Les Munitionnettes

totale car elle mobilise à la fois les esprits et les ressources matérielles et financières du pays. Une économie de guerre est mise en place : toutes les activités économiques sont orientées vers les besoins de la guerre (travail féminin (munitionnettes), productions industrielles de type militaire (Renault par exemple... ). L'effort financier est important : les gouvernements doivent recourir à l'emprunt auprès des populations civiles pour financer la guerre. L'arrière est touché par les

disposition : Le document 1 est une affiche américaine datant de 1917, critiquant les allemands Le document 2 est une affiche également, datant de 1915, faite par Abel Faivre, pour la nation Le document 3 qui est une affiche où l’on voit les « munitionnettes » qui travaillent pour produire des obus Le document 4 est tiré du manuel, est l’extrait d’un livre publié en 1920 du nom d’Orages d’acier Le document 5 est aussi tiré du manuel, c’est le rapport d’un directeur d’école allemande, 1915 Comment

dans les campagnes désertées par les hommes. Pour la mobilisation des ouvrières cela se fait beaucoup plus tard, pas avant la fin de l’année 1915. Elles seront 400 000 fin 1917 et début 1918, à l'apogée de la mobilisation féminine. 3) Les munitionnettes La plupart des hommes en âge de travailler avaient été mobilisés en 1914. Au fur et à mesure que s'envola l'espoir d'une guerre courte et qu'on s'engageait dans une guerre longue et totale, il fallait ramener dans les usines les ouvriers

aux femmes dans les secteurs qui leur étaient jusqu’alors généralement étrangers. La femme a vocation à remplacer les hommes partis se battre. Dès août 1914, les femmes doivent assurer le travail des champs. Certaines femmes comme les « munitionnettes » s’habillent comme des hommes, font des gestes d’hommes, travaillent comme des hommes… Les femmes s’impliquent aussi plus directement dans un certain nombre d’emplois : infirmière, marraine de guerre, services publiques… I] Généralité

en un rien de temps. Quelques moi vont suffirent pour que le conflit s’enlise dans la boue des tranchées, la guerre va durer. Il faut donc relancer les machines, produire les armes dont les combattants font une consommation phénoménale. Les « munitionnettes » sont bien payées mais travaillent dur, dix à douze heures par jour. Ces femmes des villes vivent dangereusement car des explosions d’obus secouent parfois les ateliers. L’historienne de la mode, Catherine Ormen, raconte que Peu à peu, les couturiers

femmes furent une figure essentielle de "l'autre front" : la mobilisation et l'absence de millions d'hommes ont fait découvrir aux femmes des responsabilités nouvelles (chefs de famille) ainsi que des métiers nouveaux (conductrices de tramways, munitionnettes, agricultrices, ambulancières près du front, auxiliaires de l'armée). Ainsi cette guerre implique une main d’œuvre enfantine utilisée avec des garderies pour des bambins tenues par des enfants plus grands, ventes pendants les journées patriotiques

boue, le gaz, les assauts, la mort.- Certains obus n’éclatent pas car ils s’enfoncent dans la Le nouveau rôle des femmes (« les munitionnettes »).Les conditions de vie sont très difficiles. Les gouvernements des pays belligérants mettent en place une économie de guerre pour fournir le front : réquisitions des matières premières, de la main d’œuvre féminine (« munitionnettes ») et coloniale, des entreprises (Renault), rationnement sur de nombreux produits, recours massifs aux emprunts à l’intérieur

Montrez que la grande guerre est une guerre totale INTRODUCTION - En 1914, lorsque la guerre éclate, Renault se lance dans la production de munitions et d’avions militaires, elle se met à employer des femmes, appelées les munitionnettes. - Cet exemple est la parfaite image d'une guerre totale qui durera jusqu'en 1918, conflit dans lequel des moyens considérables sont mobilisés ainsi que l’ensemble des ressources humaines, économiques et psychologiques des pays. En effet, en plus des presque

les femmes deviennent indispensables pour le soutien à l’effort de guerre. En France, le 7 août 1914, elles sont appelées à travailler par le chef du gouvernement Viviani. Dans les villes, celles qui fabriquent des armes sont surnommées les « munitionnettes ». Dans les campagnes, elles s’occupent des travaux agricoles. Beaucoup de jeunes femmes s’engagent comme infirmières dans les hôpitaux qui accueillent chaque jour des milliers de blessés. Elles assistent les médecins qui opèrent sur le champ

Français pendant la Première Guerre mondiale Paragraphe argumenté : Expliquez en une vingtaine de lignes la vie des Français pendant la Première Guerre mondiale. Femmes "munitionnettes" dans une usine produisant des obus en 1916. Pendant la guerre, la propagande multiplia dans la presse les photographies de « munitionnettes », d'infirmières, de postières ou de conductrices de tramway pour exalter l’effort de mobilisation. Plan proposé Introduction et problématique Première partie: le front