Les Ippj

IPPJ de Wauthier-Braine L' IPPJ de Wauthier-Braine est une IPPJ pour garçon en régime ouvert, c'est-à-dire, des placements de court terme à des missions de long terme dans le milieu familial, elle s'adresse aux adolescents de 12 à 18 ans qui sont menacés d'entrer dans un processus de délinquance. Les spécificités de l'institution Prise en charge à court terme L' accueil : qui ne dépasse jamais 15 jours et comportant 10 places. Cela vise a prendre conscience des faits commis. Pour cela

de prendre des mesures de placement il doit privilégier le placement en institution privée est prioritaire par rapport au placement en IPPJ ; en ce qui concerne ce dernière on privilégiera aussi le placement en section ouverte. En tout cas le placement en centre fédéral ferme est la mesure de tout dernier ressort. Ainsi pour une décision de placement en IPPJ le juge devra : * Justifier pourquoi il ne recourt pas à une mesure restauratrice * Justifier pourquoi le projet du jeune

concernés par une mesure permettant un maintien dans leur milieu de vie. Quelles sont les statistiques disponibles concernant les mineurs délinquants, les IPPJ et le centre fermé de St-Hubert? Publié le 17 mars 2011 par christelle dans Aide à la jeunesse Question de M.Maene du 16 mars 2011 : Données concernant les FQI et l’occupation des IPPJ et du CFF de St Hubert. Régulièrement, la presse relate, dans la rubrique « fait divers » ou « justice » des infractions commises par des mineurs. Nous

développement de l’enfant en mobilisant ses compétences et celles de ses parents. IPPJ : IPPJ - Institutions publiques de protection de la jeunesse Lorsqu’un jeune a commis un fait particulièrement répréhensible (un fait qui, s’il était commis par un adulte, serait qualifié infraction), le Tribunal de la jeunesse peut confier ce jeune pour une période déterminée à une des cinq Institutions publiques de protection de la jeunesse (IPPJ) gérées par la Communauté française et investies de la prise en charge pédagogique

jours dans un IPPJ. Plusieurs récits de ce genre se succèdent. Aujourd’hui, les IPPJ sont saturées face à une violence qui est de plus en plus intense. Interpellé par ce problème, la ministre de l’aide à la jeunesse en collaboration avec le fédéral mettent à disposition une soixantaine de places en plus dans les centre d’IPPJ. C'est évident que pour certains jeunes, il est nécessaire de procéder à une mise à l'écart, ne serait-ce que pour les protéger eux-mêmes. Le but des IPPJ est que chaque

peut impliquer un placement auprès d’une personne digne de confiance (par exemple, un grand-parent) ou dans un établissement approprié (par exemple, une famille d’accueil), dans un hôpital, dans une institution publique de protection de la jeunesse (IPPJ) ou dans une section pédopsychiatrique. Le juge de la jeunesse peut également décider que le jeune peut tout simplement rester dans sa famille et lui imposer éventuellement des conditions auxquelles il devra se tenir. Ainsi, le juge de la jeunesse

situations difficiles en apportant au jeune et à sa famille une aide adaptée. Au sein des services privés, dans les Services d'Aide à la Jeunesse (SAJ), les Services de Protection Judiciaire (SPJ), les Instituts Publics de Protection de la Jeunesse (IPPJ), des travailleurs sociaux donnent chaque jour le meilleur d'eux-mêmes pour trouver des solutions d'avenir pour les jeunes qu'ils prennent en charge. Néanmoins, au sein-même des services agréés ou subventionnés par la Communauté française, se développe

 défavorables  à   l’insertion  des  jeunes.   Il  doit  publier  un  rapport  annuel,  rendre  des  avis,  etc.   Puisqu’il n’y en a qu’un. 18 Sur  le  règlement  général  des  IPPJ  ;     Sur  la  nature  des  sanctions  qui  doivent  être  prises  à  l’encontre  des  personnes  qui  ne   respectent  pas  les  droits  fondamentaux  des  bénéficiaires.

Conséquence : adoption d’une loi en juillet 2009 qui met en place une spécialisation au niveau de la C. Assises. 4. Placement du mineur ayant commis un fait qualifié infraction (NON VU) Le jeune ayant fait l’objet d’un dessaisissement confié à une IPPJ peut être transféré à la section éducation d’un centre fédéral fermé pour mineurs ayant commis un fait qualifié infraction à dater de la citation en dessaisissement (article 57 bis). On dit donc, en substance, dans cet article, qu’on peut priver de

pas un mineur à faire de la prison (avec des adultes) sachant qu'il n'aurait aucune chance (vu les traumatismes, bagarres, viols etc...) de s'en sortir et d'avoir une chance de devenir un adulte responsable. L'incarcération pour les adultes, les ippj pour les mineurs, ou la réprimande dans les délits moins graves. L'adulte est puni selon les peines prévues au Code pénal. Le mineur est traité différemment, selon son âge, parce que l'on considère que la peine doit aussi permettre une rééducation