Les Grandes Puissances Et Le Proche Orient

ISRAÉLO-ARABE EST-ELLE POSSIBLE ? Les récents incidents de Gaza, précédés et suivis d'une liste interminable d'autres rencontres plus ou moins spectaculaires, ont renouvelé l'intérêt de l'opinion publique pour la tension israélo-arabe, l'un des grands motifs d'inquiétude du monde. Sans doute est-il impossible d'isoler de leur contexte des incidents qui apparaissent, toutes proportions gardées, minimes, et qui ne prennent toute leur signification que parce que certains ont constitué une mesure de

Introduction : L’absence de l’Occident européen dans les conflits actuels au sein du Moyen et Proche Orient ne reflète pas la position qu’il a adoptée pendant le 20ème siècle. En effet, alors que les impérialismes coloniaux sont à leur apogée à la veille de la Première Guerre mondiale au sein du monde musulman, celui-ci entre dans une phase de prise de conscience de la domination de l’Occident et du retard accumulé. Celle-ci remonte au début du 19ème siècle, avec la période appelée Nahda

Géopolitique (Dagorn) La géopolitique en mutation René-Eric Dagorn La géopolitique tente aujourd’hui de devenir une réflexion générale sur les espaces du politique – et non plus seulement sur les espaces de la puissance –. Elle se trouve, pour certains, au seuil d’un changement majeur. « Guerres et conflits : la planète sous tension ! », tel est le thème du prochain Festival international de la géographie à Saint-Dié-des-Vosges début octobre 2008, l’un des plus importants rassemblements de la

cette déclaration, il s’agissait, pour les anglais, de s’attirer la sympathie des juifs du monde entier, considérés comme disposant d’une grande puissance. La Grande-Bretagne n’a pas fait de « promesses » qu’au mouvement sioniste* (à travers la Déclaration de Balfour), mais aussi aux dirigeants arabes, pour s’assurer une meilleure assise dans cette zone du Proche-Orient. Une autre question se pose alors et vient s’ajouter au paradoxe précédemment souligné : Comment concilier l’indépendance arabe et la

frontières maritimes  : - chevauchement de ZEE, rapports de force, volonté d’accéder à des ressources-souvent en ASIE et dans les pays émergents : utilisent la mer pour gagner en puissance→ cas des frontières terrestres : - Europe-Levant, Caucase, Orient… - peu de conflits mais + ? issues d’ambition géopolitique → réaffirmation des frontières liées à 4 tendances (1) Utilisation du droit international : - opération de délimitation = Programme

provoquer des guerres. Pour Lénine, la 1ère guerre mondiale est l'illustration de cette théorie. En Europe, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Italie ou l’Espagne (ou les EU) sont présentés comme étant des puissances coloniales qui cherchent à accroitre leur richesses, leur puissance. Le courant libéral explique que ces tensions entre les Etats sont dues à la nature humaine. L’Homme aurait donc une fâcheuse tendance à vouloir dominer. Pour éviter les conflits, il faut des contrats comme l’explique

Le Moyen-orient de 1945 à nos jours I. Un foyer d’instabilité majeur A. Des lignes de partages multiples Le Moyen-Orient est une terre d’histoire ancienne où coexistent différentes civilisations. C’est aussi le berceau des trois grandes religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l’islam avec les chiites et les sunnites. Les affrontements sont donc fréquents, comme par exemple, la guerre civile qui a frappé le Liban de 1975 à 1991. Les Kurdes sont disposés dans quatre pays : la

français, les réactions françaises seraient assez différentes). -la jalousie envers ce qui est perçu comme une américanisation. -une répugnance morale persistante envers l'économie de marché et son moteur, le profit : les Français seraient le grand peuple au monde le moins favorable, et de loin (35 %) à l'économie de marché. -la volonté déterminée de conserver une large protection sociale contre la mise en concurrence directe des ouvriers français et chinois, et la précarité qui en résulte

« monde » qui se fait en 2 et non en 3. D’un côté une Europe occupé par les soviétiques, c'est à dire l’Europe de l’Est et centrale, puis le reste comme l’Italie, l’Allemagne…va être attribué au contrôle des EU. Enfin on peut dire que Staline est le grand vainqueur de Yalta. Néanmoins on n’est pas d’accord pour le sort de l’Allemagne et ils vont se réunir à nouveau en Juillet/Aout 45 lors de la conférence de Potsdam. Elle réunie les EU (Truman), la GB (Churchill puis son successeur), Staline… On décide

coexistence pacifique agitée, le modèle stalinien et le bloc de l’est, le modèle américain et le bloc de l’ouest, la guerre idéologique. I- La Guerre Froide 1) La rupture de 1947 Apres l’écrasement des puissances de l’axe par les Alliés, l’espoir d’une entente solide entre les deux grands vainqueurs, les USA et l’URSS, se dissipe vite. A Yalta, en février 1945, Roosevelt, Churchill et Staline se sont engagés à rétablir la démocratie sur la base d’élections libres dans l’Europe bientôt libérée