Les Jacobins

participé à l'instigation de la Révolution de 1789 en maintenant une position ferme contre l'Ancien Régime. Défenseur des libertés et porte parole de la bourgeoisie libérale montante, il est dans un premier temps rattaché à la création du Club des Jacobins (anciennement Société des amis de la Constitution et de la Liberté). C'est dans le prolongement de sa pensée post-révolutionnaire qu'Antoine Barnave, le 15 juillet 1791, prononce son dernier discours devant l'Assemblée nationale constituante responsable

avaient fondé à Versailles "le Club Breton" se réunissaient maintenant au couvent des Jacobins; ils prirent donc le nom de "Club des Jacobins" dans lequel se regroupaient les constitutionnels et toute la gauche de l'Assemblée. En 1790 ce club aura plus de 1100 adhérents sur Paris et essaimera en province: début 1791, 227 filiales, elles seront 406 à la fin de la Constituante. Très vite, la place prise par les Jacobins deviendra prépondérante et ce club tendra à diriger les débats à l'Assemblée. En juillet

C’est sa volonté et non le traité de Münster qui a légitimé l’union ». Un mois plus tard, il est élu juge de l’un des six tribunaux d’arrondissement de Paris, mais ne siègera pas. Après Varennes et la fusillade du Champ-de-Mars, il quitte le club des Jacobins et rejoint celui des Feuillants. Il se prononce contre la déchéance du roi et pour sa remise en fonction après sa suspension temporaire, et s’oppose à la proposition de Robespierre excluant la réélection des Constituants. Le 4 septembre 1791, Merlin

les clés de la ville. Septembre 1789 : ROBESPIERRE publie son discours contre le droit de véto. 5 septembre 1792 : Quelques jours après la chute de la royauté le 10 août 1792, il est élu député de Paris à la Convention. 26 mai 1793 : Au club des Jacobins, ROBESPIERRE appelle le peuple pour renverser les députés girondins. Juin 1794 : ROBESPIERRE est de plus en plus isolé et sa politique de terreur est contestée. Conclusion : Il joue un rôle important dans cette période de révolution. Il a peu

mort, le droit de vote des gens de couleur, des juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel et l'égalité des droits, contre le marc d'argent. Son intransigeance lui vaut bientôt d'être surnommé « l'Incorruptible ». Membre du club des Jacobins dès ses origines, il en est le plus illustre membre et l'une des figures de proue. Opposé à la guerre contre l'Autriche en 1792, il s'oppose à La Fayette et soutient la chute de la royauté. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre

n'était pas dirigée uniquement contre les aristocrates et le roi mais également contre les élus de la nation, cette assemblée législative dans laquelle le peuple ne se reconnaît pas... Au cœur de ces soulèvements se situent des orateurs de club des Jacobins: Danton, Robespierre, Marat... qui seront par la suite dénommés les « montagnards ». Ces montagnards condamnent également les girondins qu'ils jugent responsable de la situation économique et social. En effet ce sont les girondins qui ont décidé

meurt en 1854. L'histoire du gouvernement révolutionnaire se définit en une concentration des pouvoirs au profit de la Convention, puis, au Comité public, de plus, entre les mains de Maximilien Robespierre, président du comité, maître du club des Jacobins et de la commune de Paris. Le 9 thermidor an II (27 juillet 1794) se déroule un basculement, lorsque Robespierre a menacé une fois de trop la Convention donc il est renversé par une conjuration. On interrompt Saint-Just à la tribune par Tallien.

envahissent la convention et force à voter l'arrestation des chefs girondins, et portent les montagnards au pouvoir. Durant l'été 1793, lors de l'arrivée des Montagnards au pouvoir, soutenus par les sans-culottes des sections parisienne et le club des jacobins, les problèmes s'accumulent. La coalition des armées étrangères encercle les frontières, tandis que les troubles dans le pays se multiplient, guerre de Vendée et insurrection fédéraliste. La crise économique et la chute de la valeur des assignats

représentants aux États généraux. 27 avril : Émeute à Paris, au faubourg Saint-Antoine, contre le fabricant de papiers peints Réveillon. 30 avril : Création de la société des amis de la Constitution à Versailles, qui prendra le nom de Club des Jacobins en octobre, lors de son installation à Paris. Émeute à Marseille, où la foule s'empare de trois forts et tue l'un de leurs commandants, le chevalier de Beausset, major du Fort St-Jean. 2 mai : Présentation par ordre des 1200 députés au roi.

Il siège à l’Assemblée Nationale Constituante où il se fait remarquer grâce à sa très bonne expression en défendant la liberté de réunion, de presse, le suffrage universel et l’école gratuite et obligatoire. En 1790, il prend la tête du club des Jacobins où il est militant. D’abord partisan d’une monarchie constitutionnelle, il devient, après la trahison de Louis XVI, l’un des principaux adversaires de la monarchie et s’impose comme partisan des réformes démocratiques. Après la chute de la monarchie