Les Grandes Découvertes Et L Humanisme

(traduction de la Bible en langue locale par Érasme en 1516). -Les voyages au XVIe : temps des découvertes -l’importance de l’ouverture à l’autre : guerres, guerres de religion (catholiques/protestants), guerres civiles -Analyse du sujet : ouverture à l‘autre / interrogation sur l’autre -Plan I. L’humanisme, une littérature du voyage A. Le temps des grands voyages L’âge des grandes découvertes : Christophe Colomb, Jacques Cartier, Francisco de Ulloa et bien d’autres explorent l’Amérique

mot humanisme en viendra a désigner, outre la formation à l'école de la pensée gréco-latine, un idéal de sagesse et toute une philosophie de la vie. Le lien qui unit ces deux définitions c'est que l'humanisme est un acte de foi dans la nature humaine, et la conviction.2) Différence entre la Renaissance et l'Humanisme. La Renaissance est une période située entre le Moyen-Age et l'époque classique, de la fin du XIVe siècle au début du XVIIe siècle voit une profonde transformation et un grand renouvellement

monde contemporain en proie aux découvertes et aux changements. 1. La peinture de la Renaissance est une peinture humaniste. Elle va s'ordonner autour de l'homme. 2. Le "quattrocento" (XIVe siècle) va marquer les débuts de la Renaissance, avec Florence comme ville phare. Vont s'exprimer dans la ville florentine des artistes comme Boticelli ("Naissance de Vénus"). 3. A Florence toujours, mais dans la période de haute Renaissance (1500-1530), vont naître les plus grands peintres de cette période :

participation et la prise de notes restent essentielles. 5. Humanisme & Renaissance aux XVe & XVIe siècles Silence is the virtue of fools. Francis Bacon (1561-1626). Introduction Questionnement sur le sujet : « Humanisme & Renaissance » A. Une nouvelle vision de l'homme et du monde α. L'Humanisme β. La Réforme γ. L'élargissement du monde B. La renaissance artistique α. Peinture β. Sculpture & architecture γ. Genres littéraires Humanisme et Renaissance Dans l'Europe du XVe et XVIe siècles

Humanisme et Renaissance humanus = instruit +cultivé —> intellectuels du XV° et XVI° siècle qui mettent au centre de leurs études l'Homme et la lecture des textes antiques. Renaissance = renouveau culturel artistique en Italie puis en Europe, aussi au XV° et XVI° siècle. I) L'humanisme 1. La révolution humaniste a. L'Homme au centre du monde b. Un esprit scientifique 2. La diffusion de l'humanisme en Europe a. Mettre le savoir à la portée de tous b. Les méthodes d'étude c. Grand

1553. Il a beaucoup voyagé en Europe et notamment en Italie, qui l’a inspiré. Mouvement : Période : Renaissance qui est le passage du Moyen-âge au monde Moderne. (Découverte des textes antiques, découverte de nouveaux mondes, nouvelles cultures +évolution des sciences et du technique = imprimerie, cartographie, chirurgie) HUMANISME. L’art devient la préoccupation essentielle de l’Homme) Œuvre : Relève du conte – roman de chevalerie – parodie de l’épopée. C’est le texte narratif le plus connu

doit pas faire venir des musiciens pendant qu’il mange pour profiter au max de son repas. M condamne les philosophes qui disent que le corps n’a aucun intérêt, et que l’esprit qui est important, sinon M dit que c’est inhumain (contraire de humanisme). Humanisme prend en compte le corps et l’esprit. M inscrit le corps dans la culture : « culture du corps ». M dénonce la position de tout miser sur le corps, il faut qu’il y ait un équilibre entre le corps et l’esprit. M condamne ceux qui prennent trop

de ce modèle sont finalement discutés et nous concluons que l’éthique sartrienne est une approche humaniste puisqu’elle place l’être humain au centre de ses préoccupations Mots clés : Processus de décision éthique, Sartre, Soi et les Autres, Humanisme, Modèle conceptuel. Abstract In the world of business, uncertainty or ambiguity are often sources of tension between the manager’s values and those of the company. In business ethics, two mains perspectives of moral philosophy are frequently

aliment des formes contemporaines de relativisme et de scepticisme, souvent englobées par la notion de « culture post-moderne ». Certains excès rhétoriques du côté d’auteurs estampillés comme « constructivistes » (comme Bruno Latour) ainsi que la grande difficulté des sociologies contemporaines, dans leur coupure LES LUMIÈRES TAMISÉES DES CONSTRUCTIVISMES 159 revendiquée avec la philosophie politique et morale, à expliciter leurs points d’appui éthiques et politiques1, et en particulier

Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue (traduction de la Bible en langue vernaculaire par Érasme en 1516). Ainsi, cet humanisme vise à diffuser plus clairement le patrimoine culturel, y compris le message religieux. Cependant l’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté (ce que