Les Mystères de l'amour

liberté de l’amour quand aimer signifie donner sa vie ? Si le Père connaissait la destinée de son Fils, la Croix est-elle une barbarie divine ? Car c’est Jésus, « c’est lui qui, aux jours de sa chair, ayant présenté, avec une violente clameur et des larmes, des implorations et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant exaucé en raison de sa piété, tout Fils qu’il était, apprit, de ce qu’il souffrit, l’obéissance » (He 5,8). Obéissance folle, folie de l’amour qui destitue

partie avant la mort de Léopoldine, la fille de Hugo. Dans son texte, le poète associe la vie, l’amour et la nature, c’est un poème lyrique. C’est le récit d'une rencontre amoureuse, qui se déroule comme dans un rêve. Nous allons nous demander comment Hugo définit le coup de foudre dont il parle dans son poème. Dans ce dessein, nous allons dans une première partie aborder la femme et sa charge de mystère, puis le rôle que tient la nature dans cet amour, pour finir par le coup de foudre et sa mise

MOUVEMENT ROMANTIQUE 1: Les constantes des textes romantiques Quelques thèmes apparaissent de façon récurrente chez les auteurs romantiques, comme le "moi" et l'amour malheureux. Quelques décors sont privilégiés ainsi que l'Histoire et l'exotisme. Quelques sensations sont suscitées chez le lecteur, comme le dépaysement et le mystère. Le "moi": Le Romantisme s'écrit d'abord à la première personne. La poésie lyrique exalte un "je" qui s'exprimerait au nom de tous. Des genres naissent ( comme

Effets des notations sensorielles Sensualité liée à l’amour qui rejoint la notion de volupté, de beauté du refrain Corrigé de l’exercice d’autoévaluation 1 2 Tableau-synthèse Déduction Idées et thèmes Repérage des illustrations Procédé d’écriture Preuves textuelles Interprétation Explication de l’illustration Odorat « odeurs » (v. 19) de « fleurs » (v. 18) Vocabulaire connotatif Qualification de l’amour Le lieu Effet de l’ambigüité « là-bas » (v. 3 et

si on lit en laissant dès le début à l’Esprit de Dieu, la liberté de nous éclairer comme il veut, de nous faire voir ce qu’il veut nous faire contempler, de nous faire désirer à cette lumière ce qui deviendra prière, appel, offrande et abandon à l’amour ; cet amour qui se révèle en se communiquant et qui transforme en éclairant.   En lisant ces textes, et en les relisant une deuxième ou une troisième fois, en les « ruminant », peut-être en les écrivant, certains passages attirent l’attention intérieure

rend l’histoire très intéressante et fait parlée beaucoup d’elle. Sagan rend sensible le mystère de l’amour-passion chez les personnages plus que le bonheur ou le malheur dans l’histoire. Premièrement, il sera question de l’amour entre les personnages et le thème du cœur du personnage principal qui est Dominique. Françoise Sagan ne cesse de montrer l’attachement d’Un certain sourire avec le côté de l’amour qui touche plus précisément le plaisir du personnage. Dans la deuxième partie du livre Un

sentiments comme dans une œuvre romantique, il décrit le mystère, le lien entre le visible et l’invisible. Le mot « symbole » apparait même. Les pas, Paul Valéry, Charmes p. 84. La classe, les valeurs très distingués du mouvement romantisme ne sont définitivement pas de ce poème. Valéry y décrit une attente qu’il suggère et fait durer, il semble y prendre du plaisir. « Qu’ils sont doux, tes pas retenues ! » L’attente langoureuse, les mystères, les propos suggestifs sont propres au mouvement symboliste

un poème de Baudelaire Liste des poèmes : * Louise Labé : Je vis, je meurs, je me brûle et me noie, 1555 * Pierre de Ronsard : Madrigal, 1578 * Agrippa d’Aubigné : Au tribunal d’amour, XVI° siècle * Jean de la Fontaine : L’amour et la folie, 1685 * Alfred de Musset : Une bonne fortune, XIX° siècle * Victor Hugo, Les femmes sont sur terre, 1856 * Charles Baudelaire : La mort des amants, 1857 * Charles Baudelaire : Le désir de peindre, 1863 * Paul Verlaine :

« conatus » qui est « l’effort par lequel chaque chose, pour autant qu'il est en elle, s'efforce de persévérer dans son être ». Le désir est donc une force qui pousse à agir. Il est aussi la source des affects, notamment ceux liés à un objet comme l’amour et la haine. Pour Spinoza nous ne désirons pas une chose parce qu’elle est bonne, mais nous jugeons qu’elle est bonne parce que nous là désirons. En ce sens, nous désirons quelque chose par rapport à sa capacité à nous faire du bien et à nous rendre

et créent ainsi un tout. Sur la base de la première observation nous pouvons constater que le lyrisme de ce poème de Victor Hugo repose sur les notions décrivant la nature (« des bois », « forêt », « l’oiseau », « cheval », « les chênes » etc.), l’amour et les expressions des sentiments (l’opposition de toi et moi, « aimons », « baisers ») et le voyage ou le mouvement (« partons », « les voyages », « viens », « suivre ») ce qui crée le dynamisme. Quant à la structure, le poème commence avec une