Les Glaneuse

Corrigé dissertation «  La Photographie est une sorte d'illusion de la réalité même si c'est peut-être la représentation la plus fidèle, les mythes contribuent à leur donner une interpénétration ». C'est ce que dit Vanessa Winship, une photographe lors d'une interview. Pour elle l'art (la photographie) est l'illusion de la réalité même si la photographie est le support ou la représentation la plus fidèle. Donc si l'art nous éloigne du réel, l'art est donc imaginaire, mais elle appartient

reproductive. Elle reproduit la réalité. Il s’agit d’une perception affaiblie qui pourrait mener à la confusion, l’incapacité à bien cerner le réel. Le meilleur exemple de cette confusion serait probablement le courant artistique du réalisme. Ainsi, « les glaneuses » de Jean-François Millet ne sont pas des paysannes participant à la moisson mais une représentation de paysannes. Une peinture reste un tableau, tout comme une œuvre littéraire reste une fiction même si elle emprunte des éléments au réel. D’autre

empêché malgré ses protestations. Par ailleurs, Rimbaud fait la connaissance du poète Paul Demeny, un vieil ami de son hôte. Celui-ci est co-directeur d’une maison d’édition : La Librairie Artistique, où il a fait paraître un recueil de poésies (Les Glaneuses). Rimbaud saisit l’occasion et, dans l’espoir d’être édité, lui dépose une liasse de feuillets où il a recopié quinze de ses poèmes. Izambard, qui a prévenu Vitalie Rimbaud de la présence de son fils à Douai, en reçoit la réponse : « …chassez-le

comme des caprices dans les bienfaits de la lune. Elle se plaint à longueur de temps dans la femme sauvage et la petite maîtresse ce qui entraine une lassitude : « vous me fatiguez sans mesure et sans fatigue « ; « que vous souffrez plus que les glaneuses sexagénaores et que les vieilles mendiantes qui rammassent des croûtes à la porte des cabarets. » D’autant plus que dans la femme sauvage il nous fait comprendre que la femme le fatigue, il la voit comme un animal sauvage derière les bareaux, une

volumes en 1824) Exemples d’ouvrage édité pendant la Monarchie de Juillet + Le catéchisme républicain de la Glaneuse ( Nouveau catéchisme républicain indiquant à tout citoyen ses droits, ses devoirs et la forme du gouvernement qui convient le mieux la dignité et au bonheur d’un peuple, par un prolétaire, Lyon, 1833, 87.p Publié d’abord par articles dans le journal de Lyon, la Glaneuse.) : bréviaire des militants au débuts de la Monarchie de Juillet. Imprégné de tradition montagnarde et sans-culotte

Hippolyte Taine et Fustel de Coulanges. Quelque œuvre réaliste en peinture : De Gustave Courbet, la plus célèbre de ses œuvres est surement : « Le désespéré », 1843-1845, 45*54 cm, collection particulière. De Jean-François Millet : « Les glaneuses », 1857, 472*315 cm Naturalisme Définition : Le naturalisme est un mouvement littéraire international apparu dans les dernières décennies du XIXe siècle. Les naturalistes introduisirent dans leurs romans des descriptions scientifiques et objectives

XIXème siècle, on retrouve l’empreinte de certains auteurs comme Restif de la Bretonne, Stendhal, Balzac, Henri Monnier, Paul Kock. En même temps, on retrouve une esthétique engagée par des peintres tels que Daumier, Millet et surtout Courbet. Les glaneuses, Millet. 1857 (image d'illustration) The Knitting Lesson, Millet. 1860 (image d'illustration) The stone Breakers, Courbet. 1849-50 (image d'illustration) C’est d’eux que l’on fait naître l’école réaliste. Certes Champfleury publie en 1857

première partie, chapitre 2, 1846, Hugo, « Melancholia », Les Contemplations livre III, 1856 Histoire des arts: François Ignace Bonhomme, 1853 Avant de descendre dans la mine, 1925, Alexandre Deïneka, Les constructeurs  1950, Fernand Léger, Les Glaneuses, Jean François Millet, 1857, Les Laveuses de Paul Sérusier, 1892, Malevitch, La Moisson, 1911-1912 LECTURE CURSIVE : L’œuvre de Germinal a été lue en larges extraits, l’accent a été particulièrement mis sur l’étude des personnages.

des bêtes sauvages de Goya, Marché Oriental aux esclaves et Le Modèle de l’artiste de Jean-Léon Gérôme, Le Bal a l’Opéra de Manet, Seule et Anonyme de Mary Osborn, Les Deux Meres de Giovanni Segantini, Le Chant de l’alouette de Jules Breton, Les Glaneuses de Millet, Losbruch (émeute) de Käthe Kollwitz, Jolie Fille d’Hannah Höch, Balthus… À travers de multiples œuvres des artistes importants, Nochlin tente d’identifier l’idéologie dominant sur lequel repose la naturalisation des attributs, des

véritable histoire de la vie réelle, l'Histoire que n'ont jamais écrite les historiens. » (à propos du genre romanesque) « (...) Mais elle vient la nuit du plus loin que la nuit À pas de vent de mer de feu de loup de piège Bergère sans troupeau glaneuse sans épis Aveugle aux lèvres d'or qui marche sur la neige. » (La nuit, in L’enfance de l'Art, éd. Fontaine, 1942) "Lorsqu'on a perdu toutes ses illusions, il reste encore à perdre l'illusion suprême qui est de se croire sans illusions. "