Les Nuits De Valognes

jjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkk- k QUESTIONNAIRE DE LECTURE La Nuit de Valognes I. Cette pièce est une réécriture du Dom Juan de Molière. Quelles sont les grandes différencesentre les deux uvres. Ces deux pièces présentent des points communs bien sûr puisque Schmitt sest inspiré de la pièce, Dom Juan , écrite par Molière pour écrire Les Nuits de Valognes .Molière choisit de présenter quune seule femme, Elvire, comme image des nombreusesconquêtes de Don

http://lectureslaucadet.over-blog.com/article-la-nuit-de-valognes-schmitt-resume-76419844.html Tout d'abord, Éric-Emmanuel Schmitt n'a pas fait comme Molière avec l’œuvre de Tirso de Molina parce que Molière a fait une réécriture tandis qu’Eric-Emmanuel Schmitt lui a plutôt écrit une suite de Dom Juan. Cependant, ils ont tous deux fait une actualisation de la problématique. Afin de comprendre en quel sens le livre « Les Nuits de Valognes » est une réécriture, nous allons commencer par aborder

pris des choses. Louis ARAGON : Le roman inachevé. Les Yeux d’Elsa… IV) Lectures estivales, plaisantes et faciles pour les vacances, à la plage ou ailleurs Sylvie GERMAIN, Magnus, Le Livre des nuits Philippe CLAUDEL, Les âmes grises. Le rapport de Brodeck. E. E. SCHMITT, La Nuit de Valognes. M. de KERANGAL, Corniche Kennedy. Olivier BLEYS, Pastel Alice FERNEY, Grâce et Dénuement Nancy HUSTON, Lignes de Failles. Dai SIJIE, Balzac et la petite Tailleuse chinoise GUENASSIA, Le cercle

Éric-Emmanuel Schmitt de l’homosexuel est plutôt décalée par rapport aux libertins, du moins si l’on en croit Maurice Lever, le spécialiste du XVIIIe décédé en janvier 2006, auteur des Bûchers de Sodome. Dans le fond comme dans la forme, La Nuit de Valognes me semble avant tout destinée à émoustiller les visons familiers des théâtres privés du huitième arrondissement de Paris. Cependant cette pièce a le mérite de soulever une question qui passionnera les élèves. Cette année, comme je faisais étudier

francs. Grâce à cette somme, les dettes contractées par la mère des deux jeunes peuvent être épongées. L’histoire se poursuit par le récit de Joseph, commentant à souhait sa rencontre avec Lina au cinéma, femme en réalité mariée. Après de folles nuits d’amour, elle promet de revenir chercher Joseph. Cette attente durera un mois, délais après lequel il quittera la concession en sa compagnie. Suzanne attire à elle de nombreux pré- tendants. Mais ce sera la rencontre de Jean Agosti qui sera déterminante

frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. o La dernière phrase Il ne lâchait pas Denise, il la serrait éperdument sur sa poitrine, en lui disant qu'elle pouvait partir maintenant, qu'elle passerait un mois à Valognes, ce qui fermerait la bouche du monde, et qu'il irait ensuite l'y chercher lui-même, pour l'en ramener à son bras, toute puissante.  Aparté culturel : la gare Saint-Lazare, tableau de Monet 4 Projet intercycle « Lire Au Bonheur des Dames en

après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. o La dernière phrase Il ne lâchait pas Denise, il la serrait éperdument sur sa poitrine, en lui disant qu'elle pouvait partir maintenant, qu'elle passerait un mois à Valognes, ce qui fermerait la bouche du monde, et qu'il irait ensuite l'y chercher lui-même, pour l'en ramener à son bras, toute puissante.  Aparté culturel : la gare Saint-Lazare, tableau de Monet 4 Projet intercycle « Lire Au Bonheur des Dames

apprendre à vivre avec eux, ne plus être écrabouillée par le chagrin mais le dominer,  Etre amoureux c'est cela: un mal de ventre dont le seul remède, c'est toi. J'ignorais que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie. Sur l'écran noir de mes nuits blanches, où je me fais du cinéma, une fois, deux fois, dix fois, vingt fois, je recommence la séquence où tu me tombes dans les bras.    Je ne vais pas te dire que je ne peux pas vivre sans toi. Je peux vivre sans toi, c'est juste que je n'en

emmenant vers les campagnes et les bourgs de 1’arrière-pays les Cherbourgeois qui s’y étaient « réfugiés » par peur des bombardements nocturnes[,] et qui ne restaient en ville que pour leur travail et leurs affaires de la journée. Souvent en effet les nuits à Cherbourg étaient perturbées par les attaques aériennes. Une certaine nuit, ce fut un terrible bombardement par une escadre de la marine anglaise4Cherbourg subit un bombardement de la flotte britannique dans la nuit du 10 au 11 octobre 1940.. Il

n’existait aucune gêne (elle me regardait, je la regardais, et c’était absolument tout), mais lorsqu’elle me dit, peut- être dix minutes plus tard : « Je suis Camille », le train était déjà̀ reparti – en destination de Bayeux, puis de Carentan et Valognes, son terminus était en gare de Cherbourg. Énormément de choses, à ce stade, étaient déjà̀ dites, déterminées, et, comme l’aurait dit mon père dans son jargon notarial, « actées ». Son regard était d’un brun doux, elle me suivit le long du quai