Les Nuées

métaphore filée de l'albatros Différentes métaphores pour désigner l'albatros tout au long du texte : « vastes oiseaux des mers » (v. 2) « indolents compagnons de voyage » (v. 3) « ces rois de l'azur » (v. 6) « ce voyageur ailé » (v. 9) « prince des nuées » (v. 13) « géant » (v. 16) b) Structure générale du poème : basculement au vers 13, de l'albatros au poète 3 strophes (ou quatrains) pour évoquer les albatros (2 premières strophes) (> généralisation), puis un albatros (troisième strophe) (>

vulcaniennes. Il y a un bouchon qui, poussé par la pression, remonte et forme un dôme, qui peut être en forme d’aiguille. L’éruption détruit le dôme et la lave sort violemment. Le magma se mélange à l’air et forme des nuées ardentes. Il y a aussi des écoulements pyroclastiques. Nuées ardentes : c’est un mélange de gaz, de cendre et de fragments de lave solide très chaud. Il dévale les volcans entre 50 et 130 m/s ou qui retombe d’une colonne éruptive. Ecoulements pyroclastiques : nuages mortels formés

meurtriers. Ils libèrent des panaches de gaz, de fumée, de cendres appelés nuées ardentes et chauffants à plus de 2000 degrés. Quand ces panaches dévalent les pentes d’un volcan, ils détruisent tous sur leur passage. [pic] Nuées ardentes Panache de fumées et de cendres Enfin, les volcans doméens sont des volcans qui ne libèrent ni de lave, ni de nuées ardentes. Ils font juste gonfler la terre, ce qui crée des montagnes. C’est

univers que tout oppose. On a dans ce poème un jeu d'opposition et de comparaison qui vont mettre en valeur la confrontation de l'albatros "prince des nuées" avec le monde des hommes sur leur "navire glissant sur des gouffres amers". L'opposition est centrée essentiellement sur l'albatros. Les expressions "roi de l'azur" et "prince des nuées" fait référence à la majesté de l'oiseau quand il évolue dans le ciel, le monde d'en haut, et s'oppose à "maladroit et honteux" lorsque il se retrouve "sur

pittoresque. C’est dans la dernière strophe que l’on redécouvre la dimension du poème, le vers 13 nous fait comprendre que le poète est en réalité l’albatros « Le Poète est semblable au prince des nuées ». Le champ lexical du vol « oiseau » vers 2, « rois de l’azur » vers 6 ; « ailes » vers 7 ; « princes des nuées » vers 13 donne une impression de grandeur et de hauteur à l’oiseau, donc au poète. Mais pour le poète la hauteur est une hauteur intellectuelle et non physique contrairement à l’albatros. Donc

3) Une nature ayant 2 visages 1) La nature est un des grands thèmes du romantisme. Dans ce poème, on retrouve très souvent le champs lexical de la nature: «  Soleil, eaux, nuées… » La nature est omniprésente car on voit les 3 constituant d’une planète  : la terre  « forets », l’eau « mers » et l’air « les nuées ». Le poème commence par « le soleil » ce qui nous montre la grandeur ainsi que la présence de la nature représenté par le soleil. Le titre du poème nous annonce directement que

L’albatros 1 - Le titre : Il contient une opposition que l’on retrouvera dans tout le poème. Alba (blanc) / Tros (noir). 2 - Vocabulaire - Termes à signaler (par exemple): Indolents : Nonchalants Veules : Sans force morale. Nuées : Gros nuages menaçants mais aussi multitude. (Il faut être capable de donner la signification de tous les mots). • Utilisation d’un vocabulaire positif lorsqu’il est question du vol : « vastes », « compagnons de voyage », « rois de l’azur ». • Emploi

manifestations en surface peuvent différer d'une éruption à une autre. Les différents visages du volcanisme. On distingue deux types d'éruptions : explosives ou effusives. Les manifestations en surface d'une activité volcanique sont nombreuses. - Les nuées ardentes sont des émissions brutales et dirigées d'un mélange constitué de gaz brûlants transportant des roches à plus de 800 °C, les tephras, typiques d'un volcanisme explosif. L'ensemble, dont la température atteint 500 °C, dévale les flancs du volcan

voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Lecture méthodique de ce poème extrait des Fleurs du Mal Absent de l'édition de 1857, ce poème

effet souligné par l'énumération presque naïve « heureux, dispos et repus », comme si par contraste les ambitions intellectuelles devaient quant à elles mener au malheur et au désespoir. «Quant à moi mes bras sont rompus / Pour avoir étreint des nuées. » - L'expression « quant à moi » marque une rupture entre le monde des hommes, lieu de la médiocrité, et celui du poète, qui cherche l'élévation. Dichotomie fondamentale dans la pensée baudelairienne : le poète est celui qui cherche à s'abstraire