Les Hasards heureux de l'escarpolette

Les Hasards heureux de l'escarpolette, ou tout simplement L'escarpolette, c'est un tableau de l'artiste français Jean-Honoré Fragonard, qui a été réalisé en 1767. Il a été fait avec la technique de l'huile sur toile et actuellement il se conserve dans le Wallace Collection, à Londres. Avant de continuer avec le tableau on va parler de sa courant qui est le rococo, cette courant naît après le baroque, cette courent a été développé dans les années 1710 - 1770, et il traitait principalement l'architecture

Le Rococo 2 Article mis en ligne le 9 novembre 2010 par D.Theillere Historique du mouvement : Le style Rococo naît en France au début du XVIII ème siècle. Son apogée ce situe autour de 1725, le Rococo sort des frontières françaises pour se propager dans toute l’Europe, en particulier vers l’Allemagne. Vers 1760, avec le néoclassicisme, commence le déclin du Rococo Le début du XVIII ème siècle est aussi marqué par la mort de Louis XIV et un assouplissement

Lecture d’oeuvre «Les Hasards Heureux de l’escarpolette» Fiona Fernandez et Fanny Dupont FPA 1 25 novembre 2013 Fiona Fernandez et Fanny Dupont novembre 2013 - FPA 1 Table des matières 1. L’artiste 3 1.1 Jean-Honoré Nicolas Fragonard 3 1.2 Ses oeuvres principales 3 2. Identification 4 3. Composition 4 3.1 Les lignes de force 4 3.2 L’ordonnancement 4 3.3 Le type de composition 4 3.4 Centre

1. Le libertinage selon St François. Nous pouvons observer trois tableaux de Jean-Honoré. Le Baiser à la dérobée qui date de 1788, Les Hasards Heureux de l’escarpolette qui a été fini en 1767 et Le verrou terminé en 1777. Tous ont comme thème le libertinage du point de vue du peintre. I. Le sujet et l’atmosphère Ces trois tableaux qui ont été peints au XVIIIème siècle, reflètent bien le mouvement des Lumières, très à la mode à cette époque. Le Verrou et Le Baiser à la dérobée font ressortir

L’art Rococo ‘Les hasards heureux de l'escarpolette’ (1767) huile sur toile - 81 x 64 cm Wallace Collection, London « Les hasards heureux de l'escarpolette » Jean-Honoré Fragonard a peint ce tableau en 1767, après la Régence (1715-1723), pendant laquelle s’est épanouit le Rococo grâce à une plus grande tolérance, notamment dans le domaine des arts. Le Rococo est un mouvement artistique où domine le plus souvent un thème léger, superficiel avec des couleurs pastel dans un décor pastoral

| | | |Les Hasards heureux de l’escarpolette. | |Huile sur toile, 1767-1768, 81x 64 cm, Wallace Collection, Londres.

véritable fascination, il comporte une dimension mystique et imaginaire qui se prête facilement à la création et à la représentation. Il a inspiré plusieurs peintres à travers les siècles notamment Fragonard au XVIIIème siècle, avec Les Hasards heureux de l’escarpolette, qui représente tout à fait la dimension mystique et l’association avec le paradis, dans un décor idyllique et totalement imaginaire : deux amants se courtisent, la femme se balance sur une balançoire référence à la sensation de légèreté

L'obtention de cette distinction permet à Fragonard de jouir d'une immense notoriété. Ses scènes galantes sont extrêmement courues et la noblesse lui passe de nombreuses commandes ; à l'instar de celle du baron de Saint-Julien pour Les Hasards heureux de l'escarpolette (1767)

Provence Mort le 22 aout 1804 à Paris C’est un artiste peintre, graveur, dessinateur, il a eu comme récompense le prix de ROME. Son mouvement artistique c’est le ROCOCO. C’est œuvre principale sont : Le verrou, la lisseuse et les hasards heureux de l’escarpolette. LE VERROU : peint entre 1774 et 1778 ; L'interprétation commune suggère que la scène représente deux amants enlacés dans une chambre a couché, l'homme poussant le verrou de la porte. Elle est conservée au Louvre à Paris. Dimension 74 cm × 94 cm

un peintre confirmé. Il obtient la reconnaissance de la Cour, des commandes publiques et un atelier au Louvre. Peu à peu moins académique, son travail délaisse la narration historique pour des scènes galantes à tendance érotique. 'Les Hasards heureux de l'escarpolette' (1766) ou la série de panneaux décoratifs réalisée à la demande de la maîtresse de Louis XV, Madame du Barry, demeureront les témoignages majeurs de cette époque galante. Nommé conservateur du musée du Louvre, le peintre du 'Verrou'