Les Muses Orphelines

Les Muses orphelines de Michel-Marc Bouchard et Nature morte de Serge Boucher font parti du courant littéraire de la postmodernité. Ces livres relatent des évènements familiaux et sociaux qui se produisent dans notre société. Les conséquences tragiques provoqués par l’abandon pour les personnages des ces deux romans. Les personnages sont donc enfermés dans le mensonge, leurs réactions sentimentales sont complètement différentes et ils stagnent dans leur monde. En premier lieu, l’abandon provoque

Les Muses orphelines Premier acte Scène 1 Le Samedi saint. Fin de l’après-midi. Catherine fait l’inventaire d’une valise de femme. CATHERINE. Trois foulards, trois foulards rouges, deux blouses avec des motifs… ISABELLE, entrant du dehors avec un sac. J’ai oublié l’heure. CATHERINE. La porte! Maudit sable! On va finir enterrées vivantes… Catherine ferme la porte. ISABELLE. Ça prend une demi-heure, aller au village à pied. CATHERINE. C’pas un balai que ça prend pour faire

effet, dans Les muses orphelines, Jacqueline Tanguay vit avec le secret d’avoir un amant alors qu’elle est mariée, sachant très bien qu'à l’époque, la femme se doit d’être fidèle. On dépeint ainsi le portrait d’une mère en accord avec ses pulsions et ses désirs, tout en se pliant aux attentes sociétales qui constituent l’institution du mariage. De cette façon, Jacqueline mène une double vie, accentuant sa libération sexuelle. D’ailleurs, dans le premier acte de Les muses orphelines, on constate qu’une

prendre un chemin autre, à l'écart de celui emprunter à l'habitude et se lancer à la découverte des autres, mais surtout de soi. Peut-être est-ce pour cela que de nombreux auteurs traitent de la nécéssité du départ. Prenons pour exemple Les Muses Orphelines de Michel-Marc Bouchard : une mère, passionnément amoureuse d'un étranger espagnol, décide de partir avec ce dernier et de laisser derrière elle une vie qui ne lui a probablement jamais plu et, par le fait même, ces enfants. Enfants qui, après

Nom Prénom | * Jean RACINE | Dates | * Né le 21 décembre 1639, et meurt le 22 avril 1699, XVII e siècle. | Nationalité | * Nationalité Française, né à la Ferté-Milon de parents Français. | Enfance Etude | * Orphelin de père et de mère à l'âge de trois ans, il passe sous la tutelle de son aïeul paternel. * Après la mort de celui-ci, il passe sous la tutelle de sa veuve. * Il étudia d'abord à Beauvais, puis à Paris au collège d'Harcourt, puis enfin à Port-Royal des Champs.

issu d'une petite petite famille bourgeoise. Il a été orphelin à l'age de 3 ans et il est donc recueuilli par sa grand mere paternelle. Jean Racine suis des études chez les jansénistes à Beauvais à Port Royal au collège d'Harcourt à Paris. Il recoit également une importante culture grecque et latine. Jean racine En 1660, il recoit une pension du roi grâce à des odes qui sont : la Convalescence de Roi, la Renommée aux Muses et la Nymphe de la Seine. En 1664, il est introduit

DU BELLAY - LAS OU EST MAINTENANT 1529-1560 grande famille , oncle cardinal et grand diplomate , sa parent sont de petite noblesse , élevé dans un château , il orphelin tôt , écrit tôt de la poésie , fait du droit a Poitiers et étudie le latin avant de se retrouver a Paris où il étudie l'antiquité . 1550 , il publie un recueil : L'Olive ( prénom féminin ) poésie petrarchiste beaucoup d'images , clichés . 1553 il va suivre son oncle pour son secrétaire à Rome : 2 oeuvres : Antiquité de Rome

deux grands-pères occupaient des positions-clés au grenier à sel de La Ferté-Milon et de Crépy-en-Valois ; l'on vit longtemps, sur la façade de la maison des Racine, rue de la Pêcherie, leurs armes parlantes :d'azur, au rat et au cygne d'argent3. Orphelin à l'âge de trois ans (sa mère décède en 1641 et son père en 1643), il est recueilli par ses grands-parents et semble être entré très tôt aux "Petites Écoles" de Port-Royal (peu après que sa jeune tante avait été accueillie comme professe au monastère

La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699. Il fait parti des deux plus grands dramaturges français classique avec Corneille, son aîné. Né dans une famille de petits notables et d'écrivains : son père était procureur. Orphelin dès quatre ans (sa mère décède en 1641 et son père en 1643), il est recueilli par ses grands-parents et reste chez eux jusqu'à la mort de son grand-père en 1649. Sa grand-mère entre alors au couvent de Port-Royal où Racine rejoint sa marraine qui

grand-père et son bisaïeul avaient été contrôleurs du grenier à sel de La Ferté-Milon et de Crépy-en-Valois ; l'on vit longtemps, sur la façade de la maison des Racine, rue de la Pêcherie, leurs armes parlantes1 : d'azur, au rat et au cygne d'argent2. Orphelin dès quatre ans (sa mère décède en 1641 et son père en 1643), il est recueilli par ses grands-parents et reste chez eux jusqu'à la mort de son grand-père en 1649. Sa grand-mère entre alors au couvent de Port-Royal où Racine rejoint sa marraine qui