Les Limites Du Cout Marginal

production de diamants. - La présence dans certains secteurs d'activité de rendements croissants qui empêchent les petites entreprises d'être rentables. Il s'agit de monopoles naturels. Plus la production augmente, plus le coût moyen diminue. Le monopole produit toujours à un coût inférieur à l'entreprise concurrentielle. Il peut donc fixer un prix plus faible qui empêche d'autres entreprises d'entrer sur le marché. La production et la distribution de gaz, d'électricité, d'eau potable ou le secteur

x2’’(x1) = (3/4)q²x1-5/2 > 0 donc les isoquantes sont strictement convexes. 2. Définir la notion de productivité marginale d’un facteur. Déterminer les productivités marginales des deux facteurs. (1,5 point) - Définition - Pm : Pm1(x1,x2) = (1/4)x1-3/4x21/2, Pm2(x1,x2) = (1/2)x11/4x2-1/2 3. Supposons que la technique actuellement utilisée soit la technique (10,3). La productivité marginale du facteur 1 est alors approximativement de 0.077. De plus, on calcule que l’augmentation de production quand

EST LA SCIENCE DES CHOIX Or, les besoins sont illimités et les biens sont limités 1 La notion de besoin C'est un état de manque qui ne se conçoit que dans le cadre de la rareté. Dans une Société d'abondance, l'état de manque disparaît et avec lui, la notion de besoin. a)Les besoins individuels -les besoins physiologiques ( en nombre limité, dans les pays développés, ils peuvent être satisfaits. )

lien est quantitatif : thème de la décroissance Oui si le lien est qualitatif : développement durable Première réponse : rapport Meadows 1972 club de Rome., la croissance est à l'origine d’une très forte pollution, croissance exponentielle. Les limites du rapport Meadows de nature démographique et économique. Conjoncture lors des chocs pétroliers. Deuxième réponse : Nicholas Georgescu-Roegen 1970. Décroissance économique. Sa théorie est basée sur la loi d'entropie selon les apports de Darwin et

générations futures, s’intéresse au niveau et à l’évolution des stocks de chaque type de capital (accumulation et destruction) ainsi qu’à la question décisive du degré de substitution entre ces différents capitaux. Évoquer à l’aide d’exemples, les limites écologiques auxquelles se heurte la croissance économique (épuisement des ressources énergétiques et des réserves halieutiques, déforestation, augmentation de la concentration des gaz à effet de serre, etc.). Souligner que le PIB n’a pas été conçu

comportement des individus. Elle a aussi une portée normative : elle veut prévoir des comportements et on va déterminer la situation optimale, soit la meilleure situation. Pour borner directement notre travail. On est dans une économie de marché. On va limiter l’analyse au système concurrentiel (Concurrence Pure et Parfaite). La concurrence assure la meilleure situation possible. Définition de la Concurrence Pure et Parfaite : C’est lorsque 5 hypothèses sont réunies : 1. L’atomicité de l’offre et de

soit égal au coût marginal de production. Un prix supérieur au coût marginal atteste alors de l’existence d’un pouvoir de marché. Inversement, un prix inférieur au coût marginal révèle une stratégie dont le but n’est plus de maximiser le profit mais d’augmenter le chiffre d’affaires ou les parts de marché. Dans ce contexte, apparaît une première définition de la pratique de prédation : elle consiste pour une entreprise, à fixer ses prix à un niveau inférieur au coût marginal, ce qui conduit

production. - Le coût total = coûts variables + coûts fixes. Il est croissant à des rythmes différents. - Le coût moyen = coût unitaire = prix de revient = coût total/quantité = coût fixe par unité + coût variable par unité.La tangente à la courbe de CT passant par l'origine a pour pente le CM- Le coût marginal = variation du coût total/variation de la quantité produite.La pente de la tangente à la courbe de CT en un point représente le Cm en ce point.  La courbe du coût marginal passe par le minimum

séquentiellement. Lorsque les choix sont séquentiels, on parle de modèles de Stackelberg. Les résultats varient aussi en fonction du degré de coopération autorisé entre les …rmes. Ces dernières peuvent, dans certaines circonstances, s’ entendre pour limiter la concurrence et augmenter les prix. On parle alors de collusion ou de cartel. L’ étude de la collusion tacite sera l’ objet d’ un chapitre ultérieur. On va d’ abord étudier la concurrence en quantités, avant d’ analyser la concurrence en prix. Pour

néo-classique et ses limites 1) La représentation micro-économique de la firme 2) Les insuffisances de la théorie néo-classique II) Les approches néo-institutionnalistes 1) La théorie de l’agence Bibliographie : O. Bouba-Olga, « L’économie de l’entreprise », Points, 2003 B. Coriat, O. Weinstein, « Les nouvelles théories de l’entreprise », Livre de poche, 1995 B. Guerrien « L’économie néo-classique », Repères, 1997 Michel Carrard / 2011-12 4 La firme néo-classique et ses limites 1) La représentation