Les Figures De Style Dans Le Cid

Hugo - « A l’obéissance passive », vers 43-44 Les Châtiments Harmonies : harmonie imitative L'harmonie imitative est une figure de style qui consiste à évoquer au sein de la forme, par le jeu des sonorités, et notamment les assonances et allitérations, le sujet ou les thèmes traités dans le texte même. Harmonie suggestive on appelle parfois ainsi l'effet de style précédent lorsqu'il vise non à imiter un bruit précis mais à provoquer une impression générale, en relation avec le sens du texte

LESCAUT : UNE TRAGÉDIE ?MANON LESCAUT : UN ROMAN LIBERTIN OU MORAL ?MÉTHODE : ANALYSER UN TEXTE NARRATIF (POINT DE VUE, PAROLES RAPPORTÉES, TEMPS)MÉTHODE : L'ENTRETIENMÉTHODE : LA DISSERTATIONMÉTHODE : LA LECTURE ANALYTIQUE À L'ORALMÉTHODE : LES FIGURES DE STYLEMÉTHODE : CONSEILS POUR L'ÉCRIT ET L'ORALRIMBAUD : "LE DORMEUR DU VAL"MÉTHODE : LA QUESTION SUR LE CORPUSPOÉSIE : TEXTES THÉORIQUES MÉTHODE : GRILLE D'ÉVALUATION DU COMMENTAIRE (SÉRIES GÉNÉRALES) MÉTHODE : GRILLE D'ÉVALUATION DE LA DISSERTATION

monologue de l'acte I scène 2, Figaro se dévoile à travers sa parole par l'intermédiaire de son idiolecte : traits de langage propres à une personne et qui permettent de définir sa psychologie. L'idiolecte du personnage est extrêmement riche en figures de style : ("trois promotions… de poche" : métaphores, "vous feriez … joli chemin" : métaphore relevant de l'euphémisme, "vous daignant … la mienne" : euphémisme. Dans sa colère il est également capable d'utiliser l'antiphrase " Mon cher Monseigneur "

Principales œuvres ✓ Résumé de l’ouvrage (Horace) ✓ Principaux thèmes traités ✓ Schéma narratif de l’histoire ✓ Présentation des personnages principaux ✓ Indication des passages clés ✓ Relevé des principales figures de style ✓ 10 citations ayant marqué le lecteur ✓ Actualité de l’œuvre ✓ Opinion personnelle Biographie de l’auteur Pierre Corneille nait à Rouen dans une noble famille de magistrats, fait ses études secondaires avec

33) "vous saurez donc" - Personnage excessif (hyperboles) > "dévore les obstacles" (l 60) ; "passion" ; "ardeur" ; "je n'ai plus qu'une idée; j'y pense le jour et j'y rêve la nuit" (l 62) ; « éternelle tante » - Immoralité / perversité : la figure du Saint > double-métaphore entre le libertinage et la religion: "zèle" "prosélytes" "ardente ferveur" > "vous serez un jour la patronne de quelque grande ville" (l 16) > "mon bon ange m'a conduit ici" "la divinité que j'adore" = champ

moyen-âge ; c’est lui qui fait tourner dans l’ombre la ronde effrayante du sabbat, lui encore qui donne à Satan les cornes, les pieds de bouc, les ailes de chauve-souris. C’est lui, toujours lui, qui tantôt jette dans l’enfer chrétien ces hideuses figures qu’évoquera l’âpre génie de Dante et de Milton, tantôt le peuple de ces formes ridicules au milieu desquelles se jouera Callot, le Michel-Ange burlesque. Si du monde idéal il passe au monde réel, il y déroule d’intarissables parodies de l’humanité

ce que sera l'idéal classique : non la mesure, non l'équilibre, non le bonheur d'un monde en ordre, mais la démesure, le vertige, la dépense, la contemplation fascinée du désordre. Cet idéal se manifeste dans l'écriture littéraire à travers des figures d'accumulation, d'opposition (antithèses, oxymores qui traduisent la complexité du monde) ou d'amplification (hyperboles, anaphores, etc.). Je rencontrai d'abord une étoile de cinq avenues, dont les arbres par leur excessive hauteur semblaient

raison, comprise comme le bon sens, ce qui pousse à bannir ce qui n'est pas vraisemblable. Ces impératifs de la raison et de la vraisemblance s'incarnent dans les règles strictes qui sont fixées dans des textes théoriques. Le classicisme voit naître la figure de « l'honnête homme » dont le comportement est fait de mesure et de retenue. Le classicisme peut également être défini par son rapport à la langue française. Au 17e siècle, cette langue s'impose face au latin chez les élites et les savants. Le

par ex. l’alternance des genres rhétoriques dans Cinna : judiciaire (II, 2 et V, 1) ; délibératif : qui incite (I, 3 ; IV, 3), qui dissuade (I, 4 ; II, 1 ; III, 4), qui hésite (I, 1 ; III, 3 ; IV, 2). Ailleurs, délibératif : Le Cid, I, 6 ; Othon, V, 2 ; judiciaire : Le Cid, II, 8, et Horace, V ; l’épidictique : L’Illusion comique, II, 2. Voir W. J. Dickson, « Corneille’s Use of Judicial Rhetoric : the Last Act of Horace », XVIIth Century French Studies, X (1988), p. 23-39 ; F. Goyet, Le Sublime du

moyen-âge ; c’est lui qui fait tourner dans l’ombre la ronde effrayante du sabbat, lui encore qui donne à Satan les cornes, les pieds de bouc, les ailes de chauve-souris. C’est lui, toujours lui, qui tantôt jette dans l’enfer chrétien ces hideuses figures qu’évoquera l’âpre génie de Dante et de Milton, tantôt le peuple de ces formes ridicules au milieu desquelles se jouera Callot, le Michel-Ange burlesque. Si du monde idéal il passe au monde réel, il y déroule d’intarissables parodies de l’humanité