Les Fenêtres De Baudelaire

Charles Baudelaire Les fenêtres . A . La fenêtre et le regard- fenêtre : . écran transparent entre intérieur et extérieur => on peut voir à travers- champs lexical du regard très présent : « regarde » « voit » « voir » « aperçois » - début du texte :comme une introduction : « celui qui » l.1-2 « il n'est pas de » l.3- à partir de la 2eme strophe : poète s'implique : une expérience personnel => c'est du regard que tout démarre : « j'aperçois » l.10 => le poète s'appuie sur ce qu'il voit => poète

 Une image synthétique de la ville, vue et ressentie par Baudelaire . Baudelaire à l'aide de ses poèmes nous montre son ressentie et une vue souvent péjorative de la ville . Il nous présente une ville emplie de monde «tous ces mouvements de ceux qui partent et de ceux qui reviennent» (Le port) , «chaos» et «tohu-bohu» (Un plaisant) , bruyante «ce vacarme» (Un plaisant) mais cependant calme la nuit «Pendant quelques heures, nous posséderons le silence, sinon le repos», «dans le silence et

ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. II est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes; Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets Pour bâtir dans la nuit

Introduction Charles Baudelaire est un poète du XIXème siècle dont la vie est placée sous le signe d’une double obcession : la douleur du spleen c'est-à-dire le « mal de vivre » et la lumière de l’idéal c'est-à-dire l’élan vers le beau, et se révèle comme un constant déchirement. Plus grande sera son aspiration à l’idéal, moins l’existence sera supportable. En 1857, Baudelaire fait éditer « les fleurs du mal », receuil de poèmes dans lequel il exprime ses doutes, ses angoisses et ses espoirs

« Les fenêtres » Charles Baudelaire, 1869 le Spleen de Paris. introduction : Charles Baudelaire est un poète français né le 9 avril 1821 à Paris et mort le 31 août 1867 à Paris, est devenu célèbre grâce à son unique recueil de poème en vers « les Fleurs du mal ». Cependant, il écrit d'abord en prose et commence la rédaction de poème en 1855 jusqu'à sa mort. Les observations de la vie parisienne sont pour lui des sources de réflexion mais aussi de méditation. Dans le poème XXXV « les Fenêtres » prend

------------------------------------------------- Petits Poèmes en prose Le Spleen de Paris (ou Petits Poèmes en prose) est le titre d'un recueil posthume de poèmes en prose de Charles Baudelaire établi par Charles Asselineau et Théodore de Banville. Il a été publié pour la première fois en 1869 dans le quatrième volume des Œuvres complètes de Baudelaire publié par l'éditeur Michel Levy. ------------------------------------------------- Histoire  Les cinquante pièces qui le composent ont été rédigées entre 1855 (« Le

Biographie : Baudelaire Charles * Naissance : 9 avril 1821, à Paris * Décès : 31 août 1867, à Paris * Le père de Baudelaire meurt lorsque ce dernier a 6 ans * Sa mère se remarie rapidement avec le commandant Jacques Aupick. Charles conservera le sentiment qu’en se remariant, sa mère l’a trahi. * Malheureusement Aupick et Charles ne s’entendent pas * Après le baccalauréat, Charles vit une vie de bohème * Sa famille se fait des soucis pour Charles et décide de l’éloigner

pluie : * (Ponge ds le parti pris des choses)= description scientifique pluie, pas de sentiments : description, absence intégration des sentiments/ Prose= unité bloque mais aussi averse car £ du + grand au + petit= rend la pluie différente. * Baudelaire : Spleen : parle de la pluie pour parler de son mal être : cf symbolisme * Verlaine, Ariette III : pluie= rythme de musique (mêmes mots et même sons repris + mêmes rimes donc reprise de rythme) * Apollinaire : la pluie sous forme de calligramme :

sombre, vivent discrètement des peintures béates, calmes et profondes, comme les âmes des artistes qui les créèrent. Les soleils couchants, qui colorent si richement la salle à manger ou le salon, sont tamisés par de belles étoffes ou par ces hautes fenêtres ouvragées que le plomb divise en nombreux compartiments. Les meubles sont vastes, curieux, bizarres, armés de serrures et de secrets comme des âmes raffinées. Les miroirs, les métaux, les étoffes, l’orfévrerie et la faïence y jouent pour les yeux

Commentaire « La soupe et les nuages » Baudelaire est un poète lyrique du 19ème siècle. Il fait l’éloge de la modernité. Il révolutionne la poésie classique en écrivant tous ses recueils de poèmes en prose et non en vers, sauf un, “les fleurs du mal”. Il est aussi adepte du spleen, un état mélancolique, sans raison, mélange d’ennui, de lassitude, liés aux saisons, au temps, aux souvenirs. Ainsi le poème “La soupe et les nuages” est un poème du recueil “Petits poèmes en prose”, connu aussi sous