Les Figures De Style Chez La Fontaine

et le lecteur ex : • "qu’on ne pouvait vivre avec elles." (li. 3-4) • parenthèse "car elle était une fée […] de cette jeune fille" (li.19-20) • "répondit la brutale" (li.36) 4) La fontaine pour miroir La rencontre de la fée près de la fontaine révèle la vraie nature des 2 filles, la fille généreuse se montre agréable et la fille désagréable se montre sans pitié. L’atmosphère du conte nous a distrait mais l’essentiel est que cette saveur nous transmettent

heureux ! Victor Hugo, Les contemplations. Analyse : Les passages que j’ai écrit écrient en bleu sont ceux qui me paraissent les plus proches de l'image. L’écriture de Victor Hugo, grâce aux choix de la forme, grâce aux figures de style utilisées, au rythme, donne une force nouvelle à sa dénonciation. Beaucoup d'exclamations, de fausses questions viennent provoquer le lecteur. Ce poème raconte la vie d’enfants qui vivent dans la misère, c'est-à-dire , ils travaillent très

premiers à s’affranchir de cette règle en publiant ses contes même si certains sont encore en vers (Peau d’âne, Les Souhaits ridicules). Le merveilleux intervient dans les contes à différents niveaux : chez Perrault, il est l’apanage de certains êtres ou objets distincts du monde humain alors que chez les Grimm, les personnages sont beaucoup moins humains dans leurs comportements, ils participent du merveilleux par leur conduite étrange.Contrairement au fantastique, le merveilleux n’entretient pas

nature esthétique ou documentaire (une pause). * verbes de perception (visuelle notamment) et indices spatiaux qui structurent le lieu; verbes d'état et/ou de mouvement. * champs lexicaux en rapport ou non avec le sujet décrit. * densité des figures de style (métaphores, personnifications) qui renseignent sur le degré de subjectivité de la description. | REGISTRES |   La focalisation (qui voit ?) détermine une description objective (effet documentaire) ou subjective (présence implicite ou explicite

l’univers. Ordre du senti, sensation, pas clairement montré. Fable : rôle didactique. Elle comporte toujours un récit, le plus souvent allégorique, et une leçon de morale ou précepte formulé en un ou plusieurs vers de portée générale. Epigramme : chez les anciens : « inscription en vers ou en prose gravée sur un monument » = bref poème, souvent satirique (XVII) * Histoire * La poésie = un genre fondateur La poésie touche tous les peuples et toutes les époques mais échappe à une définition

Le procès qui s'ensuit montre l'opposition exemplaire entre un individu lié à la nature et la collectivité coupeé de ses sources. La source devient donc un symbole des origines de la civilisation humaine. Le lendemain du procès, l'eau de la fontaine du village ne coule plus. Les femmes accusent Manon d'y avoir jeté un sort, et bientôt tous les habitants s'inquiètent. Sans eau, personne ne peut plus y vivre et le village deviendra désert et vide.3 L'ingénieur du génie rural vient expliquer

basée sur le jansénisme. Racine s'en éloigne petit à petit après avoir reçu des reproches sur ses ambitions théâtrales. Il part s'installer à Paris où il rencontre certains grands hommes de lettres de son temps avec lesquels il se lie d'amitié comme Fontaine et Boileau. Le théâtre est très apprécié à la Cour de Louis XIV et Racine, homme très ambitieux, compte y faire grande carrière. Son premier grand succès est celui d'Alexandre le Grand joué en 1665. Une rivalité entre Racine et Molière pousse ce

classique La Fontaine intitulée « La cigale et la fourmi ». Il s'agit de la toute première fable du premier livre des Fables de La Fontaine, fables publiées en 1668 et dédiées au Dauphin, alors âgé de 7 ans, et qui visent à donner, sous forme ludique et plaisante, un enseignement moral au futur monarque de la France et donc quasiment de l’Europe. La première chose à signaler pour la situer est donc juste sa place à part puisqu’elle est tout à fait en tête du recueil, ce qui implique que La Fontaine lui accordait

imagées (métaphores, comparaisons, etc.). Cette forme qui n’a rien de naturel peut même devenir stricte et rigide : les formes fixes (sonnet, ballade, rondeau, pantoum…) se présentent davantage, du fait des contraintes imposées, comme des exercices de style propres à plaire et à stimuler les auteurs, que comme les supports d’une intention qui toucherait tout le monde : la variation sur les types de sonnets par Baudelaire ou Apollinaire encore n’aident personne à vivre. B) Une réjouissance, une affection

eux-mêmes. Le style et le contenant priment donc sur le sens : « c’est le son, c’est le rythme, ce sont les rapprochements physiques des mots (…) qui dominent ». Cette définition de Valéry pose tout le problème de la poésie : peut-elle se contenter de jouer uniquement sur la « forme unique » ou ne doit-elle pas aussi viser à produire du sens pour que le lecteur s’y intéresse ? Pour répondre à cette question, nous nous demanderons, d’abord, si la poésie peut se réduire à un exercice de style. Dans un deuxième