Les Métaphore Dans Le Pere Goriot

susciter le désir des hommes : Carmen est comparée à « une pouliche du haras de Cordoue » (l. 9), Robert Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours de Tressignies est sensible au « luxe piaffant de courtisane » (l. 13) de la prostituée, la métaphore animale présente dans le verbe « piaffer », évoquant aussi un cheval, tandis que les « cheveux roux » sur la nuque de Nana sont « comme une toison de bête ». C’est aussi l’attitude provocante, la démarche aguicheuse de ces héroïnes qui sont mises

susciter le désir des hommes : Carmen est comparée à « une pouliche du haras de Cordoue » (l. 9), Robert Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours de Tressignies est sensible au « luxe piaffant de courtisane » (l. 13) de la prostituée, la métaphore animale présente dans le verbe « piaffer », évoquant aussi un cheval, tandis que les « cheveux roux » sur la nuque de Nana sont « comme une toison de bête ». C’est aussi l’attitude provocante, la démarche aguicheuse de ces héroïnes qui sont mises

nous a paru __________________________________________________________________________ 1. Ainsi George Sand dans La ville noire (1860) évoque l’enfance à l’époque de la révolution industrielle, ou encore Hugo dans Les Misérables, Balzac avec Le père Goriot et beaucoup d'autres de ses ouvrages, Zola avec son cycle des Trois villes (1898) notamment Paris, bien d'autres écrivains encore. 2. Thème présent dans des œuvres très connues comme Voyage au bout de la nuit de Céline qui trace la satire des

plus tard, il publie Pantagruel, sous le pseu- donyme d’Alcofribas Nasier, anagramme de son nom. Désormais, il poursuivra son entreprise littéraire parallèlement à sa carrière de médecin. En 1534 paraît Gargantua, le personnage éponyme étant le père de Pantagruel ; Le Tiers Livre et le Quart Livre sont respectivement publiés en 1546 et 1552. Un Cinquième Livre dont l’authenticité est discutée paraîtra après la mort de l’écrivain en 1564. Ces récits sont condamnés par l’Église. • Gargantua

de détacher de son cou le petit crucifix ; elle me pria de le dénouer moi même, et elle me dit : "Quand je te parlai pour la première fois, tu vis cette croix briller à la lueur du feu sur mon sein ; c'est le seul bien que possède Atala. Lopez1, ton père et 10 le mien, l'envoya à ma mère peu de jours après ma naissance. Reçois donc de moi cet héritage, ô mon frère, conserve-le en mémoire de mes malheurs. Tu auras recours à ce Dieu des infortunes dans les chagrins de ta vie. Chactas, j'ai une dernière

de détacher de son cou le petit crucifix ; elle me pria de le dénouer moi même, et elle me dit : "Quand je te parlai pour la première fois, tu vis cette croix briller à la lueur du feu sur mon sein ; c'est le seul bien que possède Atala. Lopez1, ton père et 10 le mien, l'envoya à ma mère peu de jours après ma naissance. Reçois donc de moi cet héritage, ô mon frère, conserve-le en mémoire de mes malheurs. Tu auras recours à ce Dieu des infortunes dans les chagrins de ta vie. Chactas, j'ai une dernière

honneur, fortune, femmes. On vous réduirait toute la civilisation en ambroisie. Vous seriez notre enfant gâté, notre Benjamin, nous nous exterminerions tous pour vous avec plaisir. Tout ce qui vous ferait obstacle serait aplati. Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835 Préparé par Sylvie Brûlé : http://unebellefacon.wordpress.com/ Module 4 : Les misérables de Victor Hugo Semaine 7 Étude du texte : Entrer dans « Les misérables » par l’image p.63 Repères p.64-65 avec moi oralement + activités à l’écrit

fait entrer à l'école. J'avais huit ans... Quelques semaines ou quelques jours avant ce que je vais raconter, mon père m'avait accompagné pour me présenter au directeur. Comme les classes avaient déjà repris et que j'étais retardataire, les élèves dans la cour, rangés pour nous laisser passer, chuchotaient: "Oh ! un nouveau ! un nouveau !" et, très ému, je me pressais contre mon père. Puis j'avais pris place auprès des autres. Or ce jour-là, le professeur, M. Vedel, enseignait aux élèves

réalité es déformée (=songe). La réalité nous apparait que par le reflet. → Illusion et réalité se mélangent. Soit on est angoissé par cette situation, soit on est fasciné. →thème : on parle de la mort, et de l’instabilité des choses. Images/ métaphores : La flamme, les torrents, l’huile, les flots, le tonnerre, la neige,… A la fin, suite à l’instabilité des choses, on voit que la mort domine. (Car c’est la seule chose certaine !) B.3 Caractéristiques du style baroque Voir référentiel de littérature

temps ; valeurs du conditionnel 114 – ortHogrAPHe : dictée préparée ; accord de l’adjectif 115 – conJugAison : temps du passé ; verbes pronominaux ; subjonctif imparfait 116 – VocABuLAire, Figures de stYLe : champs lexicaux ; comparaisons, métaphores, hyperboles 116 OUTILS DE LA LANGUE – cHoisisseZ une Lecture 118 – teneZ Votre cArnet de Lecture 119 – ActiVités d’orAL : faire un compte rendu de lecture ; présenter un travail de groupe et débattre 119 – Lire une œuvre intégrale Étudier