Les Femmes en blanc

Les occupations des femmes au Moyen-Âge Les paysannes : Les paysannes cultivaient pour les nobles, faisaient la corvée, le ménage et la cuisine, s’occupaient des enfants, coupaient le bois, soignaient les animaux de la ferme, tuaient les porcs, tiraient la charrue… Elles fabriquaient elles même leurs vêtements. Quand celles-ci étaient enceintes, elles continuaient de travailler sauf au moment d’accoucher. Les femmes nobles : Les femmes nobles aimaient danser, chanter, jouer d’un instrument

les deux femmes ainsi que l’animal orange sur le premier plan. 2)Il s’agit d’une peinture. Il semble que ce tableau représente une scène de la vie quotidienne d'une tribu, l’atmosphère semble paisible et tranquille les couleurs utilisées sont très contrastées ,l’artiste à principalement utilisé des couleurs chaudes, les détails sont effacés. Au premier plan, l'accent est mis sur deux jeunes femmes à peau métissée, l’une semblant

cimetière, ce qui nous laisse penser que la fosse a été creusée au milieu de nulle part. Le peintre fait figurer la scène à un moment précis : le convoi vient d'entrer dans le cimetière et s'est scindé en trois groupes (les officiants, les hommes et les femmes). La religion et la mort : Dans Un enterrement à Ornans se mêlent conjointement les thèmes de la mort et de la religion à travers l'enterrement, un rite funéraire occupant une place fondamentale car il soude dans le chagrin la communauté villageoise

l’arrivée des premiers peuples blancs sur le nouveau continent. Cette histoire se déroule à Fort Montbrun, une colonie d’Angleterre s’étant installée sur des terres indiennes depuis près de trente ans. Ces terres colonisées sont le résultat de guerres entre les tribus indiennes et les Blancs venus peupler de nouvelles terres. Après plusieurs années de tranquillité de la part des Indiens, on fait maintenant face à la préparation d’une rébellion pour retourner les Blancs à l’océan. C'est pourquoi je

pardonne pas de quitter leur place en découvrant l’envers du décors des maître blancs publié à paris, Julliard en 1965 et redite en 1962. Le vieux nègre et la médaille Publié à paris en octobre 1956 et réédité en 1967 se concentre sur la date symbolique du 14 juillet, fêtée dans un district éloigné. Chemin d’Europe Publié à Paris en 1960. Ce roman raconte, quant à lui, l’exploration plus ou moins chaotique du monde des Blancs dans une bourgade africaine par un jeune homme qui veut se couper de ses racines

Noirs, lorsqu’ils avaient suffisamment de moyens, préféraient d’ailleurs l’automobile pour éviter la ségrégation dans les transports en commun du Sud. Mais ils étaient alors confrontés à de nombreuses difficultés. Certains établissements tenus par des Blancs refusaient de les accueillir ; des restaurants ou des bars ne voulaient pas les servir ; ils risquaient de se faire agresser physiquement ou humilier. Certaines localités, dites Sundown Towns, étaient même interdites aux Noirs. Dans le guide, le premier

 LA TONDUE DE CHARTRES: 1)Présenter l'oeuvre : Le titre de cette œuvre est «la tondue de Chartres» et c'est une photographie en noir et blanc de papier baryté : Le papier baryté est un papier photo destiné au tirage argentique en noir et blanc. C’est un support épais qui offre une surface glacée très lisse et un blanc obtenu à partir de sulfate de baryum (ou baryte). Il est très apprécié des spécialistes pour sa très bonne conservation dans le temps, sa tenue en main et son très beau rendu

 forme grossièrement trois groupes. À gauche, le clergé entoure le cercueil. Le prêtre récite les dernières prières que ni les hommes vêtus de rouge ni les enfants de chœur n´écoutent. Au centre, plusieurs notables, avec sans doute le maire. A droite, les femmes dont deux sanglotent dans leur mouchoir. Un peu à part, agenouillé au premier plan, le fossoyeur suit des yeux le prêtre qui rend les officies. Et vers la droite, un chien tourne la tête comme pour indiquer que quelque chose d´autre se passe à l'extérieur

Analyse À partir de la définition de l'UNESCO sur les préjugés raciaux dans la partie ci-dessus, nous pouvons constater que les deux communautés les Blancs et les Noirs mettent en œuvre ce que cette même définition dénonce . Premièrement, pour les Blancs un Noir doit être battu corporellement pour le raisonner. En effet, dans une scène l'épouse du Commandant fait allusion à cette violence gratuite à l'encontre des Noirs « monsieur le régisseur de prison a bien

couleurs chaudes, du rose pâle à l’ocre rouge, dominent, notamment dans les corps des femmes. Cependant, des couleurs froides, blancs, gris, bleus, qui composent l’essentiel des draperies, offrent un violent contraste. Les formes sont fréquemment soulignées par des contours blancs ou noirs qui accentuent leur déstructuration. On remarque que ces femmes sont animées par un visage plus clair, plus net que les autres. Le blanc a, ici, symbole de pureté, de virginité et s’oppose donc dans l’idée générale du