Les Nuits d'été

couche que j'envie Et ce dernier sillon où germe une autre vie! Etendez sur ma tête un lit d'herbes des champs Que l'agneau du hameau broute encore au printemps, Où l'oiseau, dont mes sœurs ont peuplé ces asiles, Vienne aimer et chanter durant mes nuits tranquilles; Là, pour marquer la place où vous m'allez coucher, Roulez de la montagne un fragment de rocher; Que nul ciseau surtout ne le taille et n'efface La mousse des vieux jours qui brunit sa surface, Et d'hiver en hiver incrustée à ses flancs

l'éternel thème de l'inspiration poétique. Le vouvoiement est utilisé car il s'adresse dans ce premier quatrain à sa muse. Il précisera dans le dernier tercet les qualités de la femme qui malgré les soucis conserve les charmes d'un bel après-midi de fin d'été. Le premier quatrain et le dernier tercet décrivant la femme, la destinataire embrassent les deux strophes médianes, autoportrait hideux de l'auteur comme une sorte de protection bienfaisante à ses malheurs.  - L'emploi des adjectifs démonstratifs

et le jeune étranger). Ce roman présente plusieurs particularités notamment. Le plot de l’histoire est clair (un triangle amoureux. Rencontre, amour…) mais leurs sentiments sont confus (Voir personnage). Résume Tout a commencé une soirée d’été quand un homme homosexuel et une jeune femme qui se sont rencontres à l’’hôtel des Roches au bord de la mer. L’homosexuel est désespéré, à cause d’un autre homme qu’il a vu ce même jour par hasard (un jeune étranger aux yeux bleus cheveux noirs). Il

contre la Royal Air Force. C’est un échec total pour les nazis… Hitler renonce alors au débarquement, mais il décide de s’en prendre aux villes britanniques, espérant ainsi briser le moral des anglais et paralyser le pays en bombardant le pays à 57 nuits consécutives, il y a donc eu beaucoup de dégâts mais les Anglais n’abandonne pas. Méditerranée : Le 28 octobre 1940, en Grèce Mussolini veut écraser Hitler, mais il est très vite battu. En Afrique du nord, l’armée italienne subit une série

me noyer pour l'éternité. A toi qui me manque et qui me transporte dans un monde magique pour toute une éternité. S'étend autour de moi cette nuit d'été qui semble murmurer tout bas que ce monde de rêve est un cadeau de toi. Jamais je n'aurais cru voir autant de lumière, jamais je n'avais vu la paix si loin de moi dans le mouvement où même les nuits sont jours. J'avais oublié qu'un instant pouvait durer toujours lorsqu'un rayon de soleil vient frôler mon visage devant mon écran. Je m'invente des

classiques portant sur la nature : « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, « Dans l’interminable ennuie de la plaine » de Paul Verlaine, « Contre les bûcherons de la forêt de Gastine » de Pierre de Ronsard, « La Maison du Berger » d’Alfred de Vigny et « Nuits de juin » de Victor Hugo. J’ai choisi ces poèmes car, après mûr recherche, ce sont les poèmes qui m’ont le plus touché personnellement : de par les émotions qu’ils dégagent, notamment dans « Le Lac » de Lamartine où l’on ressent les sentiments du poète

penser aussi au roman d’aventures (Sue, Dumas, Stevenson…), au policier (Christie, Vargas, ...), à la science-fiction (Barjavel, La nuit des temps), à la fantasy (Tolkien)… II. Le théâtre Liste d’œuvres Shakespeare, Hamlet, Le songe d’une nuit d’été Calderon, La vie est un songe Corneille, Le Cid Molière, Le malade imaginaire, Dom Juan, Le Misanthrope, Le Tartuffe, Les précieuses ridicules… Racine, Phèdre, Britannicus, Bajazet Marivaux, L’île des esclaves, le jeu de l’amour et du hasard,

femme marche, solitaire, le long d’une plage de sable fin, parsemé de coquillages, s’étendant à perte de vue. Ses habits bancs et vaporeux laissent voir sa silhouette fine et élancée. Sa chevelure coule en cascade sur ses épaules dorées, par le soleil d’été. Les vagues caressent ses pieds nus et l’écume dessine un chemin de ces auréoles brillantes. Le vent agite ses boucles brunes et la mer joue avec ses orteils. Elle marche sans but, vide ; ses pensées volant vers un paradis lointain et incertain. Ses

invisible pot de chambre=visible et essence=invisible Les chambres p. 54 (Aless) Le texte se divise en 6 parties : 1) «  ces évocations….mon réveil », réveil confu 2) « chambre d’hiver….refroidies » , chambre d’hiver 3) « chambres d’été…rayon », chambre d’été 4) « parfois…du lit », chambre Louis XVI 5) « parfois…nuit » chambre inconnue 6) « tandis que…fin » retour à la réalité, au présent La première partie nous explique toutes les chambres que le narrateur à habité dans sa vie. Sa pensée

aide. Les jours de fête, il se promène à la recherche d’une personne qui voudrait bien l’adopter. Un jour d’été, Mondo se promène sur la colline, comme il le fait souvent. Il arrive devant la porte de la Maison de la Lumière d’Or et s’endort dans le jardin. La dame qui vit là, est une Vietnamienne âgée et généreuse. Elle lui offre l’hospitalité. Désormais, Mondo dort presque toutes les nuits chez Ti-Chin. La journée, il voit ses amis : le vieux Dadi, le Gitan… Il se promène sur la jetée et rencontre