Les Fileuses Diego Velasquez

Lambert Hugo, groupe 1 « Les fileuses » de Diego Velasquez I] Etude morphologique A- Angle de vue largeur –hauteur Il s’agit ici d’un plan d’ensemble malgré la taille occupée par les personnages du premier plan (environ les deux tiers de l’espace du tableau). Le format du cadre plus horizontal que vertical permet un confort visuelle optimal afin d’appréhender toute l’activité représentée dans le tableau. Le cadre est fermé car dans cette œuvre tous les personnages sont représentés dans

Paris-Sorbonne : Paris IV Décembre 2011 Velázquez, Diego. Les Fileuses (ou la Fable de Arachné). Huile sur toile. 167 x 252 cm (avec le agrandissement : 220 x 289 cm), vers 1653, Musée du Prado. "…Et maintenant, araignée, elle tisse, comme jadis, sa toile". Ovide, Les Métamorphoses ANGELIS FERREIRA, Mariana INTRODUCTION Après avoir analysé l’œuvre Las Fileuses (Las Hilanderas, également connu comme la Fable d'Arachné), par Diego Velasquez (1599-1660), je me suis demandé: Mais que vois-je

« Les Fileuses », réalisé par Diego Velasquez en 1657. 1- Angle de vue de la largeur et de la hauteur. Il s’agit d’un plan d’ensemble mettant en scène au premier plan des femmes fileuses d’où le titre de ce tableau travaillant à l’élaboration des tapisseries. Elles sont plutôt dans un endroit sombre, sans lumière. Alors que dans le fond au deuxième plan on peut apercevoir des femmes qui regardent une toiles Autre scène au second plan / Echelle / Fenêtre / Les personnages font groupe

VELASQUEZ, La vénus au miroir, 1650, huile sur toile, 122,5x177cm, Londres, National Gallery La Vénus au miroir est une huile sur toile réalisée en 1650 par le peintre espagnol Diego Vélasquez né en 1599 à Séville et mort en 1660 à Madrid. Elle est aujourd’hui conservée à la National Gallery de Londres. L’Œuvre est répertoriée en 1651 dans la collection que possédait le jeune fils d’Oliviares le premier ministre de Philippe IV roi d‘Espagne. L’identité de la jeune femme, modèle de ce tableau

enfermé dans l'ignorance totale du véritable monde extérieur : il est plongé brutalement dans l'univers réel, et perd alors tout repère ; il ne distingue plus rêve et réalité. A ses yeux, tout devient illusion. On peut encore évoquer Les Ménines de Vélasquez : le miroir morcelle les images du réel (jusqu'au vertige - technique de la mise en abyme) et donne à voir une scène qui n'a de réalité dans l'oeuvre qu'à travers son reflet. Vanité de l'existence Cette réflexion touche fréquemment au domaine religieux

(Arts décollent) Laurent de la Hyre : « Panthée est conduite devant Cyrus » Montluçon Guy François du Puy : « L’adoration des bergers », Eglise Ste Croix Gannat Georges de La Tour : Le tricheur à l'as de carreau (vers 1635)* (valise CDDP) Diego Velasquez : « Les Ménines »1656,* (valise Musée) Le XVIIIème siècle Arts du langage : Voltaire http://www.poesies.net/voltaire.html Marivaux http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Carlet_de_Chamblain_de_Marivaux Diderot Le rêve de d'Alembert en format

après avoir répandu sur elle le suc19 d’une herbe empoisonnée. Atteints de cet affreux poison, ses cheveux tombent, ses traits s’effacent, sa tête et toutes les parties de son corps se resserrent. Ses doigts amincis s’attachent à ses flancs. Fileuse araignée, elle exerce encore son premier talent, et tire du ventre arrondi qui remplace son corps les fils déliés dont elle ourdit20 sa toile. Métamorphoses, Livre VI, v .26-145, Ovide D’après une traduction adaptée de G.T. Villenave, Paris,

péninsule ibérique. Dès le début du XVIe siècle, des artistes formés en Italie rapportent dans la péninsule des conceptions artistiques les plus contemporaines. Parmi eux, on compte Bartolomé Ordonez (v. 1480-1520), Alonso Berruguete (v. 1489-1520) et Diego de Siloé (v. 1495-1563). Ce dernier bouleverse en 1528 le chantier de la cathédrale de Grenade commencé selon un plan gothique traditionnel. Il utilise plusieurs références. Par exemple, pour le déambulatoire, il adopte un type de voûte en pendentif