Les Limites De La Force Obligatoire Du Contrat

Sujet : L’AUTONOMIE DE LA VOLONTE DANS LE DROIT DES CONTRATS Le contrat, instrument le plus rependu qui régit les relations entre les individus dans le monde est d’une diversité naît de la volonté des parties. Cette volonté est t’elle autonome ou subordonné une quelconque contrainte ? Des réponses à cette question se dégagent essentiellement de la théorie de l’autonomie de la volonté d’une part et du code civil de 1874. Il est alors essentiel d’aborder la question selon ces deux acceptions. L’ossature

précontractuelles sont libres. Ils doivent impérativement satisfaire aux exigences de la bonne fois." Par un arrêt du 7 mai 2008, la troisième chambre civile s’est exprimée sur la question de rétractation d'une offre d'achat assortie d'un délai. En l’espèce, un contrat de proposition d'achat d'un immeuble a été signé par une personne, par l'intermédiaire d'un agent immobilier, le 24 juin 2000, appartenant à un couple vendant leur immeuble. Cependant le 26 juin de cette même année, cette personne retire son offre

personnes (morales ou physiques) aborde plusieurs questions relatives aux activités commerciales, aux contrats et obligations,… Parmi ces questions, seules les questions relatives aux contrats nous ont intéressées. Mais il ne s’agit pas de tous les contrats de façon générale ! En vertu du principe « qui trop embrasse, mal étreint », nous avons jeté notre dévolu sur les contrats des assurances obligatoires tels que formalisés en droit positif congolais. Ici, toute notre attention a porté, comme le titre

Commentaire d’arrêt: Cass. com, 10 juillet 2007, arrêt Fromont Sujet: La bonne foi dans l’exécution du contrat En droit des contrats, le code civil consacre deux principes que sont d’une part la force obligatoire du contrat, d’autre part l’exigence de bonne foi. Si la loi reste muette à propos du souci de leur conjugaison, c’est aux hommes qu’ils revient d’en traiter le problème. Dans son arrêt Fromont du 10 juillet 2007, la chambre commerciale de la Cour de cassation nous apporte une solution

AccueilScolaireDroitLes contrats 2) La théorie de l'autonomie de la volonté en matière contractuelle Publié : Le 31 Janvier 2006 à 21:20 Écrit par ludo Article vu : 24 661 fois La théorie de l'autonomie de la volonté représente le fondement de la force obligatoire du contrat dans la mesure où, à partir du moment où l'on... La théorie de l'autonomie de la volonté représente le fondement de la force obligatoire du contrat dans la mesure où, à partir du moment où l'on considère que l'homme est

La théorie de l'imprévision atteint effectivement à la force obligatoire du contrat. Il ne parait alors pas justifier d'y atteindre pour des raisons économiques et sociales. C'est la position continue adoptée par la Cour de Cassation même si elle connue quelques limites et contournements. En effet, un arrêt du 16 mars 2004 parait remettre en cause la théorie. Pourtant, l'attendu principal est ainsi énoncé « dans aucun cas, il n'appartient aux tribunaux quelque équitable que

comme le disait Jean-Jacques Rousseau dans Le contrat social, la loi est la source du droit, les règles permettent de régir la vie en société, mais aussi de protéger les personnes les plus faibles d’un quelconque abus de pouvoir. Un personne, quelle soit physique ou morale, est dotée de la personnalité juridique et devient assujetti à des devoirs et à des obligations. Ces obligations découlent de divers contrats que nous concluons perpétuellement. Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs

Recueil Dalloz Recueil Dalloz 1990 p.147 La notion de contrat (1) Jacques Ghestin Il ne sera directement question ni de la fonction, ni du régime du contrat (2), mais seulement de la notion de contrat, c'est-à-dire du point de savoir ce que c'est qu'un contrat et ce qui est contrat. On a montré combien il était difficile de donner une définition commune du contrat, même en se limitant à quelques systèmes juridiques, tels que les droits anglo-américains, allemands, italiens et français. Certains

cour de cassation casse la décision de la cour d'appel , car même si le contrat doit être exécuter de bonne foi , le juge ne peut sur le seule fondement de l'usage déloyal d'une prérogative fondant la mauvaise foi d'un créancier , porte atteinte à la substance même des droits et obligations légalement convenus entre les parties . Le juge peut-il porter atteinte aux droits et obligations conclus par les partis d'un contrat sur le seul fondement de la mauvaise foi d'un contractant ? Afin de

novembre 1992. A la formation du contrat, les obligations sont fixées en considération des circonstances économiques contemporaines de l'échange des consentements. Si celles-ci se transforment, les prestations réciproques peuvent se trouver déséquilibrées. Dès lors se pose la question de la poursuite du contrat dans les mêmes conditions. En l'espèce, une société pétrolière a conclu avec un redistributeur un contrat de distributeur agréé pour une durée déterminée, contrat par la suite prorogé. Durant