Les Miserables Fantine Jeta Son

dont le prénom, diminutif de Sophia, signifie la sagesse, est caractérisée par sa foi inébranlable, sa disponibilité, voire son sacrifice aux autres. Emblème romantique de la prostituée au grand cœur, elle évoque les personnages hugoliens de Fantine, Cosette, ou rappelle la Marguerite de Faust. Lizavéta est un autre cœur pur : malgré son corps monstrueux, comme le dit l’étudiant de la taverne, son apparence laide, elle incarne la pureté et la foi. Son prénom même signifie « l’admiratrice de

royaliste à l’oeuvre Les Mémoires d’outre-tombe La déferlante du siècle Hugo Père et mère d’une légende pour des siècles La bataille d’Hernani « Notre-Dame de Paris » Hugo en oeuvres Les années Juliette L’entrée en politique L’exil : Les Châtiments, Les Misérables… Vous souvenez-vous ?... Le triomphal retour Chapitre 16 - Poésie : le chaud et le froid Les fortunes de la rime romantique Alphonse, comte de Lamartine Alfred, comte de Vigny Musset, prince de la Muse Nerval, le ténébreux La cage aux mots frivoles

l’œuvre Les Mémoires d’outre-tombe La déferlante du siècle Hugo Père et mère d’une légende pour des siècles La bataille d’Hernani « Notre-Dame de Paris » Hugo en œuvres Les années Juliette L’entrée en politique L’exil : Les Châtiments, Les Misérables… Vous souvenez-vous ?... Le triomphal retour Chapitre 16 - Poésie : le chaud et le froid Les fortunes de la rime romantique Alphonse, comte de Lamartine Alfred, comte de Vigny Musset, prince de la Muse Nerval, le ténébreux La cage aux mots

des Verdurin est celle, transfigurée, de Sodome et Gomorrhe. 14. Nymphenbourg: manufacture de porcelaine dans la ville bavaroise du même nom. Althaea: comme la passe-rose, il s'agit de variétés de la rose trémière, fleur nervalienne. Fantin-Latour: Henri Fantin-Latour (1836-1904), peintre de fleurs qui a notamment exposé au Salon de 1899. 15. Floche: amas floconneux. Début du Cahier XVI, N.A.fr. 16.723. Henriette d'Angleterre: duchesse d'Orléans (1644-1670) en tant que belle-soeur de Louis XIV

historique) qui voit l’émergence de cette classe sociale. Dans les récits normands, Maupassant met en scène les paysans du Pays de Caux avec lesquels il a vécu sa jeunesse c’est pourquoi il est évident qu’il se sent proche d‘eux. Il n’en fait pas des misérables mais au contraire des personnes véritables, opposées, en cela, à la facticité du monde parisien dont nous pouvons prendre conscience lors de l’errance de Jeanne dans la capitale, au chapitre XIII. La sérénité des champs et le repos sacré du paysan