Les Frères Scott

l’adoption du XIIIe amendement. Il constitue avec les XIVe et XVe amendements, les « amendements de reconstruction », dont le premier, ratifié en sur 6 27https://fr.wikipedia.org/wiki/EsclavageWasselin Lucas 1868 - revers de la décision « Dred scott » de la Cour Suprême rendue le 6 mars 1857, prévoit l’octroi de la citoyenneté à toute personne née ou naturalisée aux États-Unis dont les anciens esclaves, tout en réprimant les discriminations à l’exercice du droit de vote et déligitimant les

en font une œuvre romantique, mais d’une telle force qu’elle échappe à toute étiquette. L’écossais Walter Scott qui est un grand initiateur de la mode du roman historique. Il est en partie paralysé après avoir souffert de poliomyélite et partage son temps entre son métier d’avocat et l’écriture. Il va donner forme écrite à la tradition orale qu’il rassemble dans les villages (// frères Grimm, Arnim et Brentano). En France. Jean-Jacques Rousseau : né dans une famille protestante. Sa mère

l’ancien et du nouveau testament. Il y a opposition entre Babylone et Jérusalem, Ombilicus mundi. | 8 grandes croisades : * Mise à sac de Jérusalem en 1009 => Appel de Clermont en 1095. Expédition collective pour venir en aide aux frères orientaux (byzantins). Les croisés, cruce signati, se composent d’une foule populaire lombarde, française, bavaroise, qui n’arrivera jamais à Jérusalem, ils seront massacrés en Anatolie par les turques, d’une croisade baronnale avec Godefroy de Bouillon

 de Rênal comme précepteur. La deuxième parle de la vie de Julien  comme le secrétaire de M. de la Mole dans sa maison à Paris.  Livre Premier Au début du livre, le protagoniste, Julien Sorel a dix‐huit ans. Il vit avec son père illettré et  brutal et ses deux frères qui ressemblent au père, à Verrières – petite ville de la Franche‐ Comté. Julien n’a pas connu sa mère et sa famille le méprise. À la différence d’eux, Julien est  doué, entre autres d’une mémoire exeptionelle et il a été instruit par l’abbé Chelan qui lui a 

mains frappent le clavier d’un bout à l’autre, sans aucune cohérence harmonique, avec le seul but de faire jaillir de la matière sonore de l’instrument. Il a quatre petits frères, avec lesquels il a une grande complicité, et qu’il encourage à pratiquer la musique. Un jour, il est bouleversé par une « improvisation » d’un de ses frères, p. 5 qui ne connaît rien au piano, qui martèle le clavier d’une manière qui touche Keith, qui cherchera plus tard à reproduire ces « erreurs » dans ses improvisations

tâtonnement qu'il apprend la rime et la mesure[7]. Il est encouragé par sa mère à qui il lit ses œuvres, ainsi qu'à son frère Eugène. Ses écrits sont relus et corrigés par un jeune maître d'études de la pension Cordier qui s'est pris d'amitié pour les deux frères[7]. Sa vocation est précoce et ses ambitions sont immenses. Âgé de quatorze ans à peine, Victor, en juillet 1816, note sur un journal : « Je veux être Chateaubriand ou rien[8] ». En 1817, il participe à un concours de poésie organisé par l'Académie

traité le codifiant et a donc profité de son statut subalterne. Il va pouvoir accueillir grâce à sa plasticité tous les prochains courants littéraires. Le roman : C'est avant tout un roman historique : son influence venant de l’Écosse. Walter Scott (1771-1832) est également poète de la tradition médiévale (le lai du dernier ménestrel). Il s'impose comme le maître du roman historique et médiéval (En 1819 avec Ivanhoé et en 1823 avec Quentin de Durward). Des textes qui seront diffusés en France

de rémission. Norbert Elias nomme cette séquence la « phase de concurrence libre » qui s’étend entre le XIème et le XIIIème siècle. - La deuxième phase est celle des apanages (portion de domaine que les souverains assignaient puînés ou à leurs frères qui devraient revenir à la couronne après l’extension de leur lignée). XIVème au XVème siècle. Conséquence : morcellement des fiefs déjà nombreux avec le souci constant de les recomposer. - Troisième phase, celle du monopole royal (XVème, XVIème

républicain. Elle transmit à ses enfants ses convictions royalistes. D'autres impressions ineffaçables, au hasard des garnisons paternelles, enrichirent sa mémoire : Besançon ; Marseille ; l'île d'Elbe ; l’Italie où, en 1807-1808, avec sa mère et ses frères, il rendit visite à son père ; surtout l'Espagne, une Espagne de tragédie ravagée par la guerre et dont il ramena des images de sang et d'or, car, en 1811, ils gagnèrent Madrid, où M. Hugo venait d’être nommé général. De retour à Paris, en mars 1812

apporté son aide aux proscrits du 2 décembre, participe d’ailleurs en sa compagnie aux " dîners Magny ", retrouvant à la table du restaurant parisien quelques-unes des grandes plumes de l’époque : Ernest Renan, Charles Augustin Sainte-Beuve et les frères Jules et Edmond de Goncourt. Se succèdent ensuite de nouveaux textes parmi lesquels des Contes d’une grand-mère qu'elle destine à ses petites filles, le premier volume paraissant le 15 novembre 1873. George Sand décède le 8 juin 1876 à Nohant d’une