Les Intendants Des Provinces

Les Fausses Confidences 1737MarivauxL'auteur :Sa carrière : De son vrai nom Pierre Carlet , il n’était pas noble. La création de son nom Marivaux donne lieu à de nombreux dérivés : marivauder, marivaudage, marivaudien… Né à Paris à la fin du XVIIème siècle, il entreprend des études de droit dès 1710, et en 1712 = sa première comédie (Le Père prudent et équitable) . Dans la Querelle dite des anciens et des modernes, Marivaux se range du côté des Modernes

des États Généraux de Bretagne. Vive réaction du parlement de Rennes. Envoi par le roi du duc d’Aiguilllon nommé « commandant en chef » de la province de Bretagne. - désir de La Chalotais de voir son fils lui succéder au poste de Procureur Général du Parlement de Rennes, ce que le duc d’Aiguillon refuse. - ce dernier veut remettre de l’ordre dans la province notamment dans les travaux publics, ressort des États Provinciaux. b. Réactions du parlement - 1764 : Présentation de remontrances contre

bonne humeur en font un élément moteur de la patrouille cette année. 4 ème  : Antoine Roch, en troisième année. Il est toujours motivé pour se lancer dans des défis. Antoine n’a pas peur des chemins escarpés. Cette année il est intendant et a déjà prouvé son efficacité et son investissement. Il compte passer le plus tôt possible sa seconde

Palais de justice , les magistrats rédigent des projets de réformes dans une charte de 27 articles qui prévoient la suppression des traitants, la réduction des tailles, la répartition et la levée des impôts par les seuls officiers, le rappel des Intendants, l'absence de création de nouveaux offices, le renoncement aux réductions de rentes et de gages ... Par la déclaration royale du 31 juillet, la chambre de Saint-Louis obtient gain de cause sur presque tous les points . Le 25 août, le Conseil d'en

gouvernements ( circonscription territoriale), ils correspondent le plus souvent à d'anciennes circonscriptions féodales, sur lesquelles sont venu se greffer d'autres circonscriptions qu'on appelle les généralités. A la tête des généralités, les intendants qui ont une place particulière au cœur d' l'administration, ils sont nommés par le roi et peuvent être révoquer à tout moment. On les appelle des commissaires. Le roi leur confie un pouvoir très étendu, pouvoir judiciaire, en affaires, en matière

disparu on va représenter notre père juridiquement, si notre père avait des dettes ou un patrimoine on hérite ! Le roi ne pouvant pas être partout, il va passer par ce moyen du droit romain , installé des représentants direct du roi dans les provinces. On aura des agents royaux. C’est une transformation très importante ar avant on était dans une société où il y avait des relations que de personnes à personnes. B) L’indépendance vis-à-vis du Pape C’est une lutte cette fois ci plus

conseils spécialisés qui ne dépendent que de lui : le Parlement pour la justice et la Cour des comptes pour les finances.— Le Roi choisit ses ministres, 4 ou 5. Ce sont des roturiers (non – noble) qui doivent tout au Roi et qui sont donc fidèles.— En province, le Roi nomme des fonctionnaires appelés « officiers » qui jugent et récoltent les impôts à la place des seigneurs• François Ier et ses successeurs conservent cette organisation mais cherchent à renforcer leur pouvoir sur elle — Ils

d’apporter des marchandises de luxe dont les seigneurs voudraient pouvoir bénéficier. La situation financière délicate est aggravé par d’autre mutation. La circulation monétaire ayant repris, les monnaies étrangères qui parviennent jusque dans les provinces les plus reculés, ont un cours plus élevé que les monnaies comtales. Et pour maintenir leur train de vie, les seigneurs doivent emprunter, font des abrégements de fief, ils empruntent aux marchants qui prête plus facilement au grand seigneur territoriaux

de l’absolutisme à permis la concentration du pouvoir royal, ne laissant que très peu de pouvoir d’expression aux parlements (A). De plus les rois de France ont exercés leur pouvoir de manière à réduire à néant le rôle joué par les parlements de province (B). A) Un Etat monarchique absolutiste qui domine Au début de l’Ancien Régime, c'est-à-dire au XVIème siècle, la monarchie française est la plus ancienne d’Europe ce qui accorde au roi une certaine forme de prestige. Dès lors, la monarchie

jeux séculaires, dont les derniers furent célébrés sous Auguste, car celui-ci n'avait pas, selon lui, respecté l'intervalle traditionnel de cent ans entre deux éditions. Il réforma des lois dans tous les domaines aussi bien à Rome que dans les provinces. Il fit siéger, par exemple, les juges pendant toute l'année, alors qu'auparavant ils n'étaient en fonction seulement en hiver et en été. Il modifia quelques conditions du cursus sénatorial et équestre. Il remit en place des esclaves et affranchis