Les Lettres De Mon Petit Frère

l’histoire d’un adolescent en deuil. Théo, un adolescent vit avec ses parents et son grand frère, Alex. Celui-ci se suicide en donnant aucunes explications et sans laisser de lettre d’adieu. Théo ne comprend pas et ne supporte plus l’idée que ses parents ne le remarquent plus et ne cessent de penser à son frère. Il décide d’acheter un billet de train pour s’enfuir à Paris. Marie, la petite amie de son frère défunt l’invite chez elle pour la nuit. Ensemble, ils parlent d’Alex, il lui raconte comment

Bernard Adolescent, se rend compte qu'il n'est pas le fils de celui quil'a élevé(le roman commence in medi res lorsque B lit la lettre qui lui apprend la vérité) Il quitte la maison. Hébergé par son ami Olivier Olivier M^âge que Bernard, écrit des vers. Parle à B de son oncle Edouard (Lucien: camarade, projet de roman...) Georges petit frère d'Olivier Vincent grand frère d'Olivier . s'intéresse à l'histoire naturelle Histoire sentimentale avec Laura Fréquente Robert Passavant , Un romancier fourbe

Lettre de Guy Môquet L’œuvre que nous avons étudié est la dernière lettre écrite de Guy Môquet à sa famille le 22 octobre 1941, quand il leur annonce qu’il va mourir. Guy Môquet naît à Paris le 26 avril 1924. Etudiant au lycée Carnot, il se passionne très tôt pour la politique et choisit, dès l'arrestation de son père, (le syndicaliste cheminot et député communiste) Prosper Môquet, de suivre ses traces. Après l'arrestation de Prosper, Guy, sa mère Juliette et son petit frère Serge s'étaient

il y rencontra Sophie Troesch avec qui il se maria en 1923. Originaire de Crastatt à côté de Wasselone, elle était pendant quelques années au service de la reconnue famille Branly. Une des filles, Cécile Terrat, était d’ailleurs la marraine de mon frère Marcel. Je suis né le 10 octobre 1924 à Strasbourg et je fus suivi deux ans plus tard par Marcel. Nous avons grandi au 17 rue Kageneck jusqu’en 1939 et le début de la guerre. En 1940, alors que Strasbourg est évacué, nous déménageons à Crasttat

monnayeurs » d’André Gide (1925) (éditeur : Nouvelle Revue Française/ Paru à Paris) Les personnages : → Bernard Profitendieu : Fils illégitime de Mr Profitendieu → Olivier Molinier : Ami de Bernard Profitendieu → Vincent Molinier : Frère d'Olivier et amant de Laura → Laura : Mariée, elle a une aventure avec Vincent, qui la met enceinte et la quitte → Edouard : Écrivain et oncle d'Olivier , le livre offre des extraits de son journal et il évoque le projet d'écrire « les faux

Ismène, sa sœur, rentra et la nourrice sortit pour aller chercher quelque chose de chaud à boire. La sœur d'Antigone lui demanda si tout allait bien. Elles changèrent de sujet et parlèrent d'une chose qu'elles ne pouvaient pas faire : enterrer leur frère, Polynice. Antigone voulait le faire mais Ismène essaya de la raisonner pour la convaincre de ne pas se mettre en danger. La nourrice entra avec le café et les tartines d'Antigone, elle senti qu'elle n'allait pas très bien. Elle rendit donc service

le commissariat. Adamsberg, lui reçoit d’étranges lettres anonymes. Dans ces lettres, Adamsberg apprend que quelqu’un a tué mais on ne sait pas qui est le meurtrier ni la victime. Vasco toujours assis sur son banc manipule des petits objets, ce qu’il appelleses fétiches. Peu à peu Adamsberg apprend dans ces lettres anonymes qu’une femme a été tuée dans une gare. Cette femme, c’est Colette Verny. Adamsberg interroge Vasco qui lui avoue que son frère a tuécette femme, en l’a poussant dans les rails

Roméo et JulietteAuteur : William Shakespeare est un dramaturge et poète anglais du fin 16e début 17e Publication  : Écrite vers le début de sa carrière en et est paru en 1597 Mouvement : théâtre élisabéthain Le théâtre Elisabéthain est un théâtre baroque . En effet, le théâtre mélange les tons, et les genres à l'intérieur d'une même pièce . De plus, il y a une particularité

commissariat. Adamsberg, lui reçoit d’étranges lettres   anonymes. Dans ces lettres, Adamsberg apprend que quelqu’un a tué mais on ne sait pas qui est le meurtrier ni la victime. Vasco toujours assis sur son banc manipule des petits objets, ce qu’il appelle ses fétiches. Peu à peu Adamsberg apprend dans ces lettres anonymes qu’une femme a été tuée dans une gare. Cette femme, c’est Colette Verny. Adamsberg interroge Vasco qui lui avoue que son frère a tué cette femme, en l’a poussant sur les rails

ensoleillé au début du mois de juillet, ma famille et moi prîmes un bon petit déjeuner consistant, accompagné des fruits fraîchement cueillit du champ par ma mère. Ma famille, pas très nombreuse était constituée de mon père nommé Jean, ma mère marie, elle s’occupait très bien de nous et nous ne nous plaignîmes pas. Mon frère, âgé de 17 ans était très malin. Enfin moi, âgée de 16 ans était la dernière née de la famille. Mon frère était plutôt le fils bien-aimé de papa et ils étaient inséparables.