Les Femmes Drame Romantiques

se retrouvent dans les codes même de la littérature. En effet, un personnage de roman notamment un personnage romantique va subir son destin, il ne le contrôle pas et ainsi est le résultat de toutes les péripéties auxquelles il a essayé d'échapper. Citons un des romans les plus connus de la littérature française «Les misérables» de Hugo, qui nous présente des personnage types romantiques comme Jean Val Jean. La situation même de ce dernier est très représentative d'un personnage qui subit son destin

grâce aux acteurs et aux spectateurs, qui doivent y croire. Comme Victor Hugo le dit dans la préface de son œuvre Cromwell, fondatrice du drame romantique, « Le théâtre est un point optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l’histoire, dans la vie, dans l’homme, tout doit et peut s’y réfléchir mais sous la baguette magique de l’art ». Ici, il parle du drame et du théâtre comme le miroir du monde. On retrouve alors le caractère représentatif de cet art, la présentation du vrai dans celui-ci.

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à la musique et au dessin. Dans le cadre de ce travail, nous allons nous focaliser seulement sur le théâtre lorquien. En 1920, sa première pièce de théâtre, El Maleficio de la Mariposa, est un véritable échec, mais il ne se décourage pas car son drame patriotique, Mariana Pineda, (1927) lui permet de renouer avec un certain succès. En 1931, au sortir de la dictature de Primo Rivera, Lorca est nommé directeur de la Barraca, théâtre universitaire itinérante dont la mission est d’aller dans les régions

en en rejetant les principes esthétiques (Cf. Victor Hugo, préface d'Hernani). - Le classicisme est défini comme la recherche de l’harmonie et de l’équilibre, alliés à la pureté. On ajoutera la concision. - Les œuvres des classiques (Molière, Les Femmes savantes et l'ensemble de son théâtre - La Fontaine et ses Fables - Racine, entre autres tragédies..etc) allient la rigueur de la composition, la précision et la clarté du style à la recherche du naturel, du vraisemblable et à la finesse de l’analyse

Auteur : - influencé par les Romantiques et les Parnassiens - fait scandale avec son recueil Les Fleurs du mal pour « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs ». - Journaliste et critique d’art, il a traduit des œuvres. - Œuvres : « Petits poèmes en prose » : forme originales poétique et Spleen de Paris. L’œuvre Intro : Son œuvre majeure est Les Fleurs du Mal, un recueil de poèmes qui révèle les projets poétiques de Baudelaire (: souvenirs de voyages, femmes qu’il a aimées… (albatros)):

La littérature du Moyen Âge L'expression de "Moyen Âge", datant du début du XVIIe siècle, qualifie de manière péjorative, dans la vision des humanistes, la période qui s'étend de la fin du Ve siècle à la fin du XVe siècle. C’est au XIXe siècle romantique qu’on doit sa redécouverte après cette longue éclipse qui a fait de cette époque littéraire une période méprisable par rapport à la Renaissance, par exemple. Et pourtant, c’est au Moyen Age que se situent les débuts de la littérature française dont

être considérée comme « drôle » par le lecteur et, aussi par le metteur en scène qui va préférer l’axer dans une autre voie => Il va donc orienter la pièce dans selon sa propre lecture. NB : À l’époque romantique, L’École des femmes n’a plus été considérée comme vraiment comique car les romantiques ont vu en Arnolphe un personnage seul. De ridicule, il devient délaissé => donc, les représentations ont insisté sur sa solitude, sur son amour perdu. Acte II, scène 5 : Ce fameux passage du ruban =>

dettes. Peu à peu la passion des amants s'affaiblit et l'euphorie se dissout dans les tracas matériels. Traquée, humiliée, déçue, malade , elle s'empoisonne à l' arsenic au milieu de l'indifférence sordidement curieuse des figurants de ce drame : parents , voisins, petits notables , et amants , à l'exception de Charles qui finit par mourir de désespoir devant l'accumulation des preuves de son malheur. Intérêt philosophique (Extrait d'une analyse de André Durand) Dans

figés » Samuel Becket , En attendant Godot →Les fausses sorties ou les entrées fracassantes : sont depuis longtemps un ressort comique très utilisées dans le théâtre de boulevard et les vaudevilles, mais on peut le trouver aussi dans le drame romantique : « On entend un grand bruit dans la cheminée, par laquelle on voit tomber tout à coup un homme, enveloppé d’un manteau déguenillé qui se précipite dans la chambre » Victor Hugo, Ruy Blas IV, 2 → Les costumes et accessoires