Les Géants pétrifiés

événements immenses dont j’ai été, quoique enfant, le témoin oculaire. Bien plus, c’est grâce à mon jeune âge que j’ai pénétré dans la chambre la plus intime, pour ainsi dire, du « grand homme » ! La nuit j’entendais les gémis- – 278 – sements de ce « géant dans l’adversité » ; il n’avait pas de raison de cacher ses gémissements et ses larmes à un enfant, bien que je comprisse déjà que la cause de sa souffrance était le silence de l’empereur Alexandre. – C’est vrai : il lui écrivit des lettres… pour lui

moi F E Eb Une paille dans ma limonade D Gm C7 Je vais embêter les quilles a la vanille F G7 C7 Et les gars/ en chocolat J'ai dix ans F Je vis dans des sphères ou les grands N'ont rien à faire, j’vois souvent Bb7 Dans des montgolfières des géants Et des petits hommes verts Bb F Si tu m'crois pas hé t'ar ta gueule à la récré J'ai dix ans F Des billes plein les poches, j'ai dix ans Les filles c'est des cloches, j'ai dix ans Bb7 Laissez-moi rêver que j'ai dix ans Si tu m'crois pas hé / Ab Eb

tragique de reine qui se contient pour ne pas tomber a des mots de poissarde. —Ah! dit simplement M. Josserand, ahuri par cette entree violente. Il battait des paupieres, pris d'inquietude. Sa femme l'aneantissait, quand elle etalait cette gorge de geante, dont il croyait sentir l'ecroulement sur sa nuque. Vetu d'une vieille redingote usee qu'il achevait chez lui, le visage comme trempe et efface dans trente−cinq annees de bureau, il la regarda un instant de ses gros yeux bleus, aux regards eteints

tragique de reine qui se contient pour ne pas tomber à des mots de poissarde. – Ah ! dit simplement M. Josserand, ahuri par cette entrée violente. Il battait des paupières, pris d’inquiétude. Sa femme l’anéantissait, quand elle étalait cette gorge de géante, dont il croyait sentir l’écroulement sur sa nuque. Vêtu d’une vieille redingote usée qu’il achevait chez lui, le visage comme trempé et effacé dans trente-cinq années de bureau, il la regarda un instant de ses gros yeux bleus, aux regards éteints

écrit à propos du cas allemand, qu’il connaît le mieux : « Je n’ai pas trouvé de sources qui se rapportent à un Bloch ou à un Tawney allemands, c’est-à-dire d’hommes connus chez les historiens qui se seraient trouvés eux-mêmes dans les tranchées. Les géants étaient trop âgés, et trop jeunes, en revanche, ceux qui deviendraient à leur tour des maîtres » (p. 208). L’auteur rencontre en revanche un cas de silence historiographique et personnel total, celui de Gerhard Ritter, né en 888, devenu un historien

l’existence de la télévision, de l’audiovisuel et, surtout, de la présence de caméras dans la plupart des congrès. Aujourd’hui, il n’est pas de meetings politiques ni de réunions de collaborateurs sans que l’on puisse voir en gros plan sur des écrans géants la tête de l’orateur, du candidat, du directeur général ou simplement du directeur des ventes. 5 LA VÉRITÉ SUR LES GESTES En fait, la gestuelle, ou « body language », n’est pas une idée nouvelle : elle a plus de 2 000 ans ! Selon Adam Kendon1

certaines avaient été postées de l’étranger et redirigées depuis le campus. Gabrielle lui avait écrit d’Afrique du Sud, ses vieux copains d’entraînement, Callum et Connor, du Texas. Amy lui avait adressé une carte représentant une pomme de pin géante d’Australie. — Eh, Zara, s’exclama-t-il. Écoute ce que m’écrit Lauren. Cher frère adoré et néanmoins crétin, je serai en plein stage d’entraînement quand tu recevras cette carte. J’aimerais tant que tu sois à ma place. PS : Joyeux anniversaire

l’existence de la télévision, de l’audiovisuel et, surtout, de la présence de caméras dans la plupart des congrès. Aujourd’hui, il n’est pas de meetings politiques ni de réunions de collaborateurs sans que l’on puisse voir en gros plan sur des écrans géants la tête de l’orateur, du candidat, du directeur général ou simplement du directeur des ventes. 5 LA VÉRITÉ SUR LES GESTES En fait, la gestuelle, ou « body language », n’est pas une idée nouvelle : elle a plus de 2 000 ans ! Selon Adam Kendon1

centrale à Battersea, je les reconnaissais, même si ce n’était que vaguement et sans savoir pourquoi. Il y avait d’autres constructions remarquables, moins reconnaissables : un immeuble de verre dont la silhouette rappelait un gros cigare, une roue géante, très loin. Comme mon propre visage, le paysage me paraissait à la fois étranger et un peu familier. « J’ai l’impression de reconnaître cet endroit, ai-je dit. – Oui, a répondu Ben. Oui. Cela fait un moment que nous venons ici, même si la vue change

existe dans la pensée de son architecte peut, même après la mort de ce dernier, être retrouvé dans la mémoire de la nature. Tous les événements du passé ont laissé, en effet, dans l'éther réflecteur une image ineffaçable. De même que les fougères géantes de l'enfance de la Terre ont laissé leur empreinte dans la houille, de même que les mouvements d'un glacier d'une époque préhistorique peuvent être retrouvés grâce aux stries dont il a sillonné les roches le long de son parcours, de même les pensées