Les Femmes Dans Lorenzaccio

Renaissance. L’art s’y développe avec de nombreux artistes tels que Michel-Ange ou Léonard de Vinci. Florence est le berceau de la Renaissance. -Les différents lieux de florence dans la pièce, marque de la renaissance : Dans la pièce de théâtre Lorenzaccio, les scènes se passent dans de nombreux lieux de Florence. Ces lieux sont prestigieux d’une part par leur richesse culturelle de l’autre par leur architecture de la renaissance Exemple : Le palais Strozzi, le palais du duc, le pont vecchio, la

Alfred de Musset est un dramaturge et un poète du 19ème siècle issu d’un milieu aisé. Il est l’auteur de drames romantiques comme Lorenzaccio mais aussi de comédies et proverbes dont « on ne badine pas avec l’amour ». Ainsi nous allons étudier un extrait de l’acte II de cette dernière pièce. Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière a appris à ne pas faire confiance aux hommes, influencée par les lettres de Louise, une religieuse du couvent dans lequel Camille a été éduquée

mouvement classique recherche d’équilibre et d’harmonie, rigueur et sobriété, idéal esthétique codifié. Genres littéraires dominants : théâtre tragique (Corneille, Le Cid, Horace... ; Racine, Britannicus, Phèdre...) et comique (Molière, L’École des femmes, Dom Juan...) ; poésie (La Fontaine, Fables) ; littérature d’idées (La Bruyère, Les Caractères, Pascal, Pensées). Au XVIIIe siècle, le mouvement dominant est celui des Lumières : esprit critique et lutte contre les superstitions et les préjugés

DM Littérature Introduction Lorenzaccio, héros éponyme de la pièce de Musset, est un jeune homme noble, efféminé, débauché mais pur d’une certaine manière qui a pour but d’aider les Florentins en les libérant de leur tyran Alexandre de Médicis (également protecteur de Lorenzo). De nombreux metteurs en scène ont fait jouer le rôle de Lorenzo par de femmes depuis la création de la pièce par Sarah Bernhardt en 1896 mais Georges Lavaudant en 1989 et Jean-Pierre Vincent en 2000 ont choisi de faire

de consommer le spectacle. On l’aura compris, aller au théâtre révèle des comportements sociologiques et culturels. Quelles attitudes de spectateurs pouvons-nous découvrir au travers des extraits proposés par le corpus ? La Critique de L’École des femmes de Molière est à rapprocher de Cyrano de Bergerac de Rostand pourtant écrit deux siècles plus tard. Tous les deux rapportent les attitudes caractéristiques de publics typés dans des représentations jouées au Siècle classique. Antigone d’Anouilh et

aux personnages qu’ils incarnent. En effet, ce sont eux qui donnent le ton, leur diction permet de mieux comprendre, notamment lorsque les pièces sont écrites en vers. Comme on peut le voir lors du quiproquo entre Arnolphe et Agnès ds L’Ecole des femmes. Ce passage est un moment clef de la pièce qui montre le caractère des deux personnages principaux. Le fait qu’ils se donnent la réplique et que le rythme soit rapide, seul lors d’une représentation le spectateur comprend mieux le passage. Tandis

manifesté, le croyant au service du tyran. À travers eux, il manifeste un désir de reconnaissance bien plus général envers tous ceux qui l’ont conspué : « Et me voilà dans la rue, moi, Lorenzaccio ? Et les enfants ne me jettent pas de la boue ? » (III, 3). Ainsi, Lorenzo, en prenant de la distance par rapport à Lorenzaccio, tend à réaffirmer son amour propre auprès de l’humanité : « voilà assez longtemps… que l’exécration des hommes empoisonne le pain que je mâche […] Il faut que le monde sache un peu

noue des aventures amoureuses. Ces regards distraits par l’environnement ne suivent pas vraiment la pièce, sauf si l’objet de leur convoitise est une actrice… Il existe aussi les codes culturels qui dictent des conduites. La Critique de L’École des femmes nous montre les préventions de l’aristocratie à l’encontre de la comédie et des « continuels éclats de rire que le parterre y fait ». Outre le fait que les marquis ne sauraient mêler leur voix à celle du peuple ou des bourgeois, il faut y voir leur

légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) : Les Précieuses ridicules (1664) Le Misanthrope (1666) L’Avare (1668) Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Femmes savantes (1672) Le Malade imaginaire (1673) La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » (Castigat ridendo mores, dit l’adage latin). Pour Molière, il s’agit de « corriger les hommes en les divertissant » (Molière, « Premier

maladies qui sont inévitables ; de sorte que, s'il est sans ce qu'on appelle divertissement, le voilà malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets, qui joue et qui se divertit. De là vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre, les grands emplois sont si recherchés. Ce n'est pas qu'il y ait en effet du bonheur ; ni qu'on s'imagine que la vraie béatitude soit d'avoir l'argent qu'on peut gagner au jeu, ou dans le lièvre qu'on court : on n'en voudrait pas, s'il