Les Feuilles Mortes

THEME PREMIER: LA POESIE LYRIQUE Poème de Victor Hugo  Biographie : Victor Hugo (né à Besançon en 1802, mort en 1885 à Paris) est un artiste complet qui a créé une œuvre abondante dans tous les genres: poésie, théâtre, roman. Fils d'un général de Napoléon, il voyage durant son enfance et sa jeunesse un peu partout en Europe. De retour à Paris, il se donne à l'écriture. Victor Hugo connaît alors une intense activité littéraire dans tous les genres. En 1841, il entre à l'Académie française. C'est

strophe. Le résultat de ce ravage s’exprime par la déchéance de l’inspiration du poète : "Voilà que j’ai touché l’automne des idées, ". L'automne des idées suggère alors l'idée d'un dépérissement intellectuel. Cette métaphore évoque l’image des feuilles mortes qui tombent pendant l’automne et qui "se ramassent à la pelle"[1]. L’emploi du présentatif indique aussi le caractère inéluctable de cette situation. L’auteur semble se résigner. Il accepte cette situation fatale car on ne peut pas combattre le

né le 8 février 1828 à Nantes en France et est mort le 24 mars 1905 à Amiens. Depuis, très jeune déjà, les voyages l’attirent. En 1835 à l’insu de ses parents il s’engage comme jeune mousse à bord d’un navire en partance pour les Indes. Rattrapé par son père, il jure de ne plus voyager qu’ ”en rêve”. Après ses études de droit à Paris , il choisit de faire carrière dans les lettres. A 24 ans, il a déjà publié plusieurs récits et une comédie. A sa mort il laisse derrière lui une oeuvre immense : 64

laine et ceux d'argent Des soldats passent et que n'ai-je Un cœur à moi ce cœur changeant Changeant et puis encor que sais-je Sais-je où s'en iront tes cheveux Crépus comme mer qui moutonne Sais-je où s'en iront tes cheveux Et tes mains feuilles de l'automne Que jonchent aussi nos aveux Je passais au bord de la Seine Un livre ancien sous le bras Le fleuve est pareil à ma peine Il s'écoule et ne tarit pas Quand donc finira la semaine Apollinaire, Alcools "Marie" est de forme

littéraire qui permet au poète, au moyen de différentes formes, de s’exprimer par le biais de mots dont il se sert pour créer un rythme, un son, des images, une pensée, des émotions. Les thèmes de la nature, de l’amour, de la souffrance et de la mort sont souvent abordés dans la poésie. Le poète ne fait que susciter au lecteur l’imagination, c’est ensuite celui–ci qui se laisse emporter et qui interprète lui-même le poème. Au cours de mes recherches, j'ai choisi dix poèmes sur le thème de l'automne

La couleur de son pelage lui permet de se confondre avec les feuilles mortes et les écorces tombées à terre. Ce rongeur apprécie beaucoup les buissons... pour si réfugier. C'est un petit animal qui vit sur un assez grand espaces puisque son espace vital varie entre 0,05à 0,73 ha. Habitudes alimentaires : Le campagnol roussâtres est une animal qui se nourrit essentiellement de graines, racines, fruits, baies mais aussi de feuilles, d'écorces, d'herbes... Il peut également faire des provisions

veulent faire passés les auteurs. Marceline Desborde-Valmore dans son poème intitulé « Quand le fil de ma vie »,nous incites a ressentir le froid et de la douleur à travers son poème sur une mort lente mais certaine. Arsène Houssaye ,démontre dans son poème « le chemin de la vie » que la vie se confond a la mort , par le passage de se chemin de la vie plein de mystère et de tristesse. Dans « la vie idéale » , Charles Cross ,nous présente une vie heureuse et joyeuse autour du printemps et de la fête

Dürer a souhaité de faire des représentations en plein page qui accompagner le texte de l’Apocalypse de Saint-Jean l’Evangéliste dans son intégralité. La répartition entre le texte et les images a été innovateur. Les images se trouvent au recto des feuilles, tandis que le texte, qui se déroule indépendamment, se trouve au verso. A cette manière, les images prennent une certaine autonomie. Normalement, les images avaient un rôle supplémentaire dans des livres illustres. Albrecht Dürer a voulu élever

mère a tant souffert Qu’elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes Et se moque des vers Quand j’étais prisonnier On m’a volé ma femme On m’a volé mon âme Et tout mon cher passé Demain de bon matin Je fermerai ma porte Au nez des années mortes J’irai sur les chemins Je mendierai ma vie Sur les routes de France De Bretagne en Provence Et je dirai aux gens Refusez d’obéir Refusez de la faire N’allez pas à la guerre Refusez de partir S’il faut donner son sang Allez donner le vôtre

(« Cortège », v.21) V- L’AUTOMNE Dans la poésie d’Apollinaire, l’automne est indiscutablement associé à la mort. On peut constater que la métaphysique naît lorsque l’automne est évoqué. L’évocation de cette saison est recouverte par la dimension symbolique, dans Alcools, Apollinaire laisse libre cours aux peurs qui le fréquentent. L’automne est marqué par la mort à deux niveaux, ainsi, il la donne et la subit « Oh ! l’automne l’automne a fait mourir l’été » (« Automne », v.7), ce vers