgés respectivement de 16 et 5 ans. Leur père, qui tenait une teinturerie, vient de décéder des suites d'une maladie dont est morte leur mère un an plus tôt. Leur oncle Baudu avait écrit à Denise à cette

puis disparue -Robineau : second à la soie puis renvoyé -Victor : serveur au réfectoire Les petits commerçants : -Bédoré et sa soeur : dirigeants de la bonneterie -Bourras : vendeur de parapluies -Cornaille: propriétaire d'une boutique à Valognes où travaillait Denise avant d'arriver à Paris -Deslignières : bimbelotier -Finet Aristide : fondateur de la boutique des Baudu -Grognet : parfumeur -Hauchecorne : successeur de Finet -Naud : cordonnier -Piot et Rivoire : marchands de meubles

puis disparue -Robineau : second à la soie puis renvoyé -Victor : serveur au réfectoire Les petits commerçants : -Bédoré et sa soeur : dirigeants de la bonneterie -Bourras : vendeur de parapluies -Cornaille: propriétaire d'une boutique à Valognes où travaillait Denise avant d'arriver à Paris -Deslignières : bimbelotier -Finet Aristide : fondateur de la boutique des Baudu -Grognet : parfumeur -Hauchecorne : successeur de Finet -Naud : cordonnier -Piot et Rivoire : marchands de meubles

Orou est l’hôte de ce dernier, et selon le code de l’hospitalité de sa société, il offre à son invité la possibilité de choisir une femme pour la nuit. L’aumônier refuse au nom de « sa religion, son état, les bonnes mœurs et l’honnêteté ». Cela fait réagir Orou et provoque une discussion entre les deux hommes. Le jésuite finit par céder et passe la nuit avec Thia. Le jour suivant, Orou interroge son invité sur la signification du mot « religion ». Le jésuite lui explique les conceptions chrétiennes

impressionniste, doit s’intéresser à ce qui fait la particularité de son temps, et on sent bien dans Au Bonheur des dames l’attention que porte Zola à la description des toilettes des femmes. Il faut aussi préciser que la femme semble être le symbole et l’idole de la Belle Epoque. Elle est chantée partout, qu’il s’agisse des femmes du monde et de leur élégance, ou des « grandes Cocottes »… Mais l’écrivain n’oublie pas non plus celles qui travaillent pour des salaires bien inférieurs à ceux des hommes. Leur

main de Charlotte. Il doit quitter la scène sous les soufflets de Dom Juan. Sganarelle tente de s’interposer mais il reçoit alors des coups qui ne lui étaient pas destinés. Apparaît Mathurine, une autre paysanne séduite par Dom Juan. Les deux jeunes femmes se jettent l’une à l’autre les promesses de mariage qu’elles ont reçues de Dom Juan. Celui-ci va de l’une à l’autre pour les assurer de son amour, tandis que Sganarelle tente de les détromper. Soudain, un valet vient avertir Dom Juan que des hommes