Les Limites Du Comique

l’apologue et ainsi pousser le lecteur à une réflexion personnelle. Quels sont les buts de cette fable ?Nous verrons tout d’abord la portée philosophique et morale de ce texte à travers la thématique du jardin, puisque ce texte, rempli d’humour et de comique, fait de lui une satire mordante de la société. Enfin nous verrons que ce texte constitue une critique des abus de pouvoir en tous genres. La Fontaine utilise la thématique du jardin. Nous allons d’abord montrer que c’est un support contextuel au

vient du carnaval), elle renverse les valeurs.Thomas Diafoirus, qui a un discours sclérosé, appris par cœur,( scène 5 acte II) qui fait ce que lui dit son pèreArgan est le malade hypocondriaque extrême, tellement enfermé dans sa maladie qu'il en est comique car ridicule. (scène 1 acte I))Le ton peut

Voltaire de faire une critique de l’intolérance vis-à-vis des religions et des croyances d’autrui. Ainsi nous allons voir par quels procédés l’auteur, à travers cette scène vivante va dénoncer l’intolérance. I) Le contexte de la scène comique et vivante a) Le comique autour de la caricature des religions -Confrontation de plusieurs sentiments «fort en colère », « s’écria avec douleur » -Voltaire veut montrer que chacun a ses convictions et qu’il est venu pour se faire entendre -Hyperbole pour montrer

Mouvements : 1) Interrogatoire pour poser un diagnostic (l.1 à 19) 2) Auscultation de l'enfant (l.19 à 31) 3) Révélation final/ chute (l.31 à 35 ) Question : En quoi cette scène est-elle comique ? " LE MÉDECIN (le chapeau à la main). - C’est ici, Madame, qu’il y a un petit malade ? " ⟶ didascalie = montre une certaine gravité et une forme de respect ⟶ ne sont pas nommés = réduit à leur fonction ⟶ petit = idée d'infantilisation de la

d’ailleurs que l’on « éclate » de rire, ceci signifiant une absence de maîtrise de soi pouvant être considérée comme un acte gratuit. Cependant, comme indiqué en introduction, le rire est lié à une disposition de l’esprit qui attribue un caractère comique à un fait venant de se dérouler, ou à des paroles entendues. Cette faculté d’interprétation est une spécificité humaine, ce qui fait écrire à Rabelais, en reprenant la pensée d’Aristote, que « le rire est le propre de l’homme ». Le rire est ainsi

trônant dans son palais devient un vrai tyran et n’a aucune limites dans sa manière de gouverner. Son portrait de dictateur bouffon est poussé jusqu’à l’extrême car en une scène, il va détruire les fondements politiques de son pays. A travers l’analyse des différents procédés de langues, nous verrons que cette scène constitue une satire de la tyrannie en dénonçant le discours polémique du roi puis en montrant son ridicule à caractère comique. La scène débute par une série d’ordres donné par le

est la proie du chasseur. Elle est éblouie et adopte un ton de soumission face au maître: « je vous suis bien obligée », «Monsieur, c’est trop d’honneur que vous me faites » Elle est gênée par tous ces compliments, « honteuse », consciente de ses limites: « Tout ça est trop bien dit pour moi et je n’ai pas d‘esprit pour vous répondre» et honnête (elle révèle qu’elle est promise à Pierrot). Mais elle écoute avec complaisance, elle ne refuse pas le baiser sur sa main et réagit même avec coquetterie:

aspect comique. Les personnages sont généralement confrontés à des situations qui s’avèreront comiques pour le lecteur. Dans le texte « l’huitre et les plaideurs » deux pèlerins se disputent pour l’obtention d’une huitre. Ces situations burlesques se retrouvent dans les apologues et notamment dans les fables de La Fontaine telles que « les animaux malades de la peste » ou encore «  la grenouille et le bœuf ». Il existe différents types de comique dans les œuvres littéraires. Le comique de caractère

Enfin nous montrerons que la comédie ne sert pas seulement à divertir le public mais qu’elle est aussi un moyen utile pour nous faire réfléchir sur des vices humains et les défauts de notre société. Tous les auteurs de notre corpus utilisent le comique de langage qui est une des moyens les plus sûrs pour faire rire leur spectateur. Ainsi le langage sert-il d’instrument de révolte et de rire moqueur pour la domestique de M. Jourdain. Il est de même dans Labiche ou le personnage principal parle

la voix (mots davantage criés que parlés) et le rythme des mots (élocution très saccadée) évoquent la violence du personnage et de ses idées. Chaplin a écrit ce discours dans une langue inventée où quelques mots seulement sont reconnaissables (comique de mots). Ici c'est la langue allemande dans sa dimension la plus agressive qui est parodiée; mais l'essentiel de ce qui est dit ne veut rien dire... Chaplin montre par là que le discours est d'une rare pauvreté et stupidité. Il montre qu'en réalité