Les Fourberies De Scapin

de Dorante 2nd mvt : l’aveux d’Araminte 3eme mvt : la révélation du stratagème Les fourberies de Scapin, Molière :Intro : 17eme = age d’or du théatre / Corneille et Racine (tragédie) et Molière (comédie) / cherchent a atteindre deux obj du classicisme : plaire et instruire Prob : Nous montreront l’habileté avec laquelle le valet dupe son maitre 1er mvt : Géronte demande de l’aide a Scapin 2nd mvt : Le plan de Scapin 3eme mvt : la comédie du valet mise en abime La princesse de Clève, Mme de Lafayette

que soit la scène où il se déroule.[6] On va exemplifier les éléments appartenant à l’univers théâtral, surtout à l’énonciation théâtrale, en s’appuyant sur un passage tiré d’une pièce de Molière, Les fourberie de Scapin. Dans cette pièce, Molière renoue avec la tradition de la farce. Scapin en effet est un des personnages de la Commedia dell’Arte introduite en France par les troupes de farceurs italiens. Pour introduire le fragment soumis à l’analyse, on doit en premier lieu établir les faits

en 1669, et la pièce remporte un succès considérable. Il crée également, en collaboration avec Lully des comédies ballets : Les Amants magnifiques, Monsieur de Pourceaugnac et Le Bourgeois gentilhomme. Molière donne en 1671 Psychée, Les fourberies de Scapin, La Comtesse d’Escarbagnas et Les Femmes savantes. A la mort, en 1672, de Madeleine Béjart qui a toujours été une amie très importante pour lui, il se réconcilie avec sa femme Armande. Par la suite, en 1673, il perd la faveur de Louis XIV

grande part de l’œuvre. Pourtant, la seule parole a des limites. En effet, la représentation théâtrale prend en compte de multiples autres facteurs. II. Le travail visuel a. Le jeu des acteurs * Les coups de bâton de Scapin sur son maître, Les fourberies de Scapin (Acte II, scène 2), Molière b. Les didascalies : Le texte aide à la mise en scène * « Il lui donne un soufflet » Didascalie dans l’acte I, scène 3 du Cid, Corneille : Cette simple action met en place toute l’intrigue de

comédiens italiens, une séquence de dialogue, sans doute conçue et « rodée » de longue date, peut-être issue d’une tradition orale ancienne ; il procède ainsi en reprenant presque mot pour mot tout un échange, tiré du dialogue de Scapin et d’Argante dans Les Fourberies de Scapin (I, 4) pour le mettre dans la bouche d’Argan et de Toinette, dans Le Malade imaginaire (I, 5). Soit qu’il procède, dans la composition d’une scène ou d’une séquence de scènes, à des greffes de lazzi dus aux Comédiens italiens

Vieux et désuets. Tout d’abord, dans les comédies de Molière ; un des plus célèbres dramaturges du 17e siècle, les décors et les costumes sont à l’image du siècle de Molière. Comme le montre les comédies tels que : L’Avare (1668), ou encore Les Fourberies de Scapin (1671), le décor ressemble à une ancienne demeure bourgeoise, les fenêtres sont accompagnées de barreaux et les portes s’ouvrent avec de grandes clefs comme à l’époque de Molière. Ainsi ce décor peut faire penser que les personnages vivaient

contraintes aux auteurs que ça soit dans l’écriture de romans comme La Princesse de Clèves (Mme De Lafayette), dans la composition de poésies ou de fables comme Le Chêne et le Roseau (La Fontaine), ou bien l’écriture de pièces de théâtres tel que Les fourberies de Scapin (Molière) ou Cinna (Corneille). Les contraintes alors imposées aux auteurs permettent au personnage principal de devenir un être exceptionnel pour son temps. Pour commencer nous pouvons illustrer cette thèse avec l’exemple de Cinna, qui est

(Scapino, celui qui esquive). Il a de l'esprit et manie bien la rhétorique. Le plus célèbre est Brighella, qui aime à contrarier les désirs de son maître, souvent au profit du fils et n'hésite pas à voler. Mascarille et Scapin lui ressemblent. Ces valets sont les ancêtres des Scapin et Mascarille de Molière, des Arlequin de Marivaux. – le balourd et le naïf : gourmand, paresseux et poltron, il fait le pitre sans le vouloir par ses discours incohérents et son manque d'équilibre. Pedrolino (Pierrot)

Gl oU les farces médiévales étaient- elles jouées ? Gl Nornr., dâutres personnages de la commedia dellârte que ceux cités ci-contre. @ ül Pourqroi la pièce a-çelle surpris le public à ses débuts ? GI qrêtc.. que la comédie d'intrigue ? Le Zani ou Scapin, personnage de la commedia dell'arte, gra\r-rre de Jacques Ca11ot, 1619 aux médias 1622 Le genre de la comédie ' Existant depuis l'Antiquité, la comédie est un genre théâtral qui utilise le rire pour se moquer des défauts des hommes. Elle était à

1 La double postulation de la comédie moliéresque. Etude du genre. " Dans ce sac ridicule où Scapin s’enveloppe/ Je ne reconnais pas l’auteur du Misanthrope " écrit Boileau dans l’Art poétique en 1674. A la suite de Boileau, on jugera l’œuvre de Molière double : d’un côté les grandes comédies en cinq actes en vers ou même en prose, porteuses d’un regard subtil, voire d’un message sur le genre humain, de l’autre les petites pièces en un ou trois actes, toujours en prose, directement inspirées