Les Femmes Dans Le Pere Goriot

femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison-Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les mœurs de ce respectable établissement. Mais aussi depuis trente ans ne s'y était-il jamais vu de jeune personne, et pour qu'un jeune homme y demeure, sa famille doit-elle

aux sombres ramures, ces jardins parsemés d’édifices étrusques, égyptiens ou grecs, c’est la ville des morts, c’est la grande nécropole parisienne, plus peuplée mille fois en ses funèbres sous-sols que la capitale qui s’étend à ses pieds : c’est le Père-Lachaise. Émile de Labédollière, Le Nouveau Paris, 1860 IntroductIon Nous avons choisi de parler des cimetières, parce qu’ils exercent sur nous une attraction, une fascination. Ils posent la grande question à laquelle personne ne peut répondre

Extrait des Liaisons dangereuses (Lettre 81) Extrait de Le Rouge et le Noir : la scène de la rencontre Extrait du Père Goriot : portrait de Mme Vauquer Extrait du Planetarium : incipit Introduction : Les extraits de La Princesse de Clèves, roman classique du 17ème siècle, des Liaisons dangereuses, roman épistolaire du 18ème siècle, de Le Rouge et le Noir ainsi que du Père Goriot, romans du 19ème siècle et enfin du Planetarium, roman du 20ème siècle ont un point commun : la présentation d’un

À défaut d’être le plus lu, Le Père Goriot passe pour le roman le plus célèbre de Balzac. On le veut souvent exemplaire d’une esthétique réaliste dont Balzac serait l’un des représentants majeurs. Le texte que nous nous proposons de commenter ici est l’incipit du roman, son ouverture, qui décrit tout à la fois son lieu central, la pension Vauquer, Paris et cherche à se définir comme œuvre littéraire. Balzac parvient-il ici, et comment, à assumer simultanément le contrat d’ouverture et les fonctions

QUESTION DE CORPUS : -défauts des personnages texte A : Fabrice est naif et veut devenir un héros à la guerre. B : Les Verdurins se veulent mondains mais ils sont grossiers, grotesques et vulgaires. C : la lâcheté d'Adrien Deume. D : deux jeunes femmes coquettes superficielles et égocentriques IL FAUT BIEN SUR REGROUPER LES TEXTES -dans tous les textes se retrouve un décalage ironique -L'ironie est renforcée par la focalisation interne chez Stendhal et Cohen -Des interventions de la part de

Bel-Ami, son premier regard se porte sur "Madame de Marelle" (désir) et le second sur "la foule". On retrouve les deux soifs du héros de l'incipit: les femmes et l'ambition. * Le point de vue omniscient nous montre que les femmes sont plus importantes que l'ambition, le mot "lit" clôt le roman, c'est l'ouverture finale, comme dans Le Père Goriot ou Rastignac décide de se rendre chez la baronne de Nucingen. Bel-Ami, un arriviste arrive 1. La Madeleine représente la réussite 1. Un

et des états d’âme. Balzac était une génie à part. Il montre des choses réelles qui se passent à la vue de tous. Il critiquait son époque et écrivait des romans y compris Eugénie Grandet, qui contenaient les pensées du réalisme. On le nommait le père du réalisme. « Balzac est faciné par la quantité d’énergie qui explose dans la société. Il s’attache à montrer aussi l’inhumaine brutalité d’une société où l’ordre est toujours un simulacre d’ordre 7 ». Le roman balzacien est avant tout

autant la famille que le héros. Marthe Robert dit : « L’origine de tous roman est le roman familial ». Dans Balzac, cela se rapporte à « mon père n’est pas mon père ». c’est le roman de la famille au XVIIIème siècle. Le roman central de la Comédie Humaine est le Père Goriot. Il y a une problématique familiale chez Rastignac et dans l’histoire de Goriot et de ses filles. C’est également le cas de façon métaphorique dans la pension Vasquer : c’est un monde de pervers et de ratés. IV).Les personnages

agent de change, époux de la précédente (son nom figure dans César Birotteau). Il quitte Paris après la mort de Clémence – Henri FERRAGUS : nom de guerre (en fait Ferragus XXIII) de Gratien Bourignard, ancien entrepreneur de bâtiment, forçat évadé, père de Clémence. Apparaît aussi sous le nom de Camuset et du comte de Funcal. En 1815 il accompagne de Marsay chez la fille aux yeux d'or. – Comte de FUNCAL : semble un précurseur de Vautrin. – Ida GRUGET : couturière, prostituée, maîtresse de Ferragus

chemin » Stendhal Balzac souhaitait « faire concurrence à l’Etat civil ». Eugène de Rastignac Dans le Père Goriot, c’est un étudiant qui vit dans la pension Vauquer. A la mort du personnage éponyme, il paie son enterrement, contrainte due à la cruauté des deux filles du Père Goriot, qui ne sont pas présentes. Confronté au cynisme (Vautrin) et aux duperies des autres, il verse sur le tombeau du père sa « dernière larme » d’innocence. N’ayant plus d’illusions dur la société, il décide pour rejoindre