Les Femmes Savantes Arguments

(1788-1856). Parmi ses nombreuses tâches, le problème le plus pressant qui se posait à lui était le taux de 13 % de mortalité maternelle et néonatale due à la fièvre puerpérale. En avril 1847 ce taux atteignit 18 %[3]. Le fait était connu, et bien des femmes préféraient accoucher dans la rue plutôt que d'y être conduites. Curieusement, le deuxième service, dirigé par le professeur Bartsch, avait, pour la même maladie, un taux de mortalité de 2 % seulement, alors que ces deux services étaient situés dans

d’un ensemble particulier. L’ « Etat-république3 » serait un fruit idéologique latent né dans la pensée scolastique de 1200 à 1350. Que faut-il entendre par pensée scolastique ? Elle serait une espèce de philosophie (au sens d’études d’activités savantes) enseignée et développée durant la période médiévale dans les universités naissantes principalement. Sa spécificité est « de constituer pour la première fois en Occident une science de l’homme, en complément exact de la science de Dieu4 ». Elle

- Le texte, exposé sur le forum, doit être connu de tous. Contenu : • atteinte aux personnes et aux biens seront sanctionnées • dispositions plus religieuses  • organisation de la famille : autorité du mari et du père, tutelle des femmes, droit successoral ( Acte fondateur, ces lois ont un immense prestige. Elles n’ont jamais été abrogées et sont le symbole de l’unité de Rome. 2. La loi et les Plébiscites -Par la suite : rôle amoindri de la coutume qui cédera sa place à la

tout. Le ciel comique, sans signification théologique, est arbitraire mais structurellement extérieur aux données de l'intrigue; il n'est autre chose que le genre lui-même. Considérons par exemple les dernières paroles de Chrysalde dans L'École des femmes: Allons dans la maison débrouiller ces mystères, Payer à notre ami ses soins officieux, Et rendre grâce au Ciel, qui fait tout pour le mieux. [V, 9] Quoiqu'il soit orthodoxe de dire que le ciel «fait tout pour le mieux», cette

renaissance, non pas justement une renaissance de ce dernier, mais bien une dégradation vile engendrée par les moeurs des érudits, des personnes chargées de pouvoirs. Il en découle, sous l’idée d’un texte humoristique, une virulente attaque envers les savants et de la société qu’ils construisent sur des bases purement égoïstes et irrationnelles. Nous retrouvons dans cette glorification paradoxale au contre-pied de l’opinion courante, une définition même de l’Homme de ses attributs définitifs de son existence

Microsoft Word - 5. Femmes et hommes.doc 1 5. FEMMES & HOMMES On soulignera en introduction, après l’ethnologue Marcel Mauss, combien « la division par sexes est une division fondamentale qui a grevé de son poids toutes les sociétés à un degré que nous ne soupçonnons pas ». À l’échelle des cités grecques, les inégalités sociales de sexe – s’appuyant sur des représentations fortement différenciées du masculin et du féminin – pèsent lourdement sur la hiérarchie sociale. Un certain aveuglement

des genres plus précise (le roman est le genre en plein essor sous Henri IV jusqu’en 1660) ; le public participe de plus en plus à modeler le champs littéraire, comme le montrent son intervention les débats littéraires ( du Phèdre, de l’école des femmes, et du Cid) : la promotion du modèle de l’honnête homme et l’avènement d’une littérature de cour ont constitué un champ littéraire ( notamment sous Louis XIV qui développe les arts et les lettres et confère à l’homme de lettres un statut spécifique)

qui se moque de leurs connaissances. Selon lui la négligence de l’éducation des filles vient des coutumes. Ce sont les mères, qui s’opposent à l’instruction de leurs filles. Cela peut être expliqué par le fait qu’à l’époque il était honteux pour les femmes de désirer s’instruire et les mères protégeaient leurs filles pour qu’elles ne soient pas ridicules. Il s'agit là d'un cercle vicieux quand les mères ignorantes élèvent les filles ignorantes. De plus, on suppose que l’éducation change la nature des

dans son comportement de la violence et de la rage.Pendant un moment de sa vie, il s’amusait, sous le regard fier de sa mère, à donner des claques aux gens qui « insultait » sa mère. La plupart du temps, sa mère inventait toute sorte de choses, et le savant, il donnait la même sentence, pour ne pas vexer sa mère.Il s’établissent à Wilno, en Pologne, où sa mère se vante un point trop de son fils ne faisant pas de distinction entre ce qu’il veut être et ce qu’il sera. Cela lui vaudra beaucoup de moqueries

concentration à la libération. En regard, l'enrichissement des collaborateurs et leur vie facile pendant que tant d'hommes souffrent. Inadmissible : "Pendant qu'on massacre et qu'on assassine sur toute la surface de la terre? Pendant qu'on décapite des femmes à la hache? Pendant qu'on entasse des gens dans des chambres délibérément construites pour les asphyxier? Pendant qu'un peu partout des pendus se balancent aux arbres, aux sons de la radio qui donne peut-être bien du Mozart?" Avant la guerre,