Les Fenêtres Allitération

montagne) vers n°3 Antithèse (… et le jour pour moi sera comme la nuit) Comparaison (… et le jour pour moi sera comme la nuit) Synecdoque (ni les voiles au loin descendant vers Harfleur) 5 Le rythme et la musicalité Allitérations en « l » et assonances en « e » Beaucoup de césures présentes : (Demain, dès l’aube, à l’heure …) vers n°1; (seul, inconnu, le dos courbé…) vers°7 etc. 6 Le courant littéraire On retrouve un certain nombre de caractéristiques du Romantisme

roses. On retrouve ainsi des topoï de la pastorale dans le décor champêtre décrit. Autre interprétation possible, p-ê syllepse de sens, vers poétique, vers lombrics (antithèses avec les roses) v.11 : les sonorités agréables du vers (allitération en [s], consonnes liquides [l], fricatives [f,v]) font entendre la douceur du soleil ; sa chaleur bénéfique est exprimée par l’évaporation des soucis. v.12 : Le soleil suscite aussi bien la création, l’inspiration (en remplissant les « cerveaux

Quelles sont les principales idées contenues dans cet extrait ? Synthèse. A partir des différents documents, rédigez une synthèse dans laquelle vous présenterez le mouvement romantique. La lune était sereine et jouait sur les flots. — La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots. De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare. Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos. Est-ce un

renforce l’équilibre syntaxique des deux hémistiches et souligne les jeux de sonorités Sonorités Répétition de la syllabe [wa] Loire gaulois Douceur de la liquide [l] et ouverture, clarté du [a] Souligne l’unité entre le fleuve et la nation Sonorités Allitération en [t] et voyelles fermées [i] et [ɛ̃] : « Tibre latin » Dureté du [t], absent du premier hémistiche. Fermeture des voyelles, par contraste avec les [a] du début. Symboles Symbole des fleuves Le Tibre symbolise Rome, et donc l’Antiquité latine

de l’église et au chant religieux. Dans l’ « Ariette V » il mentionne « le piano » (comme meuble), avec une allusion au chant léger « Chant badin » et au « Fin refrain incertain » qui semble s’exténuer petit à petit (« Qui va tantôt mourir vers la fenêtre »). Dans le poème le piano n’est qu’un meuble éclairé par la lumière du soir, mais c’est «Un air » qui « Rôde » dans cette ariette. Un air qui « dorlote » le poète et qui semble le bercer d’un chant gai et enjoué. Les références à la musique

passage du film repose en partie sur un type de peur : le vertige. En effet, l’arrivée de Jonathan Harker se fait en calèche sur une route étroite en bordure d’un ravin, le vertige est alors souligné par la surprise de Harker découvrant le vide par la fenêtre de la calèche ainsi que par un plan en plongée parfaite ; le château du comte est situé sur une corniche semblant prête à s'effondrer ; Harker surprendra le comte a marcher tel une araignée sur les murs verticaux du château, verticalité alors soulignée

pain » « pour faire épanouir la rate du vulgaire » B. Figure de la marginalité Jeu sur l’homonymie : « palais »  château ou « palais »  bouche = désigne l’alcoolisme par metonymie Allitération en P et B dans le dernier tercet, « étaler ses appâts »= prostitution C. Figure du mal La muse est victime de l’ennuie : allitération en N «  les noirs ennuis des neigeuses soirées » et le terme « noirs ennuis » = cf le poème au lecteur car ennui = Mal absolu (néant, mort ) Muse blasphématrice : caractère profane

de la fuite du temps, de la solitude, de la nature, de la désillusion. On peut reconnaître le registre lyrique par une : • Rhétorique amoureuse : personnifications, anaphores, comparaisons, métaphores. • Musicalité : rythme binaire/ternaire, allitérations/assonances… • Ponctuation expressive : exclamations, points de suspension… Le registre épique Associé au mot "épopée", le registre épique exalte les valeurs héroïques liées à de grandes actions comme la guerre, le sacrifice de victimes,

pourrie, habitée de monstres hideux, de crapauds imprévus et de froids limaçons. Quelques allitérations doivent être reprises dans ce tercet: ténèbres/ froisse / crapauds / imprévus / froids: / br/, /fr/, / cr/, /pr /, /fr/ c’est une discordance, un craquement continu, le moi qui froisse sous ses pieds peureux ces vers , des animaux dégoûtants STÉPHANE MALLARMÉ “Autres Poèmes” Sainte 1 À la fenêtre recelant /l RR l/ /tR/ Le santal vieux qui se dédore

décalage et de distorsion sont des indices pour le lecteur, montrant qu'il s'agit ici d'une satire. Ainsi, on note de nombreux rapprochements faussement logiques, comme la relation entre la puissance du baron et la présence de « portes » et de « fenêtres » à son château; de même le rapport entre la masse de la Comtesse et le respect dont elle jouit. Le pouvoir et la considération des personnages relèvent donc de l'illusion, et non d'une réalité.       Il y'a une confusion et une distorsion dans