Les Liaisons Dangereuses Classicisme

maladie qui ne peut mener qu'au malheur et à la mort. Le Roman d'analyse avec l'oeuvre de Madame de Lafayette, La Princesse de Clêves (1678) témoigne, dans un style épuré et par une intrigue centrée sur l'étude du sentiment amoureux, des goûts du Classicisme en matière littéraire. La "Nouvelle historique" (le terme de Roman après 1660 est alors dévalorisé) se caractérise par sa brièveté et la simplicité d'intrigues linéaires, son emprunt des cadres et personnages à l'histoire, par la vraisemblance

face à la femme qu’il quitte, dans Polyphile ou l’amant de plusieurs dames de Charles Sorel en 1663 – une mention du « moine bourru », dans L’Esprit follet de d’Ouville en 1642 LES ELEMENTS BAROQUES 1) Une pièce classique ? - Irrégularité du Classicisme (règles fixées par Boileau) Temps : Lieu : Intrigue : + - bienséance : provocation de DJ - vraisemblance : mort de DJ - entre trois et cinq actes - dénouement ambigu : S. - le sort des personnages - vocation moral : catharsis 2) Une pièce baroque

Lafayette, La Princesse de Clèves, rompt avec l’invraisemblance du roman précieux. Il inaugure une certaine forme de réalisme, avec une analyse psychologique approfondie des personnages et un contexte historique précis (la Cour de Henri II). Le classicisme d’une forme brève et la sobriété du style caractérisent également ce récit. Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours résumé de cours et exercices 1 Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours 7 2. L’émergence

Lafayette, La Princesse de Clèves, rompt avec l’invraisemblance du roman précieux. Il inaugure une certaine forme de réalisme, avec une analyse psychologique approfondie des personnages et un contexte historique précis (la Cour de Henri II). Le classicisme d’une forme brève et la sobriété du style caractérisent également ce récit. Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours méthodologie et exercices I. L’histoire du genre corrigés RÉVISIONS DES CONNAISSANCES 1 7 2.

.......................................................................................8 Contradictions du baroque, genèse du classicisme (1610-60).................................................................9 L'esthétique littéraire :.....................................................................................................................10 Le Classicisme (1650-1700).................................................................................................................10

fondamentale. Pour comprendre le monde environnant, l’homme fait appel aux sciences, à la philosophie. Mais le mouvement des Lumières révolutionne tous les domaines comme l’art, la musique, l’architecture, la vie en société. Ce renouveau fait suite au classicisme du XVII e siècle, marqué par la recherche d’un idéal l’Honnête homme *. D’importants courants de pensée apparaissent à la fin du XVIIe qui annoncent les Lumières : Descartes comme le montre le Discours de la méthode (1641), accorde une confiance

d’autre part, une violence incontrôlée, dévastatrice et criminelle (incarnée par des personnages faibles d’esprit ou psychopathes). ⇨ Grande ouverture de compas. Ex : Opposition entre Alice au Pays des Merveilles et David Lynch. 3. Le classicisme 1. L’industrie du cinéma à Hollywood. Le cinéma hollywoodien est d’abord une industrie avant un art. Comparaison avec la fabrication des automobiles : - Travail à la chaîne - Extrême parcellisation du travail (Taylor :

314) porte également la marque de ce climat de galanterie caractéristique de l’époque. Le modèle héroïque cornélien. Corneille se situe exactement au point de croisement du - 27 baroque et du classicisme, au moment où les tendances centrifuges baroques sont absorbées dans le classicisme. Dans cet éclairage, la tentation du suicide doit être vue comme une « extravagance » destinée à être dépassée, jugulée, et l’apostrophe à l’épée personnifiée constitue un bel effet baroque, un beau moment

Blaise Pascal... Ces auteurs moralistes ont cherché à instruire et à donner une portée morale à leurs écrits, dénonçant les défauts, les vices des Hommes 3. 2ème moitié du 17è s. : les romans du classicisme En réaction aux excès et invraisemblances se développe le classicisme. Les romans classiques se caractérisent par l'ordre, la sobriété. Le roman devient plus réaliste et s'oriente vers une analyse psychologique des personnages. Son but est de plaire et instruire

sont liées à un type de société et qu'elles évoluent donc historiquement : Selon lui, le roman de personnages "appartient bel et bien au passé", à une "époque révolue", celle de "l'apogée de l'individu". Historiquement elle coïncide avec le classicisme (roman d'analyse de Mme de La Fayette) et culmine avec le roman réaliste (Balzac). Dans ce type de roman, le personnage - le « héros » - est doté d'une psychologie qui fait de lui un type humain, comme le père Grandet est l'avare, comme Julien Sorel