Les Perses

facilement. En cas de victoire, il offrait un banquet somptueux, mais surtout, il était couronné en plein théâtre en même temps que le poète, dont il partageait la gloire. D’ailleurs son nom figurait aussi dans la liste des vainqueurs. En 472, dans Les Perses d’Eschyle, Périclès fut le chorège d’Eschyle. Quant aux musiciens, poètes, acteurs, c’est l’état qui les rétribuait. L’organisation  Les premières représentations de tragédies eurent lieu sur l’Agora d’Athènes, c’est-à-dire le lieu de rencontre

cinq poètes présentaient chacun une pièce. L'auteur qui avait crée la meilleure pièce se trouvait récompensé par un bélier. Le vainqueur du premier concours est le poête Thespis ( 534 avant JC ), mais le plus connu reste Eschyle avec sa pièce "Les Perses" ( 472 avant JC ). Les grandes représentations théâtrales duraient cinq jours de suite, du lever au coucher du soleil. Elles se déroulaient dans un édifice à ciel ouvert et n'étaient donc possibles qu'en plein jour et quand le temps le permettait

scientifique ne doit donc pas occulter un autre Thalès, habile en affaires et prompt à dénigrer ses propres découvertes et sa fortune acquise. Il connut d'abord sa renommée comme conseiller militaire et comme ingénieur. Durant la guerre entre les Perses et les Lydiens, il aurait détourné le cours du fleuve Halys pour faire passer l'armée de Crésus[5]. Il s'embarqua un jour vers Naucratis en Égypte, ville reconnue pour sa culture scientifique. Il y étudia les mathématiques, particulièrement la

ajouté les acteurs dans ces cultes faits au dieu Dionysos (le dieu du vin et du théâtre) et c’est ce qui a permis les dialogues tels qu’on les connaît dans la tragédie grecque. Eschyle a été le premier à les introduire en 472 av. J.-C. avec « Les Perses », mais c’est Sophocle et Euripide qui les rendirent plus importants dans leurs écrits en préférant comme héros l’homme aux dieux. Les représentations tragiques de cette époque étaient aussi importantes que les cérémonies religieuses. Ce genre

Bataille de Salamine Elle oppose les grec aux perses le 29 septembre -480 Salamine Salamine est l'île la plus proche d'Athène les effectifs les effectifs grecques commendés par de les effectifs perses de Xerès 1er: nombreux princes grecs: la quasi-totallité de la flotte grecque (350/380 500 ou 600 navires au minimum trières) Les perses ont donc la Le Contexte Au début du cinquième siècle, Xerès, l'empereur des perses, qui detient un empire allant de l'actuelle turquie

salamine, vu par ESCHYLE, Les pERSES (vers 337-395) Le 16 octobre 480 avant J.-Ch. a lieu la bataille de Salamine, considérée comme un fait majeur de la deuxième guerre médique (-480 à -478). Elle opposa les Perses aux Grecs. Le texte présenté est un dialogue entre la reine-mère Atossa (veuve de Darius et mère de Xerxès, « Grand roi » Perse), et un messager qui annonce à la reine que son fils a perdu la bataille de Salamine. Cet extrait est issu d’une tragédie, Les Perses, d’Eschyle, grand tragique

Guerres médiques (499-478) : Les origines du conflit : -la création de l'empire Perse En 550 Cyrus le Grand unifie les peuples mèdes et perses et part à la conquête des terres voisines. Les successeurs de Cyrus continuent l'expansion de l'Empire Perse qui possèdent des richesses incroyables, et connait une force de mobilisation militaire importante. 546 : les cités grecques d'Ionie passent sous le joug perse L'Empire est divisé en provinces nommées Satrapies avec à leur tête des Satrapes

E. De Broccard, 1962 * Accroche : Epitaphe du poète Kéos : « passant va dire à sparte que nous gisons ici pour avoir obéis à ses lois » Guerres médiques connues à travers de nombreux ouvrages MAIS Eschyle reste le seul contemporain= Les Perses * Auteur : Hérodote ( 480-420)= serait originaire d’Halicarnasse. *1er de son temps à faire preuve de curiosité sur l’humain, prémices d’anthropologie. Principe de chroniques sous formes d’annales n’était pas encore né en Grèce d’Europe

d’attribuer des découvertes à des hommes illustres, qui, en réalité, n’y avaient pas participées. a. Déplacement de la rivière Platon1 le considérait comme un « ingénieux inventeur de techniques. C’est ainsi qu’au cours de la guerre entre les Perses et les Lydiens, alors que les troupes de Crésus2 se réunissaient pour tenter de traverser le fleuve Halys, Thalès en « bon ingénieur hydraulicien » jugea opportun d’en dévier une partie. Le franchissement du cours d’eau à gué fut possible à ses deux

phénomènes comme la foudre, les mouvements des planètes, ou les réactions chimiques, se sont progressivement opposés à la croyance en la magie. Le mot français « magie » vient du latin magia, lui-même issu du grec μαγεία (mageia), « religion des mages perses », « sorcellerie[2] ». Pour remonter plus haut, il faut aller jusqu'en Perse. Le mot maguš[3], « mage » en vieux-perse, est visible pour la première fois sur une inscription gravée en 515 av. J.-C. à Béhistoun (Perse antique, Iran actuel), sur