Les Moyens De Preuve Doc Marocain

c’est-à-dire la loi, le règlement, la coutume, la doctrine, la jurisprudence et la pratique. La principale loi faisant source du droit commercial est le code de commerce de 1996. Est également une source du droit commercial le DOC de même que le code de la famille. Les règles du DOC s’appliquent en matière commerciale au niveau du régime juridique des contrats, et les règles du code de la famille intéressent la capacité juridique des auteurs d’actes commerciaux. Le règlement qui émane du gouvernement

CHABBI ENCADRE PAR : - Mr JARAF MOHAMMED INTRODUCTION : Un cadre juridique est un droit et le droit est un ensemble de règles régissant la vie en société et sanctionnées par la puissance publique par les moyens de la justice. Par ailleurs ce droit adopte plusieurs branches, selon le type de l’activité à encadrer, en ce sens on trouve : -Le droit public qui est constitué par l'ensemble des règles régissant les rapports de droit dans lesquels interviennent

produit afin de les convaincre de l’existence certaines qualités de cette entreprise, marque etc.… La publicité existe sous différent supports et qui utilise différents moyens de propagation. Le sens d’origine du mot « publicité » signifie : action ou état rendre public[2]. Il prend le sens en 1830 de « ensemble des moyens utilisés pour faire connaitre au public un produit, une entreprise… » C’est un juste milieu entre l’art et la science, bien que la créativité en soit le cœur. Elle se fonde

doté de ses règles de rattachements. Au Maroc, c’est le D.C.C composé de 20 art .Article 16 : Les obligations nées d’un délit ou quasi-délit sur le territoire du protectorat français du Maroc, sont régies par la loi du protectorat (loi marocaine) La territorialité des lois et des peines s’applique à tous les domaines de droitException :  pour le statut personnel => le principe de la personnalité de la loi (la loi de la nationalité suit la personne) Article

objectif et ce quil sagisse de la loi proprement dite (celle qui est vote par le parlement ces lois sont dsignes par les termes textes lgislatifs) ou des rglements ou textes rglementaires qui manent du pouvoir excutif. Les principales sources de droit marocain tant les lois et rglements, on peut lgitiment se demander sil existe dautres sources en droit positif. Ainsi peut on se demander si la coutume qui nmane pas dun corps constitu mais de simples pratiques populaires est elle une source de notre droit

le cas dans l'abus de confiance, une personne parvient par des moyens tout aussi frauduleux à escroquer une autre personne. L'escroc parvient ainsi à embobiner sa victime, à manipuler sa crédibilité pour obtenir ou faire obtenir ce qu'il convoite. Malgré le manque de clarté de la définition de l’article 540, il y a l'emploi de moyens frauduleux, la remise de la chose a- L'EMPLOI DE MOYENS FRAUDULEUX : L'emploi de moyens frauduleux englobe toute manœuvre pouvant induire en erreur une

handicape ainsi l’esprit d’entreprise. Avant d’entamer une réflexion sur la dépénalisation, ses enjeux et ses perspectives d’application pour le maroc, il serait opportun de procéder à un examen préalable des infractions retenues par le code pénal marocain du 26 novembre 1962, notamment le vol, l’escroquerie et l’abus de confiance. I- DROIT PENAL COMMUN : 1) LE VOL : Le code pénal consacre toute une section aux vols et extorsions sous toutes les formes. Il commence par définir le vol en ces

obligation de résultats, ce qui signifie qu’un débiteur vas s’engager à un résultat précis et si il n’est obtenu, cela constitue une inexécution d’une obligation. Ensuite, on trouve l’obligation de moyen qui réside en le fait que le débiteur n’est pas tenu au résultat mais s’engage à utiliser tout les moyens qui sont en son pouvoir pour arriver au résultat demander.  l’obligation de ne pas faire . Elle a pour objet une abstention, comme ne pas faire de la concurrence ou divulguer un secret lié à

vendeur de lui délivrer la chose vendue, le vendeur peut de son côté exiger de l’acheteur le paiement du prix. Exemple 3 : on prend le cas d’un accident -de circulation  ou autre- dont l’auteur provoque injustement un dommage à autrui (art 77 et 78 DOC et S.). La victime, en qualité de créancière, peut exiger de l’auteur (le responsable= le débiteur) la réparation de son préjudice. En somme, on peut dire que la vie dans l’environnement de l’entreprise -comme d’ailleurs en société- « se traduit

exerçait était accidentel, auquel recouraient ceux qui le souhaitaient sans être lié à un contrat de travail au sens juridique, et a de nouveau décidé de rejeter la demande, qui est la décision attaquée en cassation avec un article qui comprenait un moyen unique. La Chambre sociale de la Cour de cassation a examiné l'incident et a décidé d'annuler la décision attaquée, après qu'il lui est apparu clairement que ce que les appelants avaient reproché à la décision était correct, en se référant aux exigences